Pas de mec ? ça m’évite les gnomes insupportables...
Mardi soir, j’ai réservé une chambre d’hôtel à Nîmes : les copines qui me trainent jusqu’à Nîmes partent le lendemain pour les rivages espagnols… moi, je reste 24 heures à Nîmes pour découvrir la ville… de là, je prends un Teoz pour Toulouse, où ma sœur et mon gros-beauf’ viennent me chercher.
Les braves ont pris une RTT vendredi pour passer du temps avec moi et je vais profiter de ces 3 jours pour me faire à l’idée que ne pas avoir de mec, au moins, ça m’évite d’avoir des gnomes insupportables (sœurette et gros-beauf’ se sont triplement reproduits et le fruit de leurs amours est comment dire… un poil fatiguant !
Le dimanche 18, je remonterai alors à Paris sur un vol pas cher de la compagnie orange et ça en sera fini de ces deux semaines de vacances forcées.
Vacances forcées parce que Big-boss a un jour décidé qu’il n’y avait pas grand chose à faire à l’agence en juillet et en août (ce qui me laisse rêveuse dans la mesure où je commence à peine à prendre des inscriptions pour le mois d’août et où le mois de juillet « n’est pas encore fait » comme on dit pudiquement) et qu’il fallait qu’on prenne trois semaines de vacances dans cette période.
On réussi à négocier de ne prendre que « au moins deux semaines » et comme je suis futée, je réussis tout le temps à poser les deux sus-dites semaines autour du 14 juillet ou du 15 août, comme ça, il me décompte un jour de moins… et il me reste un peu plus de jours pour aller me dorer la pilule sous les tropiques en pleine hiver
Les braves ont pris une RTT vendredi pour passer du temps avec moi et je vais profiter de ces 3 jours pour me faire à l’idée que ne pas avoir de mec, au moins, ça m’évite d’avoir des gnomes insupportables (sœurette et gros-beauf’ se sont triplement reproduits et le fruit de leurs amours est comment dire… un poil fatiguant !
Le dimanche 18, je remonterai alors à Paris sur un vol pas cher de la compagnie orange et ça en sera fini de ces deux semaines de vacances forcées.
Vacances forcées parce que Big-boss a un jour décidé qu’il n’y avait pas grand chose à faire à l’agence en juillet et en août (ce qui me laisse rêveuse dans la mesure où je commence à peine à prendre des inscriptions pour le mois d’août et où le mois de juillet « n’est pas encore fait » comme on dit pudiquement) et qu’il fallait qu’on prenne trois semaines de vacances dans cette période.
On réussi à négocier de ne prendre que « au moins deux semaines » et comme je suis futée, je réussis tout le temps à poser les deux sus-dites semaines autour du 14 juillet ou du 15 août, comme ça, il me décompte un jour de moins… et il me reste un peu plus de jours pour aller me dorer la pilule sous les tropiques en pleine hiver