Dom a participé à une rencontre du 3e type, lors du voyage inaugurale de Corsair entre Paris et Miami - Crédit photo : Depositphotos @Rawpixel
Mais est-ce franchement raisonnable ?
Néanmoins, toujours à la recherche de ces nouvelles tendances qui font ma grande joie dans ce monde de plus en plus bizarre, il se trouve que j’ai eu l’occasion de participer à un récent voyage de presse, à l’occasion de l’inauguration officielle de la nouvelle ligne de Corsair entre Paris-Orly et Miami, dont je vous narrerai la nouvelle aventure dans les tous prochains jours.
Et comme cette compagnie ne lésine jamais sur les moyens de communication, il se trouve que, outre les journalistes « classiques » présents lors de ce périple, figuraient quelques personnages typiques de ces « influenceurs ».
Terme dont ces filles et garçons semblent très fier, y’en a même un qui m’a dit qu’il était une « star ». Si, si, à tel point que j’ai failli lui demander un autographe pour Chien Charly… et j’ai bien cru voir, dans le regard de Pascal de Izaguirre, le patron de Corsair, un brin d’incrédulité !
Jusqu’à présent, je ne connaissais que les « blogueurs classiques », ceux qui se prennent pour des journaleux dûment certifiés par une carte de presse et qui publient tous les communiqués de presse sur un « blog ».
Néanmoins, toujours à la recherche de ces nouvelles tendances qui font ma grande joie dans ce monde de plus en plus bizarre, il se trouve que j’ai eu l’occasion de participer à un récent voyage de presse, à l’occasion de l’inauguration officielle de la nouvelle ligne de Corsair entre Paris-Orly et Miami, dont je vous narrerai la nouvelle aventure dans les tous prochains jours.
Et comme cette compagnie ne lésine jamais sur les moyens de communication, il se trouve que, outre les journalistes « classiques » présents lors de ce périple, figuraient quelques personnages typiques de ces « influenceurs ».
Terme dont ces filles et garçons semblent très fier, y’en a même un qui m’a dit qu’il était une « star ». Si, si, à tel point que j’ai failli lui demander un autographe pour Chien Charly… et j’ai bien cru voir, dans le regard de Pascal de Izaguirre, le patron de Corsair, un brin d’incrédulité !
Jusqu’à présent, je ne connaissais que les « blogueurs classiques », ceux qui se prennent pour des journaleux dûment certifiés par une carte de presse et qui publient tous les communiqués de presse sur un « blog ».
Dominique Gobert - DR
Mais là, c’est tout différent. Ces influenceurs sont jeunes, marrants, un peu bruyants et particulièrement vivants. Débordants même d’un enthousiasme qui suscite le sourire et la convivialité.
Ce qui, au passage, m’aura permis d’apprendre que leur « média » à eux, c’est surtout Instagram et que Facebook, c’est quasi devenu ringard. A tel point que, d’un seul coup, je me suis senti envahi d’une vague tristesse. Comme le temps passe !
Donc, un influenceur, comment ça fonctionne ? Ben, ça, j’ai vu.
D’abord, ça parle tout le temps, ça rigole beaucoup et ça photographie ou ça vidéotise sans arrêt ! Un truc important, quand vous participez à un repas avec l’influenceur, faut surtout pas commencer un plat avant que le garçon ou la fille, parfois les deux, ne filment le plat, l’assiette, avant qu’eux-mêmes ne se « selfisent » en train de manger ! Très important.
Autre chose, quand vous visitez un lieu, une destination ou ce que vous voulez, faut rester un peu à distance du blogueur-influenceur, parce qu’il se filme en permanence, souvent en train de s’agiter, de danser, parfois de chanter…
Ils font du « live », authentique, mais, sans vouloir paraitre trop ringard, je me demande ce que l’on peut voir de la destination en regardant un joyeux drille se filmer dans une rue ou un aéroplane d’ailleurs !
Ce qui, au passage, m’aura permis d’apprendre que leur « média » à eux, c’est surtout Instagram et que Facebook, c’est quasi devenu ringard. A tel point que, d’un seul coup, je me suis senti envahi d’une vague tristesse. Comme le temps passe !
Donc, un influenceur, comment ça fonctionne ? Ben, ça, j’ai vu.
D’abord, ça parle tout le temps, ça rigole beaucoup et ça photographie ou ça vidéotise sans arrêt ! Un truc important, quand vous participez à un repas avec l’influenceur, faut surtout pas commencer un plat avant que le garçon ou la fille, parfois les deux, ne filment le plat, l’assiette, avant qu’eux-mêmes ne se « selfisent » en train de manger ! Très important.
Autre chose, quand vous visitez un lieu, une destination ou ce que vous voulez, faut rester un peu à distance du blogueur-influenceur, parce qu’il se filme en permanence, souvent en train de s’agiter, de danser, parfois de chanter…
Ils font du « live », authentique, mais, sans vouloir paraitre trop ringard, je me demande ce que l’on peut voir de la destination en regardant un joyeux drille se filmer dans une rue ou un aéroplane d’ailleurs !
Bon. L’influenceur, même durant une soirée un peu « habillée » préfère le short et la chemise à fleurs à la veste ou la robe longue.
En revanche, ils ne sont vraiment pas méchants, bien au contraire et la plupart du temps de très bonne humeur, ce qui, dans un voyage de groupe est toujours plaisant. De plus, ils sont toujours contents, du moins ceux que j’ai pu fréquenter, ce qui est aussi d’un grand confort pour les autres !
Sans vouloir dénigrer, je ne suis pas sûr qu’un influenceur qui danse dans les rues et pérore à tout-va, soit un grand « apporteur d’affaires » pour les entreprises de tourisme, compagnies aériennes ou que sais-je encore.
Mais, si j’en crois un expert, "concernant la notoriété, l’influenceur peut apporter une augmentation du trafic et de prospects ainsi que des contenus qualitatifs permettant à la marque de développer son portefeuille clients."
Après tout, pourquoi pas. Le phénomène prend, parait-il de l’ampleur, à tel point que le prochain Top Résa IFTM leur fait la part belle en « invitant » quelque 40 « professionnels de l’influence » dans son Village des Influenceurs » !
Et, après tout, y’a pas de mal à se faire du bien…
En revanche, ils ne sont vraiment pas méchants, bien au contraire et la plupart du temps de très bonne humeur, ce qui, dans un voyage de groupe est toujours plaisant. De plus, ils sont toujours contents, du moins ceux que j’ai pu fréquenter, ce qui est aussi d’un grand confort pour les autres !
Sans vouloir dénigrer, je ne suis pas sûr qu’un influenceur qui danse dans les rues et pérore à tout-va, soit un grand « apporteur d’affaires » pour les entreprises de tourisme, compagnies aériennes ou que sais-je encore.
Mais, si j’en crois un expert, "concernant la notoriété, l’influenceur peut apporter une augmentation du trafic et de prospects ainsi que des contenus qualitatifs permettant à la marque de développer son portefeuille clients."
Après tout, pourquoi pas. Le phénomène prend, parait-il de l’ampleur, à tel point que le prochain Top Résa IFTM leur fait la part belle en « invitant » quelque 40 « professionnels de l’influence » dans son Village des Influenceurs » !
Et, après tout, y’a pas de mal à se faire du bien…