Parce que c’est chaque jour la fête.
Pour les femmes, bien sûr, dont beaucoup d’ailleurs sont des mamans. Ou qui le deviendront…
Pourtant, tous les ans, on remet sur le tapis ce qui ne devrait pas être un problème. Juste un fait de société, hélas récurrent et complètement insupportable.
Comme quoi, on a beau dire, les vieilles coutumes et formes de pensées sont loin d’être indélébiles et, telle la vieille tache de graisse, résistent encore et toujours à l’évolution du monde moderne.
Et que l’on ne vienne pas me parler de religion. Que ce soit chez le catho, le protestant, le musulman, la femme a toujours été considérée comme l’inégale de l’homme.
Seuls les juifs lui accordent une place plus « conséquente » si je puis dire, dans la vie de la société… et encore !
Pour les femmes, bien sûr, dont beaucoup d’ailleurs sont des mamans. Ou qui le deviendront…
Pourtant, tous les ans, on remet sur le tapis ce qui ne devrait pas être un problème. Juste un fait de société, hélas récurrent et complètement insupportable.
Comme quoi, on a beau dire, les vieilles coutumes et formes de pensées sont loin d’être indélébiles et, telle la vieille tache de graisse, résistent encore et toujours à l’évolution du monde moderne.
Et que l’on ne vienne pas me parler de religion. Que ce soit chez le catho, le protestant, le musulman, la femme a toujours été considérée comme l’inégale de l’homme.
Seuls les juifs lui accordent une place plus « conséquente » si je puis dire, dans la vie de la société… et encore !
Au XXIe siècle, rien n’a franchement trop changé.
Seules quelques dames ont réussi à se hisser au premier plan et en ont sacrément bavé avant d’être admises par ces mâles imbus de leur petit attribut pendentif aux responsabilités !
N’oublions pas qu’en France, pays des Lumières, de l’innovation, de la culture et de l’art de vivre, les dames n’auront acquis le droit de vote, (grâce à un communiste, Fernand Grenier) et à la volonté de de Gaulle, général pourtant assez conservateur si je puis dire, que le 23 avril 1944.
Soit il y a à peine 73 ans. Ma maman a moi que j’ai est née dans l’ignorance de son pouvoir de femme !
Et pourtant. Sans elle, vous ne liriez pas tous les matins dans votre média préféré, ces belles réflexions qui vous délectent et dont même les détracteurs les plus acharnés ne peuvent pas se passer !
D’ailleurs, sans ma rédac ’chef préférée, que deviendrait ce même journal (non, pas la peine de me virer tout de suite, mes présidents adorés, tant pis pour ma prime) ?
Plus sérieusement, il serait temps quand même que, une bonne fois pour toutes (comme dirait Juppé), la société - du moins la nôtre -, reconnaisse la parfaite égalité entre les êtres humains en général, entre femmes et hommes en particulier.
Seules quelques dames ont réussi à se hisser au premier plan et en ont sacrément bavé avant d’être admises par ces mâles imbus de leur petit attribut pendentif aux responsabilités !
N’oublions pas qu’en France, pays des Lumières, de l’innovation, de la culture et de l’art de vivre, les dames n’auront acquis le droit de vote, (grâce à un communiste, Fernand Grenier) et à la volonté de de Gaulle, général pourtant assez conservateur si je puis dire, que le 23 avril 1944.
Soit il y a à peine 73 ans. Ma maman a moi que j’ai est née dans l’ignorance de son pouvoir de femme !
Et pourtant. Sans elle, vous ne liriez pas tous les matins dans votre média préféré, ces belles réflexions qui vous délectent et dont même les détracteurs les plus acharnés ne peuvent pas se passer !
D’ailleurs, sans ma rédac ’chef préférée, que deviendrait ce même journal (non, pas la peine de me virer tout de suite, mes présidents adorés, tant pis pour ma prime) ?
Plus sérieusement, il serait temps quand même que, une bonne fois pour toutes (comme dirait Juppé), la société - du moins la nôtre -, reconnaisse la parfaite égalité entre les êtres humains en général, entre femmes et hommes en particulier.
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Je ne reviendrai pas au secteur du tourisme, particulièrement touché par cette profonde inégalité qui y règne.
C’est un fait, les femmes sont une écrasante majorité dans nos métiers du tourisme. Mais combien occupent des postes à « haute responsabilité » ?
Si je ne m’abuse, même dans nos instances professionnelles, il aura fallu attendre combien d’années avant qu’une femme (et quelle femme, caramba) accède à la présidence de cette association, l'APST, pourtant la plus importante et la plus représentative de notre secteur.
Bon, vous me direz, mais ça aussi c’est l’égalité, que du côté du ministère du Tourisme, on a eu quelques femmes, pas toujours du meilleur aloi. La dernière en date, Mademoiselle, aura certes peu marqué les esprits, mais m’aura bien fait rigoler…
Vous remarquerez également que du côté de la presse pro, nos plus grandes journaleuses sont des femmes.
J’ai une petite pensée pour ma complice qui nous a quittés pour vaquer à d’autres occupations et qui a eu un mal de chien, chargée de la rubrique Transport au sein de la rédaction, à se faire « accepter » par tous ces machos de l’aérien…
Une femme dans le transport, pensez-vous…
Ces femmes qui, en 2017, sont toujours payées 26% de moins que les hommes ! Sans compter leur temps, après le boulot, pour s’occuper des courses, des enfants, du chien et de la lessive !
Au fait, avez-vous entendu un candidat à la présidence ne serait-ce que mentionner les droits des femmes dans notre société ?
Et puis, comme je ne suis pas objectif du tout, j’espère qu'Alix Philippon, (petit patapon) première présidente d’une institution professionnelle dans le tourisme, sera adoubée ce soir par le comité des Femmes du Tourisme en tant que Femme du Tourisme de l’année !
En tout cas, moi je vous aime… toutes !
C’est un fait, les femmes sont une écrasante majorité dans nos métiers du tourisme. Mais combien occupent des postes à « haute responsabilité » ?
Si je ne m’abuse, même dans nos instances professionnelles, il aura fallu attendre combien d’années avant qu’une femme (et quelle femme, caramba) accède à la présidence de cette association, l'APST, pourtant la plus importante et la plus représentative de notre secteur.
Bon, vous me direz, mais ça aussi c’est l’égalité, que du côté du ministère du Tourisme, on a eu quelques femmes, pas toujours du meilleur aloi. La dernière en date, Mademoiselle, aura certes peu marqué les esprits, mais m’aura bien fait rigoler…
Vous remarquerez également que du côté de la presse pro, nos plus grandes journaleuses sont des femmes.
J’ai une petite pensée pour ma complice qui nous a quittés pour vaquer à d’autres occupations et qui a eu un mal de chien, chargée de la rubrique Transport au sein de la rédaction, à se faire « accepter » par tous ces machos de l’aérien…
Une femme dans le transport, pensez-vous…
Ces femmes qui, en 2017, sont toujours payées 26% de moins que les hommes ! Sans compter leur temps, après le boulot, pour s’occuper des courses, des enfants, du chien et de la lessive !
Au fait, avez-vous entendu un candidat à la présidence ne serait-ce que mentionner les droits des femmes dans notre société ?
Et puis, comme je ne suis pas objectif du tout, j’espère qu'Alix Philippon, (petit patapon) première présidente d’une institution professionnelle dans le tourisme, sera adoubée ce soir par le comité des Femmes du Tourisme en tant que Femme du Tourisme de l’année !
En tout cas, moi je vous aime… toutes !