Une entente cordiale entre tous les opérateurs ? Les barrières, les différences existent et sont plus que jamais là © Matthias Enter - Fotolia.com
Les deux, pardon, trois commentaires sont particulièrement parlants.
Certes, Mando lyne, (super le pseudo, j’aime) fait la remarque des professionnels « sur le bout des ongles » et pas « jusqu’au bout des ongles ».
Moi, vous me connaissez, j’aime assez jouer avec les mots et comme nous avons la chance d’avoir une superbe langue, y’a pas de raison de ne pas jouer un peu avec.
D’autant, qu’après vérification, les deux expressions sont parfaitement admises…
Ceci étant, je voudrais également conseiller à ce bon commentateur qui signe Rbs qu’il faudrait arrêter de fumer. C’est pas bon pour la santé.
Oh, que l’on se rassure, nous avons bien reconnu mon éminent contradicteur, ce bon Raouf, mais j’avoue ne pas avoir compris grand-chose à la première partie de son intervention.
Ah moins que, malin, et connaissant l’audience que suscite la publication des « commentaires », il en profite pour se faire de la pub à moindre frais.
Mais, chez TourMaG.com, on ne mesquine pas : cette pub est offerte par la Case de Dom et c’est pas une raison pour la décompter de mon salaire !
Certes, Mando lyne, (super le pseudo, j’aime) fait la remarque des professionnels « sur le bout des ongles » et pas « jusqu’au bout des ongles ».
Moi, vous me connaissez, j’aime assez jouer avec les mots et comme nous avons la chance d’avoir une superbe langue, y’a pas de raison de ne pas jouer un peu avec.
D’autant, qu’après vérification, les deux expressions sont parfaitement admises…
Ceci étant, je voudrais également conseiller à ce bon commentateur qui signe Rbs qu’il faudrait arrêter de fumer. C’est pas bon pour la santé.
Oh, que l’on se rassure, nous avons bien reconnu mon éminent contradicteur, ce bon Raouf, mais j’avoue ne pas avoir compris grand-chose à la première partie de son intervention.
Ah moins que, malin, et connaissant l’audience que suscite la publication des « commentaires », il en profite pour se faire de la pub à moindre frais.
Mais, chez TourMaG.com, on ne mesquine pas : cette pub est offerte par la Case de Dom et c’est pas une raison pour la décompter de mon salaire !
Dominique Gobert - DR
Plus sérieusement, les quelques lignes écrites par la présidente de ce réseau hors normes qu’est le Cediv, méritent réflexion.
Bien sûr, chère Adriana que, « dans ce monde bouleversé », il faudra toujours des professionnels tels que les membres du Cediv.
Comme il faudra des professionnels de Selectour pou de Manor, et même de chez TourCom, lesquels se sont cruellement égarés dans une chimère qu’ils finiront par comprendre… un jour !
Ça doit faire maintenant plus de quinze ans que, systématiquement on entend la vieille rengaine : « les agences de voyages sont appelées à disparaître », en particulier face à la présence de ces nouveaux distributeurs « en ligne » ou de ces mastodontes, style Tui (prononcez tu-i, comme cuit) ou Thomas Cook, par exemple.
Bien sûr, chère Adriana que, « dans ce monde bouleversé », il faudra toujours des professionnels tels que les membres du Cediv.
Comme il faudra des professionnels de Selectour pou de Manor, et même de chez TourCom, lesquels se sont cruellement égarés dans une chimère qu’ils finiront par comprendre… un jour !
Ça doit faire maintenant plus de quinze ans que, systématiquement on entend la vieille rengaine : « les agences de voyages sont appelées à disparaître », en particulier face à la présence de ces nouveaux distributeurs « en ligne » ou de ces mastodontes, style Tui (prononcez tu-i, comme cuit) ou Thomas Cook, par exemple.
Autres articles
-
Cediv : premier réseau à intégrer l’IA !
-
Le Cediv sur le toit de l’Afrique : "Ils en rêvaient, ils l’ont fait !"
-
Le Cediv tiendra son prochain convenc’tour en Guadeloupe
-
Jean-Pierre Nadir (FairMoove) : "Voyage : l’esprit plutôt que le prix" 🔑
-
Intelligence artificielle : "Agences de voyages, ne ratez pas la révolution"
Pour ce qui est des distributeurs en ligne, ben, quinze ans après, c’est pas la panacée, si je puis me permettre. Certains ont eu beau racheter des voyagistes classiques, chercher à se procurer des points de vente « physiques », je ne suis pas sûr que les résultats aient procurés joie et bénéfices aux actionnaires, pour la plupart des fonds de pension qui commencent à douter sérieusement d’un éventuel « retour sur investissement ».
Un Thomas Cook, en quelques dix ans, n’aura réussi, bon an mal an qu’à tenter de stabiliser une position fragile sur le marché français. Il aura fallu, enfin, l’arrivée d’un patron rompu à l’exercice de sa profession, pour le maintenir en France…
Quant à Tui ( prononcez toujours cuit )…
En revanche, chère Adriana, et je vous cite « faire un clin d’œil à tous les absents qui ne se donnent pas le temps de partager un moment aussi important de l’année, où il n’y a plus de barrières, de différence mais des professionnels avec un seul objectif : une entente encore plus forte, seul moyen pour chacun de nous, de redonner confiance au client. »
Tout faux ! Les barrières, les différences existent et sont plus que jamais là.
Vous le savez parfaitement. Redonner confiance au client ? Balivernes, le client croit ce qu’on lui dit, recherche un prix et basta.
Et vous savez pertinemment que les gros mastodontes ne se privent pas de tenter un passage « en force » afin d’attirer le client directement chez eux !
« En 2018 que souhaiter de mieux que ce soit tous ensemble que nous y travaillions et retrouvons-nous en janvier 2019, bien plus nombreux.
Pascal, à l'année prochaine ?? » dites-vous Adriana ?
Déjà, entre eux, ils ne s’entendent pas, malgré les grands sourires et les tapes dans le dos… Et vous voudriez une entente cordiale ?
Apprenez à causer le teuton, chère Adriana…
Un Thomas Cook, en quelques dix ans, n’aura réussi, bon an mal an qu’à tenter de stabiliser une position fragile sur le marché français. Il aura fallu, enfin, l’arrivée d’un patron rompu à l’exercice de sa profession, pour le maintenir en France…
Quant à Tui ( prononcez toujours cuit )…
En revanche, chère Adriana, et je vous cite « faire un clin d’œil à tous les absents qui ne se donnent pas le temps de partager un moment aussi important de l’année, où il n’y a plus de barrières, de différence mais des professionnels avec un seul objectif : une entente encore plus forte, seul moyen pour chacun de nous, de redonner confiance au client. »
Tout faux ! Les barrières, les différences existent et sont plus que jamais là.
Vous le savez parfaitement. Redonner confiance au client ? Balivernes, le client croit ce qu’on lui dit, recherche un prix et basta.
Et vous savez pertinemment que les gros mastodontes ne se privent pas de tenter un passage « en force » afin d’attirer le client directement chez eux !
« En 2018 que souhaiter de mieux que ce soit tous ensemble que nous y travaillions et retrouvons-nous en janvier 2019, bien plus nombreux.
Pascal, à l'année prochaine ?? » dites-vous Adriana ?
Déjà, entre eux, ils ne s’entendent pas, malgré les grands sourires et les tapes dans le dos… Et vous voudriez une entente cordiale ?
Apprenez à causer le teuton, chère Adriana…