TourMaG.com - Où en êtes-vous du recrutement d'un nouveau directeur général ?
Jean-Pierre Mas : "Un groupe de travail est en train de travailler sur le profil du directeur général. Une fois ce profil défini, il sera partagé et validé en conseil d'administration.
Ensuite nous soumettrons son recrutement à un cabinet extérieur.
Toutefois, la nomination d'un nouveau directeur général n'interviendra pas avant la fin de l'année."
TourMaG.com - Vous vous étiez prononcé plutôt en faveur d'une personne qui vient de la nouvelle économie...
J.-P.M. : "Ma vision personnelle, mais je ne souhaite pas influencer le groupe de travail, ce serait d'aller chercher des compétences que l'on n'a pas.
Les expériences de la nouvelle économie sont des domaines dans lesquels nous ne disposons pas d'une expertise aussi importante que dans les achats tourisme ou dans les achats transport par exemple..."
TourMaG.com - Lors de la campagne, l'équipe Selectourafat2020 avait promis de trouver deux millions d'euros sur les frais de fonctionnement, les impôts... Ou en êtes-vous ?
J.-P.M. : "A fin août, nous avons une baisse sur les produits de 6%, liée notamment à la baisse de l'activité globale notamment de l'activité tourisme, et les charges en baisse de 20%. Les économies sont faites et les décisions de reversement aux adhérents ont été prises en CA.
Nous tenons nos engagements, avec une rétroactivité au 1er juillet. Sauf incident majeur, nous devrions arriver à sortir un résultat 2013 très correct, et nous rémunérerons les agences en conséquence."
TourMaG.com - Comment avez-vous économisé ces 20% de charges ?
J.-P.M. : "Les frais généraux, les honoraires, ainsi que la masse salariale, avec notamment le départ du Directeur Général, ont été réduits... Nous avons serré les boulons."
TourMaG.com - Qu'en est-il de la rationalisation des sièges sociaux ?
J.-P.M. : "Sur ce sujet aussi nous avons mis en place un groupe de travail. Toutes les possibilités restent ouvertes : doit-on conserver deux implantations, comment utiliser les locaux de Paris et de Toulouse, faut-il déménager ?
Les locaux sont un des sujets importants d'économie. Il faut rationaliser l'utilisation de l'espace et réduire le poids de nos loyers. La proposition du groupe de travail devrait avoir un caractère définitif, dès le mois d'octobre.
Le conseil d'administration arbitrera ensuite sur les décisions à prendre, mais tout ne va pas se faire en 3 jours..."
Jean-Pierre Mas : "Un groupe de travail est en train de travailler sur le profil du directeur général. Une fois ce profil défini, il sera partagé et validé en conseil d'administration.
Ensuite nous soumettrons son recrutement à un cabinet extérieur.
Toutefois, la nomination d'un nouveau directeur général n'interviendra pas avant la fin de l'année."
TourMaG.com - Vous vous étiez prononcé plutôt en faveur d'une personne qui vient de la nouvelle économie...
J.-P.M. : "Ma vision personnelle, mais je ne souhaite pas influencer le groupe de travail, ce serait d'aller chercher des compétences que l'on n'a pas.
Les expériences de la nouvelle économie sont des domaines dans lesquels nous ne disposons pas d'une expertise aussi importante que dans les achats tourisme ou dans les achats transport par exemple..."
TourMaG.com - Lors de la campagne, l'équipe Selectourafat2020 avait promis de trouver deux millions d'euros sur les frais de fonctionnement, les impôts... Ou en êtes-vous ?
J.-P.M. : "A fin août, nous avons une baisse sur les produits de 6%, liée notamment à la baisse de l'activité globale notamment de l'activité tourisme, et les charges en baisse de 20%. Les économies sont faites et les décisions de reversement aux adhérents ont été prises en CA.
Nous tenons nos engagements, avec une rétroactivité au 1er juillet. Sauf incident majeur, nous devrions arriver à sortir un résultat 2013 très correct, et nous rémunérerons les agences en conséquence."
