L'Argentine est de retour au salon IFTM-TOP RESA et elle compte bien en profiter pour séduire davantage les Français.
Au demeurant, ces derniers, bien loin de bouder ce lointain pays d'Amérique latine, ont recommencé à lui rendre visite cette année.
Selon Ricardo Sosa, directeur exécutif de Inprotur, l'organisme de promotion de l'Argentine, 80 000 Français se sont rendus dans son pays au cours des neuf premiers mois de l'année, soit un nombre égal à 75 % de ce qu'il était avant la pandémie de Covid.
Bien mieux, la France représente le deuxième marché européen de l'Argentine, après l'Espagne.
Certes, les touristes européens restent bien moins nombreux que ceux venant des pays d'Amérique latine tout proches ou même des Etats-Unis, mais ils constituent une clientèle prometteuse.
"Les Français, a encore précisé Ricardo Sosa, plébiscitent le tourisme lié à la nature et aux grands espaces de l'Argentine qui compte 39 parcs nationaux". Et, a-t-il poursuivi, "ils apprécient aussi les cultures ancestrales de l'Argentine, toujours près présentes dans la province de Jujui et de Salta au nord du pays"
"Avec 5 millions de visiteurs étrangers en Argentin, le tourisme argentin est en train de remonter la pente après le Covid", a assuré Ricardo Sosa. Il espère atteindre, à la fin de cette année, 7 millions de touristes, soit autant qu'en 2019, avant le Covid.
Pour développer l'intérêt des Français pour son pays, Ricardo Sosa compte sur la présence de l'Argentine au salon IFTM-TOP RESA et aussi sur des workshops qui seront organisés prochainement dans plusieurs villes françaises.
Les Français ont en tête, bien sûr, la cosmopolite capitale argentine, Buenos Aires, patrie du tango. Mais, assure Ricardo Sosa, des montagnes des Andes aux lacs glaciaires de Patagonie, en passant par les vastes étendues de la Pampa, jusqu'à la jungle et aussi aux vignobles de plusieurs provinces dont celle, désormais célèbre, de Mendoza, "chaque région donne à vivre des aventures hors du commun".
Programme écotouristique phare, la "Ruta Natural" ouvre les portes de plus de 150 destinations naturelles à travers toute l'Argentine. Ce programme qui est accessible sur un site Internet dédié, comprend 17 itinéraires naturels composés d'expériences et d'activités qui célèbrent la nature et la richesse culturelle locales, tout en prenant soin de préserver l'environnement.
"L'Argentine est une destination qui attire par sa diversité et ses mille contrastes", veut croire Ricardo Sosa.
Au demeurant, ces derniers, bien loin de bouder ce lointain pays d'Amérique latine, ont recommencé à lui rendre visite cette année.
Selon Ricardo Sosa, directeur exécutif de Inprotur, l'organisme de promotion de l'Argentine, 80 000 Français se sont rendus dans son pays au cours des neuf premiers mois de l'année, soit un nombre égal à 75 % de ce qu'il était avant la pandémie de Covid.
Bien mieux, la France représente le deuxième marché européen de l'Argentine, après l'Espagne.
Certes, les touristes européens restent bien moins nombreux que ceux venant des pays d'Amérique latine tout proches ou même des Etats-Unis, mais ils constituent une clientèle prometteuse.
"Les Français, a encore précisé Ricardo Sosa, plébiscitent le tourisme lié à la nature et aux grands espaces de l'Argentine qui compte 39 parcs nationaux". Et, a-t-il poursuivi, "ils apprécient aussi les cultures ancestrales de l'Argentine, toujours près présentes dans la province de Jujui et de Salta au nord du pays"
"Avec 5 millions de visiteurs étrangers en Argentin, le tourisme argentin est en train de remonter la pente après le Covid", a assuré Ricardo Sosa. Il espère atteindre, à la fin de cette année, 7 millions de touristes, soit autant qu'en 2019, avant le Covid.
Pour développer l'intérêt des Français pour son pays, Ricardo Sosa compte sur la présence de l'Argentine au salon IFTM-TOP RESA et aussi sur des workshops qui seront organisés prochainement dans plusieurs villes françaises.
Les Français ont en tête, bien sûr, la cosmopolite capitale argentine, Buenos Aires, patrie du tango. Mais, assure Ricardo Sosa, des montagnes des Andes aux lacs glaciaires de Patagonie, en passant par les vastes étendues de la Pampa, jusqu'à la jungle et aussi aux vignobles de plusieurs provinces dont celle, désormais célèbre, de Mendoza, "chaque région donne à vivre des aventures hors du commun".
Programme écotouristique phare, la "Ruta Natural" ouvre les portes de plus de 150 destinations naturelles à travers toute l'Argentine. Ce programme qui est accessible sur un site Internet dédié, comprend 17 itinéraires naturels composés d'expériences et d'activités qui célèbrent la nature et la richesse culturelle locales, tout en prenant soin de préserver l'environnement.
"L'Argentine est une destination qui attire par sa diversité et ses mille contrastes", veut croire Ricardo Sosa.
Tucumán aussi fait sa promotion à l'IFTM
Selon Silvia Soria, histoire, nature, patrimoine et gastronomie sont les atouts maîtres de la province de Tucuman (Photo PB)
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Inprotur, l'organisme de promotion de l'Argentine, et son directeur exécutif Ricardo Sosa, ne sont pas les seuls Argentins à avoir le voyage à Paris. La plus petite province de l'Argentine, celle de Tucumán, située au nord du pays, est, elle aussi, présente au salon IFTM, représentée par Silvia Soria, la coordinatrice de son Office de promotion touristique.
