80 % de la clientèle provient de l’Hexagone, et presque exclusivement à partir de l’aéroport d’Orly. /crédit DepositPhoto
Considérablement touchés par la crise sanitaire depuis le 17 mars 2020, les professionnels de l’UMIH Guadeloupe, de la FAPHT, du Cluster du Tourisme en Martinique, de l’UMIH Martinique de l’AHSM (St Martin) vivent une situation inattendue et dramatique de cessation d’activité.
Les hôteliers antillais évoquent les "pertes d’exploitation insupportables dès le court terme, risquant de mettre en péril de nombreux acteurs de la filière si rien n’est entrepris pour compenser leurs pertes d’exploitation.
Le tourisme Antillais est constitué d’une multitude de filières et d’acteurs hétéroclites qui font la richesse de l’offre Antillaise, et cette palette diversifiée fait vivre beaucoup de monde.
Aujourd’hui, les recettes sont à Zéro, des charges demeurent, et beaucoup de nos professionnels ne sont pas admissibles aux mesures concernant le chômage partiel et le PGE, situation aggravant leurs difficultés, et celles de leurs personnels qui ont à assurer leurs responsabilités familiales et sociétales."
Sans méconnaître les risques liés à la crise sanitaire, et les préconisations à respecter, car nous sommes très attentifs à la priorité à accorder à la santé de tous, il est URGENT pour eux, comme pour tous, alors que nous sommes en Zone verte, peu affectés par le COVID 19 en nette diminution, de ]iredémarrer au plus tôt l’ensemble des activités qui sont tributaires du trafic aérien, sans mesure de distanciation compte tenu des sécurités en place, et sans quatorzaine dissuasive pour les passagers.]i
Les hôteliers antillais évoquent les "pertes d’exploitation insupportables dès le court terme, risquant de mettre en péril de nombreux acteurs de la filière si rien n’est entrepris pour compenser leurs pertes d’exploitation.
Le tourisme Antillais est constitué d’une multitude de filières et d’acteurs hétéroclites qui font la richesse de l’offre Antillaise, et cette palette diversifiée fait vivre beaucoup de monde.
Aujourd’hui, les recettes sont à Zéro, des charges demeurent, et beaucoup de nos professionnels ne sont pas admissibles aux mesures concernant le chômage partiel et le PGE, situation aggravant leurs difficultés, et celles de leurs personnels qui ont à assurer leurs responsabilités familiales et sociétales."
Sans méconnaître les risques liés à la crise sanitaire, et les préconisations à respecter, car nous sommes très attentifs à la priorité à accorder à la santé de tous, il est URGENT pour eux, comme pour tous, alors que nous sommes en Zone verte, peu affectés par le COVID 19 en nette diminution, de ]iredémarrer au plus tôt l’ensemble des activités qui sont tributaires du trafic aérien, sans mesure de distanciation compte tenu des sécurités en place, et sans quatorzaine dissuasive pour les passagers.]i
80 % de notre clientèle provient de l’Hexagone
80 % de notre clientèle provient de l’Hexagone, et presque exclusivement à partir de l’aéroport d’Orly.
La fermeture de celui-ci ne fait que pénaliser encore plus nos destinations, tout particulièrement pour nos clientèles d’affaires. Actuellement, deux terminaux sont ouverts à Roissy et zéro à Orly.
Une autre organisation aurait pu prévaloir...
En conséquence, prolonger la Fermeture d’Orly, c’est décider sans raison justifiée et crédible, d’accélérer l’agonie de nos destinations, car la non réouverture de l’aéroport d’Orly ne fera qu’amplifier nos pertes d’exploitation, dépendantes de la desserte aérienne en provenance d’Orly desservant l’Europe, les pays de la méditerranée et l’Outre-mer.
Nous soutenons fermement la demande des Compagnies Aériennes supra, et vous demandons instamment, Monsieur le Ministre de l'Economie et des Finances, Monsieur le Secrétaire d’État aux transports, Monsieur le PDG d'ADP, Monsieur le directeur d'Orly, D’œuvrer, dès maintenant, en nous tenant informés des actions engagées, pour une réouverture au plus tard le 26 juin 2020 de l’aéroport d’Orly, vital pour nos destinations. "
Pour nos Organisations Touristiques Antillaises Le Président 971,
signé : Nicolas VION
La fermeture de celui-ci ne fait que pénaliser encore plus nos destinations, tout particulièrement pour nos clientèles d’affaires. Actuellement, deux terminaux sont ouverts à Roissy et zéro à Orly.
Une autre organisation aurait pu prévaloir...
En conséquence, prolonger la Fermeture d’Orly, c’est décider sans raison justifiée et crédible, d’accélérer l’agonie de nos destinations, car la non réouverture de l’aéroport d’Orly ne fera qu’amplifier nos pertes d’exploitation, dépendantes de la desserte aérienne en provenance d’Orly desservant l’Europe, les pays de la méditerranée et l’Outre-mer.
Nous soutenons fermement la demande des Compagnies Aériennes supra, et vous demandons instamment, Monsieur le Ministre de l'Economie et des Finances, Monsieur le Secrétaire d’État aux transports, Monsieur le PDG d'ADP, Monsieur le directeur d'Orly, D’œuvrer, dès maintenant, en nous tenant informés des actions engagées, pour une réouverture au plus tard le 26 juin 2020 de l’aéroport d’Orly, vital pour nos destinations. "
Pour nos Organisations Touristiques Antillaises Le Président 971,
signé : Nicolas VION