Les zones contaminées risquent de se propager comme une traînée de poudre dans les prochaines semaines et les prochains mois...
Bien sûr, j'aurais pu parler de la reconversion de Georges Colson, qui va siéger dorénavant au Conseil d'Administration de Newrest Group, une boîte qui fabrique la bouffe dans les aéroplanes et les trains.
Ben Georges, si vous avez un peu d'influence, tâchez de leur inspirer des plateaux-repas appétissants et évitez ces éternels brocolis infâmes.
Bon, ça, c'était la digression coutumière, parce que le reste, c'est pas terrible.
On avait le terrorisme, on avait le Sida, maintenant, c'est Ebola…
Bien sûr, je vois des bonnes âmes qui disent : "Ebola ? Mais c'est en Afrique ça. Chez nous, on risque rien !"
Ben si, au même titre que le Sida, Ebola se balade. Et se répand.
Et que c'est une nouvelle saloperie, vraisemblablement créée par l'homme, qui commence à semer la crainte en Occident.
A tel point que beaucoup se demandent si cette saleté ne va pas arriver jusque dans nos contrées. Déjà, en Espagne, c'est l'angoisse, avec cette pauvre infirmière qui aurait été contaminée…
Et en France, ou pour l'instant, aucun cas n'a été signalé, on a vu des parents retirer leurs enfants d'une école au prétexte qu'un gamin rentrait de Guinée.
Eh oui, la rumeur populaire va vite, presque aussi vite que le virus, et du coup, c'est aussi le tourisme qui souffre.
Ben Georges, si vous avez un peu d'influence, tâchez de leur inspirer des plateaux-repas appétissants et évitez ces éternels brocolis infâmes.
Bon, ça, c'était la digression coutumière, parce que le reste, c'est pas terrible.
On avait le terrorisme, on avait le Sida, maintenant, c'est Ebola…
Bien sûr, je vois des bonnes âmes qui disent : "Ebola ? Mais c'est en Afrique ça. Chez nous, on risque rien !"
Ben si, au même titre que le Sida, Ebola se balade. Et se répand.
Et que c'est une nouvelle saloperie, vraisemblablement créée par l'homme, qui commence à semer la crainte en Occident.
A tel point que beaucoup se demandent si cette saleté ne va pas arriver jusque dans nos contrées. Déjà, en Espagne, c'est l'angoisse, avec cette pauvre infirmière qui aurait été contaminée…
Et en France, ou pour l'instant, aucun cas n'a été signalé, on a vu des parents retirer leurs enfants d'une école au prétexte qu'un gamin rentrait de Guinée.
Eh oui, la rumeur populaire va vite, presque aussi vite que le virus, et du coup, c'est aussi le tourisme qui souffre.
Il suffit de regarder les Bourses (non, pas de sourire lubrique) les places financières si vous préférez.
Londres, par exemple, accusait hier une baisse rapportée par nos confrères Les Echos, qui souligne, citant un expert, que "Les valeurs du secteur du tourisme et des loisirs ont souffert à cause de la menace posée par Ebola"!
Et voilà ! TUI Travel Group perd de la valeur, certaines compagnies aériennes, de même que les croisiéristes souffrent aussi.
Forcément, ce qui devait se produire est en train de se produire. Les touristes vont commencer à réticer pour se déplacer dans ces pays à risques…
Mais au fait, quels sont les pays à risque ? Je n'ai pas encore vu de recommandation majeure de la part du Quai d'Orsay, lequel doit encore se concentrer sur les zones terroristes.
Mais au moins, on est rassuré pour l'instant : ni la Tunisie, ni le Maroc, ni l'Egypte ne font partie de la zone Ebola.
En revanche, au Ministère du Tourisme français, on doit commencer à s'inquiéter dur.
Et pour citer les récentes déclarations du patron d'Atout France, Christian Manteï, "La France doit faire rêver", de façon à attirer les touristes étrangers dans notre pays.
Mais, avec Ebola, dont les plus sinistres augures prévoient l'arrivée en France d'ici la fin du mois, que va-t-il se passer ?
Non seulement en France, d'ailleurs, mais dans l'Europe entière. Une infirmière contaminée en Espagne et c'est l'ensemble de l'Europe qui risque d'être plombée.
Perso, je ne suis pas inquiet. Comme dirait nos bons camarades des Conseils aux Voyageurs, il suffit d'être vigilant. Si j'en crois les bonnes sources, l'Ebola s'attrape par la salive, le toucher ou par contact sexuel.
C'est triste, mais va falloir faire, une nouvelle fois, preuve d'abstinence. On n'en finit pas avec l'austérité...
Ça craint !
Londres, par exemple, accusait hier une baisse rapportée par nos confrères Les Echos, qui souligne, citant un expert, que "Les valeurs du secteur du tourisme et des loisirs ont souffert à cause de la menace posée par Ebola"!
Et voilà ! TUI Travel Group perd de la valeur, certaines compagnies aériennes, de même que les croisiéristes souffrent aussi.
Forcément, ce qui devait se produire est en train de se produire. Les touristes vont commencer à réticer pour se déplacer dans ces pays à risques…
Mais au fait, quels sont les pays à risque ? Je n'ai pas encore vu de recommandation majeure de la part du Quai d'Orsay, lequel doit encore se concentrer sur les zones terroristes.
Mais au moins, on est rassuré pour l'instant : ni la Tunisie, ni le Maroc, ni l'Egypte ne font partie de la zone Ebola.
En revanche, au Ministère du Tourisme français, on doit commencer à s'inquiéter dur.
Et pour citer les récentes déclarations du patron d'Atout France, Christian Manteï, "La France doit faire rêver", de façon à attirer les touristes étrangers dans notre pays.
Mais, avec Ebola, dont les plus sinistres augures prévoient l'arrivée en France d'ici la fin du mois, que va-t-il se passer ?
Non seulement en France, d'ailleurs, mais dans l'Europe entière. Une infirmière contaminée en Espagne et c'est l'ensemble de l'Europe qui risque d'être plombée.
Perso, je ne suis pas inquiet. Comme dirait nos bons camarades des Conseils aux Voyageurs, il suffit d'être vigilant. Si j'en crois les bonnes sources, l'Ebola s'attrape par la salive, le toucher ou par contact sexuel.
C'est triste, mais va falloir faire, une nouvelle fois, preuve d'abstinence. On n'en finit pas avec l'austérité...
Ça craint !
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