Au 21ème siècle, c’est bien ça le plus grave, on en est encore à consacrer une « journée mondiale » pour les droits des femmes - Depositphotos.com roobcio
Et surtout, le plus important, cette journée, une parmi les 365 que compte une année, célèbre les « droits de la femme » !
Il y a des moments, lorsque l’on est un mec (désolé, personne n’est parfait) normal, on a envie de se les prendre et de les mordre.
Au 21ème siècle, c’est bien ça le plus grave, on en est encore à consacrer une « journée mondiale » pour les droits des femmes.
Madame Veil doit surement encore s’en retourner dans son cercueil des Invalides, elle qui a tant fait pour que nos compagnes puissent enfin gérer leur vie comme elles le souhaitent…
J’en suis même à me demander si le monde serait tel qu’il est si les femmes n’y avaient pas mis le bout de leur nez. Et pourtant, en l’an 2019, les femmes ne sont toujours pas à égalité avec la puissance masculine.
Pourtant, incontestablement, en quelques siècles, on a quand même fait des progrès… De génitrice soumise, la femme, à force de ténacité, de lutte, a réussi non seulement à voter (en France, ça date d’à peine 70 ans (1944), puis à accéder à des postes à responsabilité… Parfois limitée !
Il y a des moments, lorsque l’on est un mec (désolé, personne n’est parfait) normal, on a envie de se les prendre et de les mordre.
Au 21ème siècle, c’est bien ça le plus grave, on en est encore à consacrer une « journée mondiale » pour les droits des femmes.
Madame Veil doit surement encore s’en retourner dans son cercueil des Invalides, elle qui a tant fait pour que nos compagnes puissent enfin gérer leur vie comme elles le souhaitent…
J’en suis même à me demander si le monde serait tel qu’il est si les femmes n’y avaient pas mis le bout de leur nez. Et pourtant, en l’an 2019, les femmes ne sont toujours pas à égalité avec la puissance masculine.
Pourtant, incontestablement, en quelques siècles, on a quand même fait des progrès… De génitrice soumise, la femme, à force de ténacité, de lutte, a réussi non seulement à voter (en France, ça date d’à peine 70 ans (1944), puis à accéder à des postes à responsabilité… Parfois limitée !
Allez, j’arrête, je préfère tenter puisque c’est le jour (le reste de l’année, ça ne compte pas), souligner le bonheur que nous avons, nous autres pauvres mecs, à travailler avec ces dames.
Particulièrement dans notre secteur du tourisme, profession quasi dévolue et occupée par la gent féminine. Certes, mesdames, dans les agences de voyages, vous êtes une majorité écrasante et c’est tant mieux. N’empêche, que, comme le dit ma copine Mimi Sani, « débutantes ou en fin de carrière, vous êtes bien mal payées. » Et, pour décrocher un voyage, faut encore se lever de très bonne heure !
Pourtant, y’a quand même un progrès dans notre secteur. L’APST, par exemple, après des années de présidence masculine, est désormais dirigée par une dame, mon amie Alix petipatapon, laquelle tient bien la vieille maison. Et c’est tant mieux !
Et combien de ces présidents de grandes entreprises du tourisme seraient ce qu’ils sont si, à leurs côtés, ne se tenait une compagne attentive ? Tout ceux que j’ai rencontrés au cours de mes interviews en parlent avec émotion…
Un clin d’œil particulier à cette grande dame du tourisme français, Michèle Sani, qui, en termes toujours pudiques et modestes, nous a confié son parcours, loin d’être facile. Mais, au moins, dans la presse, nous avons des journalistes qui ont « connu le terrain » !
Et je suis assez fier d’être son ami.
Particulièrement dans notre secteur du tourisme, profession quasi dévolue et occupée par la gent féminine. Certes, mesdames, dans les agences de voyages, vous êtes une majorité écrasante et c’est tant mieux. N’empêche, que, comme le dit ma copine Mimi Sani, « débutantes ou en fin de carrière, vous êtes bien mal payées. » Et, pour décrocher un voyage, faut encore se lever de très bonne heure !
Pourtant, y’a quand même un progrès dans notre secteur. L’APST, par exemple, après des années de présidence masculine, est désormais dirigée par une dame, mon amie Alix petipatapon, laquelle tient bien la vieille maison. Et c’est tant mieux !
Et combien de ces présidents de grandes entreprises du tourisme seraient ce qu’ils sont si, à leurs côtés, ne se tenait une compagne attentive ? Tout ceux que j’ai rencontrés au cours de mes interviews en parlent avec émotion…
Un clin d’œil particulier à cette grande dame du tourisme français, Michèle Sani, qui, en termes toujours pudiques et modestes, nous a confié son parcours, loin d’être facile. Mais, au moins, dans la presse, nous avons des journalistes qui ont « connu le terrain » !
Et je suis assez fier d’être son ami.
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Un gros sourire aussi à toutes ces dames de la presse professionnelle, qui tiennent des plus en plus les rênes de leurs journaux respectifs, particulièrement à ma Céline à moi que j’ai, toujours là pour supporter nos angoisses, nos désillusions et qui tiennent non seulement leur entreprise, mais en plus, gèrent aussi une vie de famille, des enfants et que sais-je encore.
Vous êtes nombreuses dans ce cas, qui, après avoir subit les clients d’une agence, rentrez tard gérer les problèmes quotidiens.
Une pensée aussi à toutes ces femmes qui se battent pour leur entreprise, (coucou, ma vieille Miche) et qui sont tellement peu récompensées.
Sincèrement je vous aime !
Vous êtes nombreuses dans ce cas, qui, après avoir subit les clients d’une agence, rentrez tard gérer les problèmes quotidiens.
Une pensée aussi à toutes ces femmes qui se battent pour leur entreprise, (coucou, ma vieille Miche) et qui sont tellement peu récompensées.
Sincèrement je vous aime !