TourMaG.com - Comment avez-vous économisé ces 20% de charges ?
J.-P.M. : "Les frais généraux, les honoraires, ainsi que la masse salariale, avec notamment le départ du Directeur Général, ont été réduits... Nous avons serré les boulons."
TourMaG.com - Qu'en est-il de la rationalisation des sièges sociaux ?
J.-P.M. : "Sur ce sujet aussi nous avons mis en place un groupe de travail. Toutes les possibilités restent ouvertes : doit-on conserver deux implantations, comment utiliser les locaux de Paris et de Toulouse, faut-il déménager ?
Les locaux sont un des sujets importants d'économie. Il faut rationaliser l'utilisation de l'espace et réduire le poids de nos loyers. La proposition du groupe de travail devrait avoir un caractère définitif, dès le mois d'octobre.
Le conseil d'administration arbitrera ensuite sur les décisions à prendre, mais tout ne va pas se faire en 3 jours..."
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TourMaG.com - Cette rationalisation des locaux ne va-t-elle pas avoir une conséquence sur la masse salariale ?
J.-P.M. : "Ce n'est pas directement lié. Si cette rationalisation des locaux entraîne un regroupement de services ou une modification du lieu d'implantation, il faudra mesurer les impacts que cela peut avoir sur la masse salariale. Mais pour l'instant aucune décision n'est prise."
TourMaG.com - Lors du congrès de Valmorel, vous aviez indiqué être « favorable au développement d'une activité de production SelectourAfat par la création, le rachat ou la prise de participation dans une entreprise ». Qu'en est-il de cette idée ?
J.-P.M. : "C'était une opinion personnelle que j'avais partagée à ce moment là. Et nous ne sommes vraiment pas dans l'urgence, dans ce domaine.
Ce que je veux faire partager, c'est la nécessité d'avoir des produits sous marque de distributeur.
Aujourd'hui chez les grands distributeurs, nous sommes les seuls à ne pas disposer de produits spécifiques en marque blanche.
Nous avons nos brochures, mais aucun produit aujourd'hui, dans ces brochures n'est différenciant, ou particulier. L'idée est de trouver un partenaire qui fabrique pour nous.
Maintenant faut-il être au capital ? J'avoue que l'évolution économique de l'histoire m'amène à dire qu'il vaut mieux ne pas être entré au capital d'un TO il y 3 ans. Je suis un peu en retrait par rapport à ce que je disais.
Mais j'ai la certitude qu'il nous faut des produits différenciants sous notre marque."
TourMaG.com - Quel oeil portez-vous sur les difficultés que traversent TUI, Thomas Cook, ou FRAM...
J.-P.M. : "Les difficultés de Thomas Cook me laissent de marbre. Celles de TUI me préoccupent un petit peu plus, car c'est l'un de nos premiers fournisseurs mais aussi concurrent.
Marmara fait partie des 3 premiers TO chez SelectourAfat, nous revendons également Passion des Iles. Ce qui se passe chez FRAM me préoccupe encore plus fort, car là aussi c'est un de nos fournisseurs leader.
Ce serait très embêtant que la quasi-totalité de notre stock « mainstream » provienne de nos concurrents. Ce ne serait pas bon, pas bon du tout, c'est pourquoi nous sommes attentifs à la situation de FRAM.
Nous regardons également l'évolution de TO de taille plus petite tels que Voyamar ou Exotismes, et qui réussissent bien. Exotismes, qui est entré au Top 14 progresse chez nous de 40%.
Ce n'est pas le secteur du tourisme qui est sinistré, ce sont des modèles de tour operating qui sont en difficulté."
TourMaG.com - La distribution reste-telle d'après vous dépendante de Marmara ?
J.-P.M. : "De moins en moins. D'une part car l'Egype et la Tunisie, deux destinations phare du TO sont en difficulté. D'autre part le modèle économique de Marmara n'est plus ce qu'il était.
