Tristesse, incompréhension, stupidité.
C'est la seule réflexion que je puisse énoncer à l'annonce de la mise en liquidation judiciaire de Croisitour.
Une boîte qui atteignait l'âge serein, la cinquantaine, implantée hors de la bobo-citée parisienne, à Marseille donc, et dirigée par une femme qui lui avait consacré une bonne partie de vie.
Une boîte en pleine santé, innovante, différenciante comme diraient certains de mes amis et qui avait largement anticipé l'évolution de la profession…
Une boîte enfin pour laquelle Colette Viera da Silva, sa patronne, allait encore investir plusieurs centaines de milliers d'euros afin d'affiner ses innovations technologiques.
Innovations qui avaient d'ailleurs largement contribué à l'essor de Croisitour… et remporté largement les suffrages de nombreux distributeurs !
Alors, pourquoi, ce coup de poignard, allez-vous demander?
Simple. Une administration aveugle et stupide, des procédures impitoyables, des organismes aux rouages diaboliques et sans aucune réflexion, des défaillances administratives et le tour est joué.
Pas de magie, hélas, la juste triste réalité…
Parce que Croisitour n'avait, je le répète, aucun souci financier, mais avait le tort d'être… allez, je vais, pour une fois rester dans le sobre, le tort disais-je, d'être mal entouré ?
C'est la seule réflexion que je puisse énoncer à l'annonce de la mise en liquidation judiciaire de Croisitour.
Une boîte qui atteignait l'âge serein, la cinquantaine, implantée hors de la bobo-citée parisienne, à Marseille donc, et dirigée par une femme qui lui avait consacré une bonne partie de vie.
Une boîte en pleine santé, innovante, différenciante comme diraient certains de mes amis et qui avait largement anticipé l'évolution de la profession…
Une boîte enfin pour laquelle Colette Viera da Silva, sa patronne, allait encore investir plusieurs centaines de milliers d'euros afin d'affiner ses innovations technologiques.
Innovations qui avaient d'ailleurs largement contribué à l'essor de Croisitour… et remporté largement les suffrages de nombreux distributeurs !
Alors, pourquoi, ce coup de poignard, allez-vous demander?
Simple. Une administration aveugle et stupide, des procédures impitoyables, des organismes aux rouages diaboliques et sans aucune réflexion, des défaillances administratives et le tour est joué.
Pas de magie, hélas, la juste triste réalité…
Parce que Croisitour n'avait, je le répète, aucun souci financier, mais avait le tort d'être… allez, je vais, pour une fois rester dans le sobre, le tort disais-je, d'être mal entouré ?
Je crois d'ailleurs que c'est le mal qui ronge ce pays depuis quelques temps déjà.
Cette propension qu'ont les grands organismes financiers, censé accompagner et permettre le développement de nos entreprises, à faire supporter leurs erreurs et leur inorganisation parfaite (je pèse mes mots) à leurs clients.
Clients qui, encore une fois, sont leur âme et le moteur de notre économie.
Oui, mesdames, mesdemoiselles et messieurs, dans cette profession, il ne faut, hélas, pas faire confiance et il faut tout surveiller.
Je ne peux pas en dire davantage, de peur de nuire à Colette. Je n'oublie pas non plus la vingtaine de salariés de cette entreprise, saine et brillante, qui ont eu une drôle de surprise de ce début d'année.
Curieusement d'ailleurs, (le hasard nous offre parfois de drôles de rencontres), je participais hier à un débat (passionnant) entre représentants de la profession, TO, distributeurs et transporteurs.
Manquaient des banquiers, mais eux, finalement, ça les intéresse pas trop la vie d'une profession qu'ils ne comprennent pas…
Quand un banquier fait une erreur, c''est pas grave : c'est jamais de sa faute et à l'arrivée c'est le client qui paye, de toutes les façons.
Quand un transporteur, lequel a mis au point un système administratif basé dans des contrées lointaines, ne veux rien entendre ni comprendre, c'est toujours le client qui finit par être pénalisé…
Et coule inexorablement. Colette et ses collaborateurs auront payé.
Très cher.
Trop cher !
Cette propension qu'ont les grands organismes financiers, censé accompagner et permettre le développement de nos entreprises, à faire supporter leurs erreurs et leur inorganisation parfaite (je pèse mes mots) à leurs clients.
Clients qui, encore une fois, sont leur âme et le moteur de notre économie.
Oui, mesdames, mesdemoiselles et messieurs, dans cette profession, il ne faut, hélas, pas faire confiance et il faut tout surveiller.
Je ne peux pas en dire davantage, de peur de nuire à Colette. Je n'oublie pas non plus la vingtaine de salariés de cette entreprise, saine et brillante, qui ont eu une drôle de surprise de ce début d'année.
Curieusement d'ailleurs, (le hasard nous offre parfois de drôles de rencontres), je participais hier à un débat (passionnant) entre représentants de la profession, TO, distributeurs et transporteurs.
Manquaient des banquiers, mais eux, finalement, ça les intéresse pas trop la vie d'une profession qu'ils ne comprennent pas…
Quand un banquier fait une erreur, c''est pas grave : c'est jamais de sa faute et à l'arrivée c'est le client qui paye, de toutes les façons.
Quand un transporteur, lequel a mis au point un système administratif basé dans des contrées lointaines, ne veux rien entendre ni comprendre, c'est toujours le client qui finit par être pénalisé…
Et coule inexorablement. Colette et ses collaborateurs auront payé.
Très cher.
Trop cher !
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