A propos de se marrer, et même si ça fait ringard (ça c'est pour les pisse-chauds du premier degré), j'aime les Congrès du Cediv.
Et j'ai pas honte de le dire, parce que, même si c'est sérieux, y'a pas de grosses têtes.
En plus, aller à Porto, chez mes amis Totos, c'est un vrai plaisir.
Parait qu'on y va pour changer de vie. Ou plutôt pour échanger les vies. Professionnelles, bien sûr, faut pas non plus déconner. Attention, moi je joue, mais je veux pas être transformé en bimbo débile à forte poitrine au parler improbable.
D'accord, j'aurai peut-être la gloire de figurer en dernière de couverture de Libération. Comme quoi, c'est pas pour dire, mais la presse Grand Public tombe bien bas. Accrochez-vous à votre presse pro, les gars, on est quand même les meilleurs.
Bon, ceci étant, pour ce Congrès, pas de grands parleurs, pas de grands penseurs. Des actes et des faits, comme dirait mon ami Rick à moi que j'ai. Vendeurs, vous allez devenir producteurs, producteurs, vous allez devenir vendeurs.
Nous, les plumeux de service, on est chargé d'observer tout ça et de faire un point en fin de parcours. Ça va pas être triste, je garantis.
Et j'ai pas honte de le dire, parce que, même si c'est sérieux, y'a pas de grosses têtes.
En plus, aller à Porto, chez mes amis Totos, c'est un vrai plaisir.
Parait qu'on y va pour changer de vie. Ou plutôt pour échanger les vies. Professionnelles, bien sûr, faut pas non plus déconner. Attention, moi je joue, mais je veux pas être transformé en bimbo débile à forte poitrine au parler improbable.
D'accord, j'aurai peut-être la gloire de figurer en dernière de couverture de Libération. Comme quoi, c'est pas pour dire, mais la presse Grand Public tombe bien bas. Accrochez-vous à votre presse pro, les gars, on est quand même les meilleurs.
Bon, ceci étant, pour ce Congrès, pas de grands parleurs, pas de grands penseurs. Des actes et des faits, comme dirait mon ami Rick à moi que j'ai. Vendeurs, vous allez devenir producteurs, producteurs, vous allez devenir vendeurs.
Nous, les plumeux de service, on est chargé d'observer tout ça et de faire un point en fin de parcours. Ça va pas être triste, je garantis.
On va voir sûrement qui va vouloir vendre à tout prix du mainstream, qui va se faire un copain par une commission conséquente, qui va avoir des idées et qui va surtout savoir ce que fait l'autre. Ou du moins tenter de comprendre ce que fait l'autre !
Parce que c'est bien la question. Qui sait comment travaille l'autre ?
Qui connait véritablement les problématiques de chacun ?
Qui veut vraiment participer activement à ce marché ?
Encore une fois, c'est une super idée que le thème de cette Convention.
A condition que, au-delà du ludique et de la rigolade, chacun cherche véritablement à se mettre en position de "comprendre", sans idées préfabriquées, sans concession non plus, les problématiques de chacun.
Pas facile. Et pourtant, je sais, ça fait ringard, Rick va pouvoir s'exprimer c'est pas grave, mais les intérêts sont communs. Du dialogue nait la construction et l'entente.
Ah si, encore une interro ? Que va-t-on faire du Colson et du Nabet ? On les mets l'un chez les producteurs, l'autre chez les vendeurs ? Logique, vu leur passé pro.
Manquerait plus que Mademoiselle Pinel pour la table ronde de fin de séjour… Là, je suis sûr qu'on rigolerait franchement… et promis, dans ce cas-là, je n'ouvre pas la bouche, ni la plume. Juré, craché!
Parce que c'est bien la question. Qui sait comment travaille l'autre ?
Qui connait véritablement les problématiques de chacun ?
Qui veut vraiment participer activement à ce marché ?
Encore une fois, c'est une super idée que le thème de cette Convention.
A condition que, au-delà du ludique et de la rigolade, chacun cherche véritablement à se mettre en position de "comprendre", sans idées préfabriquées, sans concession non plus, les problématiques de chacun.
Pas facile. Et pourtant, je sais, ça fait ringard, Rick va pouvoir s'exprimer c'est pas grave, mais les intérêts sont communs. Du dialogue nait la construction et l'entente.
Ah si, encore une interro ? Que va-t-on faire du Colson et du Nabet ? On les mets l'un chez les producteurs, l'autre chez les vendeurs ? Logique, vu leur passé pro.
Manquerait plus que Mademoiselle Pinel pour la table ronde de fin de séjour… Là, je suis sûr qu'on rigolerait franchement… et promis, dans ce cas-là, je n'ouvre pas la bouche, ni la plume. Juré, craché!
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