Marmara était un modèle exemplaire de TO low cost, avec une rigueur aussi bien dans le personnel, que dans la production, une compétitivité très vigilante dans les prix, une amélioration de la qualité, et un produit très normé, avec très peu de produits sur une destination.
Ce modèle de TO low cost qui aurait pu faire école chez TUI, a plutôt été mélangé à un modèle Nouvelles Frontières qui était tout sauf low cost."
TourMaG.com - Où en êtes vous du déploiement de Selectour-Afat sur le web ?
J.-P.M.: "Le nouveau site Internet Selectourafat sera en production début décembre et présenté à l'occasion du prochain congrès qui se tiendra au Mazagan Beach Resort du 28 novembre au 1er décembre prochain...
Ce n'est pas un nouveau site qui fera que nous deviendrons tout d'un coup acteur du web. Il faut des produits des prix hyper compétitifs.
Il faudra faire fabriquer pour nous des produits avec des prix très compétitifs sur le web, avec peut -être même des taux de marges qui seront différents de ceux qui sont en agences de voyages."
TourMaG.com - Où en êtes-vous des négociations avec FTI Voyages ?
J.-P.M. : FTI était référencé sous marque Starter dans la région Est (référencement régional).
Désormais, FTI est référencé nationalement depuis aujourd’hui (lundi 16 septembre). J’ai signé le contrat la semaine dernière et on attendait que leur offre soit disponible sur Orchestra. C’est fait.
TourMaG.com - Quelle rémunération entre agences traditionnelles et Internet ?
J.-P.M. : "La première chose est de faire venir les clients dans les agences de voyages. La difficulté aujourd'hui est d'être compétitif sur le web.
Si nous affichons sur Internet, les mêmes prix que tout le monde, nous ne créerons pas de migrations des pure players chez nous. Il faut être très agressif sur le prix, et l'une des façons ce sera certainement de réduire la rémunération, pour créer du volume.
Ensuite dans l'attribution des produits il y a deux écoles. La première, la notre, c'est la tendance lourde, c'est d'inciter l'internaute à choisir une agence de voyage de référence, qui traitera le dossier.
L'internaute pourra se tourner vers elle, en cas de difficulté, ou d'après vente... Dans ce cas, la commission est accordée à l'agence de voyages.
Cela existe déjà et ça marche.
Si l'internaute veut vraiment acheter en ligne, il y a deux façons : soit c'est le siège qui garde le produit, ou on attribue grâce à la géolocalisation du client le produit à l'agence la plus proche. Ce qui n'est pas toujours très simple et peut donner lieu à des conflits.
Je suis plutôt favorable à la simplification."
TourMaG.com - Combien d'agences arborent votre nouvelle enseigne ?
J.-P.M : "Nous avons à ce jour 68 agences de voyages qui disposent déjà de la nouvelle enseigne, et près de 260 sont en cours de travaux.
Une campagne de communication avec la nouvelle enseigne sera lancée en fin d'année, voir début 2014."
TourMaG.com - Les visites-mystères sont-elles suspendues ?
J.-P.M. : "Les visites mystères sont suspendues et reprendront sous une autre forme en 2014, car je souhaiterais qu'on aille aussi voir les clients, sur les agences au fur et à mesure de la labellisation et de la mise en place de la charte qualité.
Cette charte sera présentée en décembre."
TourMaG.com - Comment s'est passé l'été chez Selectour Afat ?
J.-P.M. : "Le volume d'affaires tourisme enregistre une baisse de 8% en départ sur les deux mois d'été. L'hôtellerie affiche une très nette progression de 15%.
La variation entre avril et août 2013 entre les TO du Top 14 et non Top 14 s'accentue. Sur la période, le Top 14 est en progression de 2%, alors que les non Top 14 chutent de 14%. C'est que le pilotage des ventes fonctionnent."
TourMaG.com - Quelle est votre politique par rapport aux réceptifs ?
J.-P.M. : "Nous souhaitons continuer à simplifier le travail des agences de voyages.
