Etrange que cette journée d'hier, traditionnel moment d'assemblée générale pour les deux "grandes" instances de la profession que sont l'Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme, plus communément nommée APST, et le Syndicat National des Agences de Voyages, plus commodément cité en Znav (un défaut de prononciation, sans doute).
Comme je l'exprimais plus haut, étrange parce que ces réunions, visiblement, ne semblent pas concerner ceux et celles pour qui elles ont été organisées.
Et pourtant…
Cette journée était importante et marque un tournant dans la vie de la profession.
Comme je l'exprimais plus haut, étrange parce que ces réunions, visiblement, ne semblent pas concerner ceux et celles pour qui elles ont été organisées.
Et pourtant…
Cette journée était importante et marque un tournant dans la vie de la profession.
Il y a sept ans, c'était encore au Palais Brongniart à la Bourse (nettement plus confortable que ces Salons Hoche), que l'APS - à qui il manquait encore un "T" - élisait difficilement un mec, d'allure bonhomme et sans grand panache, à l'accent marqué et au sourire patelin à la présidence.
Ceci au grand dam de beaucoup qui croyaient encore à la période dorée du "tout va bien", "on ne change rien" et je ne serai pas plus prolixe dans ces considérations.
Nabet a pris la présidence de la Caisse de Garantie et la faillite de Marsans simultanément et en pleine poire. Je le sais, j'y étais.
Ces aimables pots de chambre qui encombrent la profession auront tout fait pour le décourager, l'humilier, tenter de le conduire à la démission.
Il a tenu, largement et s'en va, la larme à l'œil, après un septennat brillant.
Enfin, il ne s'en va pas tout à fait, élu brillamment et haut la main en tant qu'administrateur.
En revanche, ses pairs ne lui auront pas accordé leurs voix au sein du bureau de l'association. Une faute...
Néanmoins, il laisse une maison en ordre, sans souci financier, une nouvelle présidente consensuelle (malgré la surprenante candidature de dernière minute de Didier Calas et Laure Tré-Hardy) et qui se soucie peu de politique et semble décidée à poursuivre l'œuvre accomplie.
Ceci en apportant ses idées, son franc-parler et sa maîtrise de la gestion… pour le bien-être de tous les adhérents et même de ceux qui ne le sont pas encore !
Ceci au grand dam de beaucoup qui croyaient encore à la période dorée du "tout va bien", "on ne change rien" et je ne serai pas plus prolixe dans ces considérations.
Nabet a pris la présidence de la Caisse de Garantie et la faillite de Marsans simultanément et en pleine poire. Je le sais, j'y étais.
Ces aimables pots de chambre qui encombrent la profession auront tout fait pour le décourager, l'humilier, tenter de le conduire à la démission.
Il a tenu, largement et s'en va, la larme à l'œil, après un septennat brillant.
Enfin, il ne s'en va pas tout à fait, élu brillamment et haut la main en tant qu'administrateur.
En revanche, ses pairs ne lui auront pas accordé leurs voix au sein du bureau de l'association. Une faute...
Néanmoins, il laisse une maison en ordre, sans souci financier, une nouvelle présidente consensuelle (malgré la surprenante candidature de dernière minute de Didier Calas et Laure Tré-Hardy) et qui se soucie peu de politique et semble décidée à poursuivre l'œuvre accomplie.
Ceci en apportant ses idées, son franc-parler et sa maîtrise de la gestion… pour le bien-être de tous les adhérents et même de ceux qui ne le sont pas encore !
J'aime bien Dame Philipon, n'en déplaise à beaucoup.
Et je suis confiant dans sa sagacité afin de s'entourer de bons "conseils" et conseillers.
Encore que, si je me souviens bien, on ne soit jamais "trahi que par les siens" et que ces derniers ne sont pas forcément les "payeurs"...
Mais c'est une autre histoire.
Pour le Znav, pas de surprise. Dorénavant, faudra dire "Les Entrepreneurs du Voyage", penser "jeune" et surtout "rassembler" en laissant à chaque "métier" le soin de se gérer intelligemment.
Jean-Pierre Mas, en fin politique et malgré une salle pour le moins "éparse" en cette après-midi d'hiver (quasi), aura tenté de ratisser… large !
La main tendue au Seto, en quelque sorte, même si ce dernier n'avait délégué que son secrétaire général, observateur attentif des débats.
Et dont on attend quand même une réaction…
Si, une dernière remarque. Martine Pinville, secrétaire d'Etat au Commerce, homologue à Bercy de Matthias Fekl au Quai d'Orsay, s'en est venue déjeuner après un discours, allez, on dit "conventionnel" et on n'en parle plus.
Mais qui montre que le tourisme, ça pourrait quand même intéresser un peu l'Etat…
Et je suis confiant dans sa sagacité afin de s'entourer de bons "conseils" et conseillers.
Encore que, si je me souviens bien, on ne soit jamais "trahi que par les siens" et que ces derniers ne sont pas forcément les "payeurs"...
Mais c'est une autre histoire.
Pour le Znav, pas de surprise. Dorénavant, faudra dire "Les Entrepreneurs du Voyage", penser "jeune" et surtout "rassembler" en laissant à chaque "métier" le soin de se gérer intelligemment.
Jean-Pierre Mas, en fin politique et malgré une salle pour le moins "éparse" en cette après-midi d'hiver (quasi), aura tenté de ratisser… large !
La main tendue au Seto, en quelque sorte, même si ce dernier n'avait délégué que son secrétaire général, observateur attentif des débats.
Et dont on attend quand même une réaction…
Si, une dernière remarque. Martine Pinville, secrétaire d'Etat au Commerce, homologue à Bercy de Matthias Fekl au Quai d'Orsay, s'en est venue déjeuner après un discours, allez, on dit "conventionnel" et on n'en parle plus.
Mais qui montre que le tourisme, ça pourrait quand même intéresser un peu l'Etat…
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