
Après Après ADP, FG DJ Radio devient le 1er média en France à proposer un service de voyage en ligne en marque blanche grâce à Expedia Private Label.
L'information est passé relativement inaperçue. Pourtant, elle avait fait grand bruit lorsque Aéroports de Paris (LIRE) avait annoncé qu'il lançait aussi un site de vente de voyage en ligne en s'appuyant sur la marque blanche du distributeur américain.
Le Snav l'avait menacé ADP des foudres de la Justice mais, pour l'instant on n'en sait pas davantage.
En attendant, d'autres acteurs s'engouffrent dans la brèche, faute d'une règle précise sur la question. Et lorsqu'on connaît la puissance de frappe de certains sites web tels NRJ pour ce citer que lui, on peut se poser des questions...
Pourtant, la question est (en apparence) simple : a-t-on ou non, le droit de vendre du voyage en ligne lorsqu'on ne possède pas une licence d'agent de voyages ?
Non, dit le Snav, en s'appuyant sur les textes qui stipulent que tout acte concourrant directe ou indirectement à la vente de voyage doit être justifié par une licence idoine. C'est la Loi de Juillet 1992 qui le déclare. Alors pourquoi n'arrive-ton pas à la faire respecter ?
Question subsidiaire : si les choses étaient si simples, qu'est-ce que des mastodontes tels que ADP iraient-ils faire dans cette galère ? Poser ces question c'est un peu y répondre. En effet, est-il bien certain que ces sites soient dans l'illégalité ?
Le Snav l'avait menacé ADP des foudres de la Justice mais, pour l'instant on n'en sait pas davantage.
En attendant, d'autres acteurs s'engouffrent dans la brèche, faute d'une règle précise sur la question. Et lorsqu'on connaît la puissance de frappe de certains sites web tels NRJ pour ce citer que lui, on peut se poser des questions...
Pourtant, la question est (en apparence) simple : a-t-on ou non, le droit de vendre du voyage en ligne lorsqu'on ne possède pas une licence d'agent de voyages ?
Non, dit le Snav, en s'appuyant sur les textes qui stipulent que tout acte concourrant directe ou indirectement à la vente de voyage doit être justifié par une licence idoine. C'est la Loi de Juillet 1992 qui le déclare. Alors pourquoi n'arrive-ton pas à la faire respecter ?
Question subsidiaire : si les choses étaient si simples, qu'est-ce que des mastodontes tels que ADP iraient-ils faire dans cette galère ? Poser ces question c'est un peu y répondre. En effet, est-il bien certain que ces sites soient dans l'illégalité ?
Pourquoi n'arrive-ton pas à faire respecter la loi ?
Autres articles
-
Trenitalia signe un accord avec Amadeus
-
Voyages : ce que veulent vraiment les Français
-
Tourisme et sécurité de paiement : 72% des voyageurs privilégient…
-
Quelles sont les 7 tendances qui vont façonner le futur du voyage d'affaires ?
-
Love is in the air : découvrez les tendances voyages des amoureux !
Internet a pas mal chamboulé la donne et la technologie brouille les cartes. Manifestement, la Loi fondatrice de 1992 a du plomb et pas mal de poussière dans l'aile par rapport à ces question et à bien d'autres. Dernier en date, la LEN (Loi sur la confiance dans l'économie numérique) dont au moins un article (art. 44) télescope le texte de 92 sur la responsabilité de la vente de voyages en ligne.
Au Snav on dit "suivre l'affaire de près" et on hésitera pas à monter au prétoire pour défendre la cause et la licence des professionnels. Mais un procès n'est pas sans risque et peut s'avérer une arme à double tranchant : imaginons qu'un juge donne raison à ADP et c'est toute l'économie du métier qui est à revoir...
Manifestement, il va falloir la jouer "fine"... mais agir vite tout de même car ce sont des dizaines de nouveaux "agents de voyages" qui pourraient dans les prochains mois et à la faveur de ce flou artistique débouler dans le secteur très convoité du voyage en ligne.
A bon entendeur...
Au Snav on dit "suivre l'affaire de près" et on hésitera pas à monter au prétoire pour défendre la cause et la licence des professionnels. Mais un procès n'est pas sans risque et peut s'avérer une arme à double tranchant : imaginons qu'un juge donne raison à ADP et c'est toute l'économie du métier qui est à revoir...
Manifestement, il va falloir la jouer "fine"... mais agir vite tout de même car ce sont des dizaines de nouveaux "agents de voyages" qui pourraient dans les prochains mois et à la faveur de ce flou artistique débouler dans le secteur très convoité du voyage en ligne.
A bon entendeur...