Lors d'un déjeuner de presse organisé dans un restaurant argentin de la capitale française, Silvia Soria a donc vanté les atouts de Tucumán. Sage précaution car cette province située à 1000 km au nord-ouest de Buenos-Aires, est à peu près inconnue des Français.
Sa capitale San Miguel de Tucumán, plus souvent appelée Tucumán tout court, est pourtant une "ville historique". C'est en effet à Tucumán que l'indépendance de l'Argentine a été proclamée le 9 juillet 1816 par le Congrès réuni sur place.
Aujourd'hui, la ville est la cinquième agglomération du pays. Elle est également un centre agricole qui produit en abondance canne à sucre, riz, tabac, fruits et aussi des citrons dont elle est, assure Silvia Soria, "le premier exportateur mondial".
Ces pépites agricoles ne justifieraient pas, à elles seules, de prendre la route de Tucumán.
Pour convaincre de l'intérêt de cette province, Silvia Soria a également mis en avant la "Cité sacrée des Quilmes" qui fait figure de véritable Machu-Picchu argentin. Ce site se visite, un centre d'interprétation est installé sur place et, pour se loger, les villages alentour ne manquent pas de petits hôtels.
Par ailleurs, dans cette province où l'altitude s'échelonne de 480 à 3320 mètres, les paysages sont très divers, les chemins de randonnée extrêmement nombreux et la température agréable (en moyenne) toute l'année, sauf en janvier, pendant l'été argentin, car il fait alors bien plus chaud.
Si le voyage à Tucumán devrait donc combler les amateurs de patrimoine et les randonneurs, il devrait également, espère Silvia Soria, séduire les gourmets car c'est une "destination gastronomique". Non seulement la province se trouve sur la désormais célèbre "route des vins de l'Argentine", mais chaque année se tient à San Miguel de Tucumán un festival de l'empanada : ce petit chausson en pâte feuilletée farci de viande est en effet emblématique de cette province même si sa recette n'a pas été inventée sur place.
Enfin, assure Silvia Soria, la province est bien pourvue en hôtels : à côté d'hôtels "nationaux" et d'agritourisme, sont présentes les établissements de plusieurs grandes chaînes internationales comme Sheraton et Hilton. sont présentes. S'y ajoutent des hôtels "nationaux" et aussi des agritourisme.
Cependant, il ne faut pas espérer se rendre à Tucumán en train ou par la route : ce serait affreusement long. Par chance, l'aéroport de San Miguel est le deuxième d'Argentine, il a été agrandi récemment pour faire atterrir les gros porteurs et il est desservi par de nombreuses compagnies.
Ensuite, pour visiter la province, il faudra quand même en passer par une location de voiture.
Lors d'un déjeuner de presse organisé dans un restaurant argentin de la capitale française, Silvia Soria a donc vanté les atouts de Tucumán. Sage précaution car cette province située à 1000 km au nord-ouest de Buenos-Aires, est à peu près inconnue des Français.
Sa capitale San Miguel de Tucumán, plus souvent appelée Tucumán tout court, est pourtant une "ville historique". C'est en effet à Tucumán que l'indépendance de l'Argentine a été proclamée le 9 juillet 1816 par le Congrès réuni sur place.
Aujourd'hui, la ville est la cinquième agglomération du pays. Elle est également un centre agricole qui produit en abondance canne à sucre, riz, tabac, fruits et aussi des citrons dont elle est, assure Silvia Soria, "le premier exportateur mondial".
Ces pépites agricoles ne justifieraient pas, à elles seules, de prendre la route de Tucumán.
Pour convaincre de l'intérêt de cette province, Silvia Soria a également mis en avant la "Cité sacrée des Quilmes" qui fait figure de véritable Machu-Picchu argentin. Ce site se visite, un centre d'interprétation est installé sur place et, pour se loger, les villages alentour ne manquent pas de petits hôtels.
Par ailleurs, dans cette province où l'altitude s'échelonne de 480 à 3320 mètres, les paysages sont très divers, les chemins de randonnée extrêmement nombreux et la température agréable (en moyenne) toute l'année, sauf en janvier, pendant l'été argentin, car il fait alors bien plus chaud.
Si le voyage à Tucumán devrait donc combler les amateurs de patrimoine et les randonneurs, il devrait également, espère Silvia Soria, séduire les gourmets car c'est une "destination gastronomique". Non seulement la province se trouve sur la désormais célèbre "route des vins de l'Argentine", mais chaque année se tient à San Miguel de Tucumán un festival de l'empanada : ce petit chausson en pâte feuilletée farci de viande est en effet emblématique de cette province même si sa recette n'a pas été inventée sur place.
Enfin, assure Silvia Soria, la province est bien pourvue en hôtels : à côté d'hôtels "nationaux" et d'agritourisme, sont présentes les établissements de plusieurs grandes chaînes internationales comme Sheraton et Hilton. sont présentes. S'y ajoutent des hôtels "nationaux" et aussi des agritourisme.
Cependant, il ne faut pas espérer se rendre à Tucumán en train ou par la route : ce serait affreusement long. Par chance, l'aéroport de San Miguel est le deuxième d'Argentine, il a été agrandi récemment pour faire atterrir les gros porteurs et il est desservi par de nombreuses compagnies.
Ensuite, pour visiter la province, il faudra quand même en passer par une location de voiture.