''Il y a un temps pour tout. Pour développer. Pour vendre. J'ai 30 ans de métier. Il est temps de transmettre...''
TourMaG.com - Directours et Boomerang se portent plutôt bien, pourquoi cette cession ?
Michel-Yves Labbé : "Il y a un temps pour tout. Pour développer. Pour vendre. J'ai 30 ans de métier. Il est temps de transmettre..."
T.M.com - Quelle complémentarité peut-on espérer entre des marques aussi diverses ?
MYL : "Il y a une vraie constante dans les 4 marques : le sens du service client. Synergie sur les achats aériens (Plus Voyages a un BSP annuel de 35 Mie); négociations hôtelières; mutualisation des couts informatiques; des finances; du marketing Internet.
La production de chaque entité peut se retrouver chez une autre marque du groupe. en particulier chez Boomerang qui dispose d une technologie de pointe et de la confiance de grands réseaux."
T.M.com - Vous conserverez un rôle opérationnel au sein de vos anciennes sociétés. Quel sera-t-il et quid du futur organigramme ?
MYL : "Je reste à jamais le Fondateur, une sorte de Vieux Sage. Je suis aussi Président du comité stratégique. Je représente notre groupe auprès des instances professionnelles, gère la communication et participe au développement de la production."
T.M.com - Face aux géants de la vente de tourisme en ligne, quelles ambitions peut-on nourrir pour vos deux marques ?
MYL : "En fait il s'agit de 4 marques. n'oubliez pas Promovols et Promosejours. A date, avec 85 millions d'euros de CA et 110 000 pax, nous sommes déjà dans le top ten français. J'ai la conviction qu'un groupe français indépendant peut et doit trouver sa place. Par ailleurs dans le marché de niche du haut de gamme, Directours tient allègrement tête aux "géants".
T.M.com - Pourquoi devenir actionnaire de la holding et quelle part détenez-vous ?
MYL : "Actionnaire, car je crois au projet. Je détiens une part minoritaire; pas assez pour changer le cours des choses; suffisamment pour être intéressé à la réussite."
T.M.com - Quel est le montant de la transaction ?
MYL : "Suffisant..."
Michel-Yves Labbé : "Il y a un temps pour tout. Pour développer. Pour vendre. J'ai 30 ans de métier. Il est temps de transmettre..."
T.M.com - Quelle complémentarité peut-on espérer entre des marques aussi diverses ?
MYL : "Il y a une vraie constante dans les 4 marques : le sens du service client. Synergie sur les achats aériens (Plus Voyages a un BSP annuel de 35 Mie); négociations hôtelières; mutualisation des couts informatiques; des finances; du marketing Internet.
La production de chaque entité peut se retrouver chez une autre marque du groupe. en particulier chez Boomerang qui dispose d une technologie de pointe et de la confiance de grands réseaux."
T.M.com - Vous conserverez un rôle opérationnel au sein de vos anciennes sociétés. Quel sera-t-il et quid du futur organigramme ?
MYL : "Je reste à jamais le Fondateur, une sorte de Vieux Sage. Je suis aussi Président du comité stratégique. Je représente notre groupe auprès des instances professionnelles, gère la communication et participe au développement de la production."
T.M.com - Face aux géants de la vente de tourisme en ligne, quelles ambitions peut-on nourrir pour vos deux marques ?
MYL : "En fait il s'agit de 4 marques. n'oubliez pas Promovols et Promosejours. A date, avec 85 millions d'euros de CA et 110 000 pax, nous sommes déjà dans le top ten français. J'ai la conviction qu'un groupe français indépendant peut et doit trouver sa place. Par ailleurs dans le marché de niche du haut de gamme, Directours tient allègrement tête aux "géants".
T.M.com - Pourquoi devenir actionnaire de la holding et quelle part détenez-vous ?
MYL : "Actionnaire, car je crois au projet. Je détiens une part minoritaire; pas assez pour changer le cours des choses; suffisamment pour être intéressé à la réussite."
T.M.com - Quel est le montant de la transaction ?
MYL : "Suffisant..."
![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
