Pour participer au Marathon de New York, (faut déjà aimer courir, mais bon, personne n'est parfait), il indispensable pour un non-américain, de passer par une agence de voyage, ou du moins un prestataire de tourisme.
C'est ce qu'avaient fait un certain nombre de Français, habiles coureurs, qui s'étaient adressés à une agence, elle-même se fournissant pour la prestation chez Thomas Cook, France en l'occurrence.
Bien. Marathon annulé, coureurs frustrés (pas autant d'ailleurs que les pauvres gens sinistrés par l'ouragan farceur), bizarreries dans la manière d'annuler deux jours avant la course, prestations pas forcément conformes au descriptif du catalogue…
Bref, les clients portent l'affaire en justice et demandent non seulement le remboursement de leur voyage (et leur course) raté, plus des dommages et intérêts, n'omettant de joindre dans leur courroux judiciaire le voyagiste.
Dans le cas qui nous intéresse, TC, mais ce n'est pas le problème, y'en avaient d'autres.
C'est ce qu'avaient fait un certain nombre de Français, habiles coureurs, qui s'étaient adressés à une agence, elle-même se fournissant pour la prestation chez Thomas Cook, France en l'occurrence.
Bien. Marathon annulé, coureurs frustrés (pas autant d'ailleurs que les pauvres gens sinistrés par l'ouragan farceur), bizarreries dans la manière d'annuler deux jours avant la course, prestations pas forcément conformes au descriptif du catalogue…
Bref, les clients portent l'affaire en justice et demandent non seulement le remboursement de leur voyage (et leur course) raté, plus des dommages et intérêts, n'omettant de joindre dans leur courroux judiciaire le voyagiste.
Dans le cas qui nous intéresse, TC, mais ce n'est pas le problème, y'en avaient d'autres.
La loi étant ainsi conçue en France, le Tribunal n'a finalement, fait que l'appliquer. Et, comme chacun le sait, en France, c'est le vendeur, en l'occurrence l'agence de voyage, qui est responsable. Et donc condamnable.
C'est ce qui s'est produit. Et le "producteur", lui, a été dégagé de toute responsabilité, donc de tout dédommagement.
C'est logique, du strict point de vue législatif. Ça l'est moins, à mon sens, d'un point de vue moral. Ce qui, d'ailleurs, me conduit tout doucement à penser que la responsabilité de prestations touristiques devrait être étudiée plus attentivement…
Normalement, et pour reprendre le cas qui nous intéresse, l'agence "vendeuse" aurait notamment manquée à ses obligations d'information.
Bon, je connais pas les détails, mais je suppose que, si cette agence a fait partir ses clients, c'est aussi qu'elle pensait que les prestations seraient fournies par l'organisateur. Ou alors, c'est de la malhonnêteté, ce que je ne peux pas croire.
D'autre part, puisque le "producteur" (quel qu'il soit, ce n'est pas une question de marque, j'en vois qui doutent) a bien fourni au moins l'avion, mais pas forcément l'hébergement ou les fameux "dossards", pourquoi n'est-il pas condamné" solidairement avec l'agence ?
D'autant que, finalement, l'agence a bien dû être obligée de le payer, ce bon fournisseur ? Non ? Vous suivez…
C'est ce qui s'est produit. Et le "producteur", lui, a été dégagé de toute responsabilité, donc de tout dédommagement.
C'est logique, du strict point de vue législatif. Ça l'est moins, à mon sens, d'un point de vue moral. Ce qui, d'ailleurs, me conduit tout doucement à penser que la responsabilité de prestations touristiques devrait être étudiée plus attentivement…
Normalement, et pour reprendre le cas qui nous intéresse, l'agence "vendeuse" aurait notamment manquée à ses obligations d'information.
Bon, je connais pas les détails, mais je suppose que, si cette agence a fait partir ses clients, c'est aussi qu'elle pensait que les prestations seraient fournies par l'organisateur. Ou alors, c'est de la malhonnêteté, ce que je ne peux pas croire.
D'autre part, puisque le "producteur" (quel qu'il soit, ce n'est pas une question de marque, j'en vois qui doutent) a bien fourni au moins l'avion, mais pas forcément l'hébergement ou les fameux "dossards", pourquoi n'est-il pas condamné" solidairement avec l'agence ?
D'autant que, finalement, l'agence a bien dû être obligée de le payer, ce bon fournisseur ? Non ? Vous suivez…
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Et c'est là où je m'interroge sur le bon sens de cette loi sur la responsabilité du vendeur. Que celui-ci ait (peut-être, je n'en sais rien et je ne suis pas juge) manqué en partie à ses devoirs d'information ? A condition d'avoir lui-même été informé par son prestataire…
autre part, même si le vendeur a, effectivement, engrangé le prix de ses ventes, il aura été, forcément, obligé de payer à son tour le fournisseur.
Et, dans ce cas, l'agence, condamnée à rembourser son client (ce qui, sommes toutes est assez normal) va, si je ne m'abuse, trinquer deux fois.
La double peine, en quelque sorte.
J'avoue que, parfois, il y a des choses qui m'échappent… ou alors, c'est que le bon sens ne va pas forcément dans le bon !
autre part, même si le vendeur a, effectivement, engrangé le prix de ses ventes, il aura été, forcément, obligé de payer à son tour le fournisseur.
Et, dans ce cas, l'agence, condamnée à rembourser son client (ce qui, sommes toutes est assez normal) va, si je ne m'abuse, trinquer deux fois.
La double peine, en quelque sorte.
J'avoue que, parfois, il y a des choses qui m'échappent… ou alors, c'est que le bon sens ne va pas forcément dans le bon !