Pour ce faire nous sommes en train de customiser et d'adapter l'outil Doyoutravel, créé par Gilles Delaruelle. Celui-ci sera présenté d'ici la fin de l'année."
TourMaG.com - Dernière question, êtes-vous intéressé par le mandat de président du SNAV ?
J.-P.M. : "J'ai un boulot à plein temps, voire plus, je vais pas rentrer dans du cumul de cumul.
Les instances professionnelles ont globalement besoin d'être redynamisées. Pour l'instant je suis trop dans mon « job » actuel et je n'y pense pas."
J.-P.M. : "Ce n'est pas directement lié. Si cette rationalisation des locaux entraîne un regroupement de services ou une modification du lieu d'implantation, il faudra mesurer les impacts que cela peut avoir sur la masse salariale. Mais pour l'instant aucune décision n'est prise."
TourMaG.com - Lors du congrès de Valmorel, vous aviez indiqué être « favorable au développement d'une activité de production SelectourAfat par la création, le rachat ou la prise de participation dans une entreprise ». Qu'en est-il de cette idée ?
J.-P.M. : "C'était une opinion personnelle que j'avais partagée à ce moment là. Et nous ne sommes vraiment pas dans l'urgence, dans ce domaine.
Ce que je veux faire partager, c'est la nécessité d'avoir des produits sous marque de distributeur.
Aujourd'hui chez les grands distributeurs, nous sommes les seuls à ne pas disposer de produits spécifiques en marque blanche.
Nous avons nos brochures, mais aucun produit aujourd'hui, dans ces brochures n'est différenciant, ou particulier. L'idée est de trouver un partenaire qui fabrique pour nous.
Maintenant faut-il être au capital ? J'avoue que l'évolution économique de l'histoire m'amène à dire qu'il vaut mieux ne pas être entré au capital d'un TO il y 3 ans. Je suis un peu en retrait par rapport à ce que je disais.
Mais j'ai la certitude qu'il nous faut des produits différenciants sous notre marque."
TourMaG.com - Quel oeil portez-vous sur les difficultés que traversent TUI, Thomas Cook, ou FRAM...
J.-P.M. : "Les difficultés de Thomas Cook me laissent de marbre. Celles de TUI me préoccupent un petit peu plus, car c'est l'un de nos premiers fournisseurs mais aussi concurrent.
Marmara fait partie des 3 premiers TO chez SelectourAfat, nous revendons également Passion des Iles. Ce qui se passe chez FRAM me préoccupe encore plus fort, car là aussi c'est un de nos fournisseurs leader.
Ce serait très embêtant que la quasi-totalité de notre stock « mainstream » provienne de nos concurrents. Ce ne serait pas bon, pas bon du tout, c'est pourquoi nous sommes attentifs à la situation de FRAM.
Nous regardons également l'évolution de TO de taille plus petite tels que Voyamar ou Exotismes, et qui réussissent bien. Exotismes, qui est entré au Top 14 progresse chez nous de 40%.
Ce n'est pas le secteur du tourisme qui est sinistré, ce sont des modèles de tour operating qui sont en difficulté."
TourMaG.com - La distribution reste-telle d'après vous dépendante de Marmara ?
J.-P.M. : "De moins en moins. D'une part car l'Egype et la Tunisie, deux destinations phare du TO sont en difficulté. D'autre part le modèle économique de Marmara n'est plus ce qu'il était.
Marmara était un modèle exemplaire de TO low cost, avec une rigueur aussi bien dans le personnel, que dans la production, une compétitivité très vigilante dans les prix, une amélioration de la qualité, et un produit très normé, avec très peu de produits sur une destination.
Ce modèle de TO low cost qui aurait pu faire école chez TUI, a plutôt été mélangé à un modèle Nouvelles Frontières qui était tout sauf low cost."
TourMaG.com - Où en êtes vous du déploiement de Selectour-Afat sur le web ?
