La théorie du climat : une vieille histoire

L’idée selon laquelle le soleil nous mettrait invariablement le sourire aux lèvres relève davantage de la croyance populaire que d’une réalité scientifique - DR : DepositPhotos.com, Wavebreakmedia
La théorie du climat circule depuis l’Antiquité. Elle soutient que le climat pourrait influencer substantiellement la nature de l’être humain et de la société.
Aristote, afin de justifier la supériorité́ du peuple grec, s’appuyait sur la situation géographique de la Grèce et sur les bienfaits de son climat.
Au XVIIe siècle, des auteurs comme La Bruyère, Fénelon ou Nicolas Boileau admettent la théorie des climats et insistent sur l’influence du temps sur les humeurs : « Des siècles, des pays, étudiez les mœurs, les climats font souvent les diverses humeurs » (N. Boileau. Art Poétique, III).
Mais, c’est Montesquieu au XVIIIe siècle qui dote la théorie des climats d’une nouvelle force, cependant douteuse, en l’appliquant au domaine politique.
Aristote, afin de justifier la supériorité́ du peuple grec, s’appuyait sur la situation géographique de la Grèce et sur les bienfaits de son climat.
Au XVIIe siècle, des auteurs comme La Bruyère, Fénelon ou Nicolas Boileau admettent la théorie des climats et insistent sur l’influence du temps sur les humeurs : « Des siècles, des pays, étudiez les mœurs, les climats font souvent les diverses humeurs » (N. Boileau. Art Poétique, III).
Mais, c’est Montesquieu au XVIIIe siècle qui dote la théorie des climats d’une nouvelle force, cependant douteuse, en l’appliquant au domaine politique.
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