Cette fois, mais je m’en cogne un peu, c’est le week-end, on va encore dire que je suis corrompu. Bof.
Je persiste et je signe, il existe des TO qui croient en la distribution et qui, au lieu de causer sans arrêt de commissions, préfèrent fournir de beaux et bons produits, au juste prix.
D’autres aussi, qui préfèrent « contrôler » leur distribution, mais qui fidélisent leur clientèle par la mise sur le marché de produits tout aussi beaux. C’est le cas de Voyageurs du Monde, lequel préfère coiffer sa distribution, avec tout le succès qu’on lui connait. C’est vrai, c’est pas un Charlot.
Curieusement, alors que Seto et Les Entreprises du Znav annoncent des chiffres plutôt inquiétants, je n’ai rencontré que des TO en croissance. Modérée pour certains, plus conséquente pour d’autres.
Tous ont un point en commun : ils fabriquent des voyages de grande qualité, pas nécessairement beaucoup plus chers que leurs concurrents.
Je pense notamment à Boomerang/NG Travel, ses clubs Kappa notamment qui restent dans une gamme de prix tout à fait raisonnable, tout en offrant à ses clients une qualité qui tient plus du haut de gamme que du lancer de tongs et jeux apéros. Résolument tourné aussi sur la découverte des destinations dans lesquelles il s’installe.
Un vrai bonheur pour les distributeurs…
Je persiste et je signe, il existe des TO qui croient en la distribution et qui, au lieu de causer sans arrêt de commissions, préfèrent fournir de beaux et bons produits, au juste prix.
D’autres aussi, qui préfèrent « contrôler » leur distribution, mais qui fidélisent leur clientèle par la mise sur le marché de produits tout aussi beaux. C’est le cas de Voyageurs du Monde, lequel préfère coiffer sa distribution, avec tout le succès qu’on lui connait. C’est vrai, c’est pas un Charlot.
Curieusement, alors que Seto et Les Entreprises du Znav annoncent des chiffres plutôt inquiétants, je n’ai rencontré que des TO en croissance. Modérée pour certains, plus conséquente pour d’autres.
Tous ont un point en commun : ils fabriquent des voyages de grande qualité, pas nécessairement beaucoup plus chers que leurs concurrents.
Je pense notamment à Boomerang/NG Travel, ses clubs Kappa notamment qui restent dans une gamme de prix tout à fait raisonnable, tout en offrant à ses clients une qualité qui tient plus du haut de gamme que du lancer de tongs et jeux apéros. Résolument tourné aussi sur la découverte des destinations dans lesquelles il s’installe.
Un vrai bonheur pour les distributeurs…
Pour Asia, auquel j’assiste traditionnellement à la présentation annuelle de la production (oui, j’ai un faible pour Maitre Yoda et son restau favori), pas de surprise non plus. La réputation de la marque est solide, le produit contrôlé et les distributeurs en redemandent.
Et puis, j’ai vu aussi le petit nouveau, celui qui au passage nous aura fait découvrir (du moins pour certains dont moi), un merveilleux hôtel niché en plein Montmartre.
FX de Boüard a en effet racheté à mon camarade Hélion Secrets de Voyages.
On attend avec impatience la sortie du « magazine » recensant les nouveaux produits de ce voyagiste haut de gamme. Très haut de gamme même, mais qui, comme ses confrères, a compris qu’il existe une clientèle peu ou pas affectée par les crises, économique ou sociale.
Et qui, lui aussi, a compris qu’en fournissant aux distributeurs des produits de qualité, c’était une affaire qui ne pouvait que tourner.
Curieusement d’ailleurs, certains réseaux ont décidé de ne pas lui accorder leur bénédiction. Heureux les pauvres d’esprit aurait dit un type qui sévissait il y a fort longtemps. Il a eu une drôle de fin…
Oh, certes, il faut aussi penser à la masse de clientèle, parfois peu fortunée, qui préfère parce que tout le monde y a droit, partir à petit prix vers des endroits… moins « branchés ».
Et puis, j’ai vu aussi le petit nouveau, celui qui au passage nous aura fait découvrir (du moins pour certains dont moi), un merveilleux hôtel niché en plein Montmartre.
FX de Boüard a en effet racheté à mon camarade Hélion Secrets de Voyages.
On attend avec impatience la sortie du « magazine » recensant les nouveaux produits de ce voyagiste haut de gamme. Très haut de gamme même, mais qui, comme ses confrères, a compris qu’il existe une clientèle peu ou pas affectée par les crises, économique ou sociale.
Et qui, lui aussi, a compris qu’en fournissant aux distributeurs des produits de qualité, c’était une affaire qui ne pouvait que tourner.
Curieusement d’ailleurs, certains réseaux ont décidé de ne pas lui accorder leur bénédiction. Heureux les pauvres d’esprit aurait dit un type qui sévissait il y a fort longtemps. Il a eu une drôle de fin…
Oh, certes, il faut aussi penser à la masse de clientèle, parfois peu fortunée, qui préfère parce que tout le monde y a droit, partir à petit prix vers des endroits… moins « branchés ».
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Mais en même temps, je me pose la question de savoir si les chiffres donnés par nos instances professionnelles ne concernent justement pas ces producteurs, multiples, qui se tirent la bourre entre eux, tout en fournissant les mêmes produits.
Et qui se battent à coups de prix de plus en plus ridicules, pressurant leurs fournisseurs qui n’en peuvent plus et qui, bien évidemment, donnent le minimum… sous peine de déclarer forfait.
Mais au moins, pour ces distributeurs qui se cherchent encore, y’a au moins des choses à vendre. Beaucoup et à tous les prix.
Et j’en viens à me demander pourquoi toute cette distribution se trouve encore si perturbée. J’ai relu avec attention le papier paru hier dans nos colonnes, « le bal des enseignes », j’avoue avoir du mal à suivre.
Contrairement à certains pays proches, nous avons, en France, la chance de disposer d’une offre pléthorique, qui s’adresse à tout le monde.
Il suffit de faire le bon choix, ce n’est pas très compliqué !
Et qui se battent à coups de prix de plus en plus ridicules, pressurant leurs fournisseurs qui n’en peuvent plus et qui, bien évidemment, donnent le minimum… sous peine de déclarer forfait.
Mais au moins, pour ces distributeurs qui se cherchent encore, y’a au moins des choses à vendre. Beaucoup et à tous les prix.
Et j’en viens à me demander pourquoi toute cette distribution se trouve encore si perturbée. J’ai relu avec attention le papier paru hier dans nos colonnes, « le bal des enseignes », j’avoue avoir du mal à suivre.
Contrairement à certains pays proches, nous avons, en France, la chance de disposer d’une offre pléthorique, qui s’adresse à tout le monde.
Il suffit de faire le bon choix, ce n’est pas très compliqué !