Mardi matin, une fois de plus, retour à Orly pour un embarquement vers Marrakech, zone hors Schengen et donc soumise au passage « renforcé » des frontières.
Passage de la PAF et, Ô miracle (à ne pas confondre avec Ô Voyages), pas mal de monde dans la file d’attente « classique », mais, juste sur la gauche, une batterie de Parafe. Super, me dis-je in petto.
Lire : Parafe, c’est quand qu’on signe
Damned. Sur les 7 ou 8 cabines offertes à l’accueil de mon passeport (et de mes doigts agiles aux empreintes immaculées), seules trois affichent une signalisation verte, signifiant leur état opérationnel.
Résolument, et d’un pas décidé, je m’engage, passeport brandi et prêt à être glissé dans la fente goulue de la machine. Ben non, je vois une charmante jeune femme, bel uniforme, se précipiter d’un air contrit, m’annonçant que, non, cette machine n’opère pas, « elle fait un caprice » (sic et totalement avenu !)
Passage de la PAF et, Ô miracle (à ne pas confondre avec Ô Voyages), pas mal de monde dans la file d’attente « classique », mais, juste sur la gauche, une batterie de Parafe. Super, me dis-je in petto.
Lire : Parafe, c’est quand qu’on signe
Damned. Sur les 7 ou 8 cabines offertes à l’accueil de mon passeport (et de mes doigts agiles aux empreintes immaculées), seules trois affichent une signalisation verte, signifiant leur état opérationnel.
Résolument, et d’un pas décidé, je m’engage, passeport brandi et prêt à être glissé dans la fente goulue de la machine. Ben non, je vois une charmante jeune femme, bel uniforme, se précipiter d’un air contrit, m’annonçant que, non, cette machine n’opère pas, « elle fait un caprice » (sic et totalement avenu !)
Je me rabats donc sur une autre machine « verte », après avoir laissé passer une famille, grand-mère comprise et m’engouffre avec délectation dans la cabirotte. Première surprise, le passeport est reconnu du premier coup, ce qui ne m’était pas arrivé depuis fort longtemps.
Joie, continue-je (toujours in petto, je ne voudrais pas avoir l’air d’un dingo parlant tout seul) et pose un premier doigt (toujours à l’empreinte guillerette) sur la machine censée me reconnaitre. Hélas, la machinerie infernale ne répond pas à ma délicate attention…
Evidemment et pour cause, je suis, enfin, rentré dans une machine à reconnaissance faciale. Et là, je rejoins totalement mon ami Pierre, c’est quand qu’on signe et qu’on installe ce bel outil dans tous les aéroports de France. J’ose le dire, c’est génial, c’est comme un photomaton et ça fonctionne !
Sauf que j’avais oublié d’ôter mes lunettes, mais la machine n’en a cure : elle m’a reconnu !
Et là, franchement, faut vraiment y aller. Augustin, cher Président des Aéroports de Paris, (mis fallait pas virer le chef de Roissy, Franck Goldnadel qui avait redonné ses lettres de noblesse à l’aéroport), faut continuer à équiper vos aéroports de cette belle machinerie.
Et les autres aéroports de notre belle France aussi. Il ne s’agit plus de réfléchir maintenant, mais faut y aller. Vite.
Joie, continue-je (toujours in petto, je ne voudrais pas avoir l’air d’un dingo parlant tout seul) et pose un premier doigt (toujours à l’empreinte guillerette) sur la machine censée me reconnaitre. Hélas, la machinerie infernale ne répond pas à ma délicate attention…
Evidemment et pour cause, je suis, enfin, rentré dans une machine à reconnaissance faciale. Et là, je rejoins totalement mon ami Pierre, c’est quand qu’on signe et qu’on installe ce bel outil dans tous les aéroports de France. J’ose le dire, c’est génial, c’est comme un photomaton et ça fonctionne !
Sauf que j’avais oublié d’ôter mes lunettes, mais la machine n’en a cure : elle m’a reconnu !
Et là, franchement, faut vraiment y aller. Augustin, cher Président des Aéroports de Paris, (mis fallait pas virer le chef de Roissy, Franck Goldnadel qui avait redonné ses lettres de noblesse à l’aéroport), faut continuer à équiper vos aéroports de cette belle machinerie.
Et les autres aéroports de notre belle France aussi. Il ne s’agit plus de réfléchir maintenant, mais faut y aller. Vite.
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Je vais quand même vous faire rire (du moins moi, ça m’a fait rire). Au retour, toujours à Orly et pas plus tard qu’hier, repassage à la PAF et cette fois, seulement deux « cabirottes » Parafe. Contre trois cabines à têtes d’humains (en l’occurrence des fonctionnaires de la PAF (ce nom me fait hurler de joie).
Ben, devinez ? La foule, conquise par le nouveau système formait une file d’attente quasi gigantesque, tandis que nos bons policiers attendaient les rares passagers, qui, comme moi et mes camarades de voyage les ont choisis pour faire contrôler nos passeports.
Avec le sourire en plus !
Que la vie du voyageur est compliquée…
Ben, devinez ? La foule, conquise par le nouveau système formait une file d’attente quasi gigantesque, tandis que nos bons policiers attendaient les rares passagers, qui, comme moi et mes camarades de voyage les ont choisis pour faire contrôler nos passeports.
Avec le sourire en plus !
Que la vie du voyageur est compliquée…