J.-P.M.: "Le nouveau site Internet Selectourafat sera en production début décembre et présenté à l'occasion du prochain congrès qui se tiendra au Mazagan Beach Resort du 28 novembre au 1er décembre prochain...
Ce n'est pas un nouveau site qui fera que nous deviendrons tout d'un coup acteur du web. Il faut des produits des prix hyper compétitifs.
Il faudra faire fabriquer pour nous des produits avec des prix très compétitifs sur le web, avec peut -être même des taux de marges qui seront différents de ceux qui sont en agences de voyages."
TourMaG.com - Où en êtes-vous des négociations avec FTI Voyages ?
J.-P.M. : FTI était référencé sous marque Starter dans la région Est (référencement régional).
Désormais, FTI est référencé nationalement depuis aujourd’hui (lundi 16 septembre). J’ai signé le contrat la semaine dernière et on attendait que leur offre soit disponible sur Orchestra. C’est fait.
TourMaG.com - Quelle rémunération entre agences traditionnelles et Internet ?
J.-P.M. : "La première chose est de faire venir les clients dans les agences de voyages. La difficulté aujourd'hui est d'être compétitif sur le web.
Si nous affichons sur Internet, les mêmes prix que tout le monde, nous ne créerons pas de migrations des pure players chez nous. Il faut être très agressif sur le prix, et l'une des façons ce sera certainement de réduire la rémunération, pour créer du volume.
Ensuite dans l'attribution des produits il y a deux écoles. La première, la notre, c'est la tendance lourde, c'est d'inciter l'internaute à choisir une agence de voyage de référence, qui traitera le dossier.
L'internaute pourra se tourner vers elle, en cas de difficulté, ou d'après vente... Dans ce cas, la commission est accordée à l'agence de voyages.
Cela existe déjà et ça marche.
Si l'internaute veut vraiment acheter en ligne, il y a deux façons : soit c'est le siège qui garde le produit, ou on attribue grâce à la géolocalisation du client le produit à l'agence la plus proche. Ce qui n'est pas toujours très simple et peut donner lieu à des conflits.
Je suis plutôt favorable à la simplification."
TourMaG.com - Combien d'agences arborent votre nouvelle enseigne ?
J.-P.M : "Nous avons à ce jour 68 agences de voyages qui disposent déjà de la nouvelle enseigne, et près de 260 sont en cours de travaux.
Une campagne de communication avec la nouvelle enseigne sera lancée en fin d'année, voir début 2014."
TourMaG.com - Les visites-mystères sont-elles suspendues ?
J.-P.M. : "Les visites mystères sont suspendues et reprendront sous une autre forme en 2014, car je souhaiterais qu'on aille aussi voir les clients, sur les agences au fur et à mesure de la labellisation et de la mise en place de la charte qualité.
Cette charte sera présentée en décembre."
TourMaG.com - Comment s'est passé l'été chez Selectour Afat ?
J.-P.M. : "Le volume d'affaires tourisme enregistre une baisse de 8% en départ sur les deux mois d'été. L'hôtellerie affiche une très nette progression de 15%.
La variation entre avril et août 2013 entre les TO du Top 14 et non Top 14 s'accentue. Sur la période, le Top 14 est en progression de 2%, alors que les non Top 14 chutent de 14%. C'est que le pilotage des ventes fonctionnent."
TourMaG.com - Quelle est votre politique par rapport aux réceptifs ?
J.-P.M. : "Nous souhaitons continuer à simplifier le travail des agences de voyages.
Pour ce faire nous sommes en train de customiser et d'adapter l'outil Doyoutravel, créé par Gilles Delaruelle. Celui-ci sera présenté d'ici la fin de l'année."
TourMaG.com - Dernière question, êtes-vous intéressé par le mandat de président du SNAV ?
J.-P.M. : "J'ai un boulot à plein temps, voire plus, je vais pas rentrer dans du cumul de cumul.
Les instances professionnelles ont globalement besoin d'être redynamisées. Pour l'instant je suis trop dans mon « job » actuel et je n'y pense pas."