Le capitaine du Norwegian Dawn n'a pas hésiter à laisser à quai huit passagers, en retard d'une heure.
Dura lex, sed lex. La presse américaine s’est fait les gorges chaudes des mésaventures de huit croisiéristes, qui, se sont vus refuser l’embarquement par le capitaine du Norwegian Dawn.
Ces passagers, six Américains et deux Australiens se sont présentés le 27 mars dernier avec une heure de retard alors qu’ils avaient décidé de visiter par eux-mêmes l’île de Sao Tomé-et-Principe. Parmi eux, un cardiaque, une paraplégique et une femme enceinte.
Sans médicaments, c’est grâce à la carte bancaire de l’un des leurs qu’ils ont réussi à rejoindre la Gambie, le prochain port d’escale. Manque de chance : les conditions météo empêchent le bateau d’accoster.
Ces passagers, six Américains et deux Australiens se sont présentés le 27 mars dernier avec une heure de retard alors qu’ils avaient décidé de visiter par eux-mêmes l’île de Sao Tomé-et-Principe. Parmi eux, un cardiaque, une paraplégique et une femme enceinte.
Sans médicaments, c’est grâce à la carte bancaire de l’un des leurs qu’ils ont réussi à rejoindre la Gambie, le prochain port d’escale. Manque de chance : les conditions météo empêchent le bateau d’accoster.
Norwegian a le droit avec elle
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Après huit jours de périple et de frais qui s’élèvent à quelque 5.000 dollars, le groupe a pu de nouveau embarquer sur le Norwegian Dawn, à Dakar. La croisière qui était parti du Cap prend fin à Barcelone, le 11 avril.
La compagnie reste droit dans ses bottes. Norwegian Cruise Line s’est justifiée dans un communiqué : « Bien que cette situation soit très regrettable, les passagers sont responsables de s'assurer qu'ils retournent au navire à l'heure publiée, qui est largement communiquée via l'interphone du navire et affichée juste avant de quitter le navire.
Ils sont responsables de tous les frais de voyage nécessaires pour rejoindre le navire au prochain port d'escale disponible. Lorsque les invités ne sont pas retournés au navire à l'heure de montée à bord, leurs passeports ont été remis aux agents portuaires locaux ».
Lire aussi : Norwegian Cruise Line repart à la conquête du marché français
La compagnie reste droit dans ses bottes. Norwegian Cruise Line s’est justifiée dans un communiqué : « Bien que cette situation soit très regrettable, les passagers sont responsables de s'assurer qu'ils retournent au navire à l'heure publiée, qui est largement communiquée via l'interphone du navire et affichée juste avant de quitter le navire.
Ils sont responsables de tous les frais de voyage nécessaires pour rejoindre le navire au prochain port d'escale disponible. Lorsque les invités ne sont pas retournés au navire à l'heure de montée à bord, leurs passeports ont été remis aux agents portuaires locaux ».
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