Le marché de Noël de Strasbourg Strasbourg (Christkindelsmärik en alsacien) est le plus ancien et le plus visité de France.
Des dizaines de petits chalets en bois recouverts de neige artificielle ont poussé depuis quelques semaines déjà sur les places principales de nombreuses villes françaises.
La tradition du marché de Noël, née au XIVe siècle en Allemagne et en Alsace, s’est aujourd’hui développée dans tout le pays. Le plus visité est celui de Strasbourg, qui a célébré l’année dernière ses 400 ans.
Il attire chaque année près de 2 millions de curieux, pour des retombées économiques évaluées à 160 millions d’euros. Pas étonnant qu’il soit le plus vendu par les professionnels qui proposent des packages "marchés de Noël".
Par exemple, sur les douze dates de marché de Noël proposées par Richou Voyages, six concernent la région. Chez Verdié Voyages, 80% des séjours en Alsace sont déjà réservés.
Si l'Alsace est la plus demandée, d'autres régions sont également programmées, comme la Provence où la foire aux santons de Marseille est connue depuis la fin du XIXe siècle. Mais aussi l’Autriche, Prague, la Belgique et le Tyrol, vendus dans une moindre proportion.
Ce produit est fortement apprécié par une clientèle d’individuels seniors, qui partent pour des voyages de 4 à 5 jours avec un panier moyen à partir de 500€.
La tradition du marché de Noël, née au XIVe siècle en Allemagne et en Alsace, s’est aujourd’hui développée dans tout le pays. Le plus visité est celui de Strasbourg, qui a célébré l’année dernière ses 400 ans.
Il attire chaque année près de 2 millions de curieux, pour des retombées économiques évaluées à 160 millions d’euros. Pas étonnant qu’il soit le plus vendu par les professionnels qui proposent des packages "marchés de Noël".
Par exemple, sur les douze dates de marché de Noël proposées par Richou Voyages, six concernent la région. Chez Verdié Voyages, 80% des séjours en Alsace sont déjà réservés.
Si l'Alsace est la plus demandée, d'autres régions sont également programmées, comme la Provence où la foire aux santons de Marseille est connue depuis la fin du XIXe siècle. Mais aussi l’Autriche, Prague, la Belgique et le Tyrol, vendus dans une moindre proportion.
Ce produit est fortement apprécié par une clientèle d’individuels seniors, qui partent pour des voyages de 4 à 5 jours avec un panier moyen à partir de 500€.
« Nous ne ressentons aucune lassitude de la part des clients »
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Pour le moment, les marchés de Noël ne semblent pas victimes de leur succès. Les ventes sont même en croissance régulière de 5% chez Richou.
« Nous ne ressentons aucune lassitude de la part des clients. Au contraire, nous avons toujours de la demande, surtout pour les villes historiques comme Strasbourg » explique Béatrice Bricheteau, la responsable de production.
Une demande qui suit la tendance générale d’un engouement pour les séjours thématiques, selon Valérie Pucheu. « C’est un produit très tendance, comme tout ce qui est évènementiel et festif ».
Les passionnés de bonnets rouges et de chants grégoriens ne sont donc pas découragés face aux hordes de touristes qui se bousculent les week-ends dans les allées illuminées.
En fin de semaine, on frôle parfois l’overdose, notamment dans la ville de Strasbourg.
« Nous conseillons aux voyageurs de venir plutôt en semaine afin lisser les réservations sur l’ensemble de la période » explique Géraldine Amar, responsable presse de l’OT de Strasbourg et région.
Même constat du coté hôtelier. « Il est difficile en cette période d’avoir un hébergement bien placé au centre ville» indique Valérie Pucheu.
Autre phénomène intéressant, seuls 12% des visiteurs du marché de Strasbourg sont venus autocar. Ce qui signifie que les professionnels n’ont pas encore exploité à fond cette niche, qui a encore de beaux jours devant elle.
« Nous ne ressentons aucune lassitude de la part des clients. Au contraire, nous avons toujours de la demande, surtout pour les villes historiques comme Strasbourg » explique Béatrice Bricheteau, la responsable de production.
Une demande qui suit la tendance générale d’un engouement pour les séjours thématiques, selon Valérie Pucheu. « C’est un produit très tendance, comme tout ce qui est évènementiel et festif ».
Les passionnés de bonnets rouges et de chants grégoriens ne sont donc pas découragés face aux hordes de touristes qui se bousculent les week-ends dans les allées illuminées.
En fin de semaine, on frôle parfois l’overdose, notamment dans la ville de Strasbourg.
« Nous conseillons aux voyageurs de venir plutôt en semaine afin lisser les réservations sur l’ensemble de la période » explique Géraldine Amar, responsable presse de l’OT de Strasbourg et région.
Même constat du coté hôtelier. « Il est difficile en cette période d’avoir un hébergement bien placé au centre ville» indique Valérie Pucheu.
Autre phénomène intéressant, seuls 12% des visiteurs du marché de Strasbourg sont venus autocar. Ce qui signifie que les professionnels n’ont pas encore exploité à fond cette niche, qui a encore de beaux jours devant elle.