Rien que d’écrire ça, j’ai pris 500 grammes...
On va picorer quand on est 2 à être libres (parce que se retrouver en tête à tête avec les brochures, ça pourrait nous couper l’appétit). De temps en temps, il y a une qui fait une tarte, où qui fait une opération commando – macarons chez Picard.
Rien que d’écrire ça, j’ai pris 500 grammes...
Si on calcule bien, Big-boss nous doit donc 45 minutes par jour. D’aucun me feront remarquer que je passe ma life sur FaceBook et à téléphoner aux copines sur les heures de boulot et que je me fume une p’tite clope de temps en temps.
Ça, c’est du temps que je vole à l’agence (certes…) mais comme personne ne quitte l’agence avant 19h le soir, je considère ces moments de distraction comme de la récup’ de ma petite heure supp’ quotidienne.
Détail : on ferme à 18h30. C’est à dire qu’à 18h31, on ferme le rideau de fer et qu’on ne décroche plus le téléphone. Obligé !
Mais on ne met pas dehors le client qui est encore là, on finit tranquillement nos factures ou nos derniers e-mails de la journée et on part l’esprit complètement libre vers 19 heures… le problème, c’est que les clients habitués le savent, alors ils entrent sans état d’âme à 18h29…
Les 45 minutes qu’on ne prend pas à l’heure du déjeuner, ça fait quand même genre 4 heures à la fin de la semaine… du coup, on s’autorise chaque semaine (en gros…)
Rien que d’écrire ça, j’ai pris 500 grammes...
Si on calcule bien, Big-boss nous doit donc 45 minutes par jour. D’aucun me feront remarquer que je passe ma life sur FaceBook et à téléphoner aux copines sur les heures de boulot et que je me fume une p’tite clope de temps en temps.
Ça, c’est du temps que je vole à l’agence (certes…) mais comme personne ne quitte l’agence avant 19h le soir, je considère ces moments de distraction comme de la récup’ de ma petite heure supp’ quotidienne.
Détail : on ferme à 18h30. C’est à dire qu’à 18h31, on ferme le rideau de fer et qu’on ne décroche plus le téléphone. Obligé !
Mais on ne met pas dehors le client qui est encore là, on finit tranquillement nos factures ou nos derniers e-mails de la journée et on part l’esprit complètement libre vers 19 heures… le problème, c’est que les clients habitués le savent, alors ils entrent sans état d’âme à 18h29…
Les 45 minutes qu’on ne prend pas à l’heure du déjeuner, ça fait quand même genre 4 heures à la fin de la semaine… du coup, on s’autorise chaque semaine (en gros…)
Je suis la fille la plus célibataire de la terre
- un vrai déjeuner de genre 2 heures avec une copine qui a un chagrin d’amour (très récurrent), un chéri potentiel (moins récurrent mais ça arrive), une copine de province qui passe quelques jours à Paris… (rayer les mentions inutiles)
- une ou deux courses par semaine ou un rendez-vous chez le médecin, le dentiste, la copine qui essaie une robe de mariée et qui a ab-so-lu-ment besoin de notre avis (à l’occasion, rappeler aux copines que je suis la fille la plus célibataire de la terre et que si je me marie un jour – laissez-moi rire… –, j’aurai passé l’âge de la couronne de fleur d’oranger…
- une grasse matinée les lendemains de cuite (le problème, c’est que ce genre de choses à du mal à se prévoir, alors on envoie un SMS à Isa quand on a un réveil difficile… et il arrive que certains lundis et vendredis matin, il y en ait plusieurs qui manquent à l’appel…)
La règle, c’est quand même d’aller prendre l’air pour ne pas rester coincées dans nos 80 m² de 10h à 19h… alors on va prendre un café au bistrot (pas celui d’en face… celui du bout de la rue…) histoire se s’aérer la tête… (sinon, il y a toujours un risque qu’on tape sur un client *)
Ces petits arrangements avec Big-boss (qui sous ses airs un peu bourru est quand même un type charmant), on a obtenu sans aucun problème, sans jamais revendiquer, et en y allant doucement… par petites touches… et avec le soutien d’Isa-notre-mère-à-toutes (la pauvre chérie n’aura jamais d’enfant… à son âge…).
On appelle ça des « aménagements de notre temps de travail », c’est ça ?
Je suis consciente que ce genre de trucs est applicable dans notre « petite structure où tout le monde est impliqué » et pas dans une grosse usine avec pointeuse.
C’est une raison supplémentaire pour ne jamais envisager de travailler dans une boite de plus de 15 salariés.
- une ou deux courses par semaine ou un rendez-vous chez le médecin, le dentiste, la copine qui essaie une robe de mariée et qui a ab-so-lu-ment besoin de notre avis (à l’occasion, rappeler aux copines que je suis la fille la plus célibataire de la terre et que si je me marie un jour – laissez-moi rire… –, j’aurai passé l’âge de la couronne de fleur d’oranger…
- une grasse matinée les lendemains de cuite (le problème, c’est que ce genre de choses à du mal à se prévoir, alors on envoie un SMS à Isa quand on a un réveil difficile… et il arrive que certains lundis et vendredis matin, il y en ait plusieurs qui manquent à l’appel…)
La règle, c’est quand même d’aller prendre l’air pour ne pas rester coincées dans nos 80 m² de 10h à 19h… alors on va prendre un café au bistrot (pas celui d’en face… celui du bout de la rue…) histoire se s’aérer la tête… (sinon, il y a toujours un risque qu’on tape sur un client *)
Ces petits arrangements avec Big-boss (qui sous ses airs un peu bourru est quand même un type charmant), on a obtenu sans aucun problème, sans jamais revendiquer, et en y allant doucement… par petites touches… et avec le soutien d’Isa-notre-mère-à-toutes (la pauvre chérie n’aura jamais d’enfant… à son âge…).
On appelle ça des « aménagements de notre temps de travail », c’est ça ?
Je suis consciente que ce genre de trucs est applicable dans notre « petite structure où tout le monde est impliqué » et pas dans une grosse usine avec pointeuse.
C’est une raison supplémentaire pour ne jamais envisager de travailler dans une boite de plus de 15 salariés.