Léa est un trouble fête
C’est aussi elle qui parfois nous motive à venir tout de même au bureau quand tout va mal, parce que nous voulons qu’elle continue à sourire en prenant son air faussement cruche quand nous lui demandons de s’occuper de Monsieur Martin et ses 450 chèques vacances de 5 euros, et qu’elle est la seule à nous complimenter sur la nouvelle horrible cravate récemment offerte par notre belle mère.
Certes, Léa est un trouble fête. Nous avions l’habitude de nous auto-congratuler dans les colonnes de la presse professionnelle et en sirotant un long drink dans les carrés VIP des soirées deauvillaises.
A l’occasion, la parole était donnée sur les 12 lignes d’un encart de 3 cm sur 8 à un agent qui témoigne sur un sujet d’actualité. Tiens, ils pensent aussi…
Et voilà qu’une petite agent de comptoir (pouah que le terme est vilain, il est temps d‘oublier les années 50…) vient séduire les journalistes et compte certainement plus de fans qu’il n’y a d’abonnés à la newsletter du SNAV.
Après la grande distrib’, internet, la commission zéro, et autres réformes de la loi de 92, merci Léa, qui a de quoi décoiffer les quelques cheveux qui nous restent.
Certes, Léa est un trouble fête. Nous avions l’habitude de nous auto-congratuler dans les colonnes de la presse professionnelle et en sirotant un long drink dans les carrés VIP des soirées deauvillaises.
A l’occasion, la parole était donnée sur les 12 lignes d’un encart de 3 cm sur 8 à un agent qui témoigne sur un sujet d’actualité. Tiens, ils pensent aussi…
Et voilà qu’une petite agent de comptoir (pouah que le terme est vilain, il est temps d‘oublier les années 50…) vient séduire les journalistes et compte certainement plus de fans qu’il n’y a d’abonnés à la newsletter du SNAV.
Après la grande distrib’, internet, la commission zéro, et autres réformes de la loi de 92, merci Léa, qui a de quoi décoiffer les quelques cheveux qui nous restent.