Quelques turbulences au démarrage
La réservation et la billetterie ont été effectuées par Savanna Tours, le réceptif organisateur du voyage.
Il semble y avoir eu quelques problèmes de délais pour l’obtention des billets qui doivent transiter par la direction à Addis Abeba avant d’être confirmés.
Nous avons finalement reçu les e-tickets... deux jours avant le départ, sauf ceux qui prolongent leur séjour sur Zanzibar qui les trouvent à l’aéroport.
A CDG, pas trace du représentant de la compagnie. L’explication qu’on m’en donne est qu’il ne vient pas les week-ends. Il a sans doute raison, puisque l’enregistrement se passe sans problème...
Il y a d’ailleurs très peu de passagers au départ de Paris, l’avion arrivant déjà à demi-plein de Bruxelles. Pas de journaux dans la passerelle mais une hôtesse propose un quotidien dans l’avion.
Il semble y avoir eu quelques problèmes de délais pour l’obtention des billets qui doivent transiter par la direction à Addis Abeba avant d’être confirmés.
Nous avons finalement reçu les e-tickets... deux jours avant le départ, sauf ceux qui prolongent leur séjour sur Zanzibar qui les trouvent à l’aéroport.
A CDG, pas trace du représentant de la compagnie. L’explication qu’on m’en donne est qu’il ne vient pas les week-ends. Il a sans doute raison, puisque l’enregistrement se passe sans problème...
Il y a d’ailleurs très peu de passagers au départ de Paris, l’avion arrivant déjà à demi-plein de Bruxelles. Pas de journaux dans la passerelle mais une hôtesse propose un quotidien dans l’avion.
Une flotte correcte et un siège confortable
Autres articles
Nous avons pris place dans un Boeing 767/300 aux trois-quarts plein à présent, et qui semble en excellent état.
La compagnie en possède onze, aménagés en 237 sièges en moyenne, dont 213 en éco. Deux B 777 (321 passagers dont 287 éco) et cinq Fokker 50 complètent la flotte utilisée par les touristes, qui sera complétée d’un B 787-8 DreamLiner (250 passagers) l’année prochaine si la firme américaine tient ses délais de livraison.
L’année prochaine également devrait se concrétiser l’entrée d’Ethiopian dans la Star Alliance, sa candidature ayant été officiellement acceptée. Elle serait ainsi la troisième compagnie après Egyptair et South African Airways à faire partie de l’Alliance.
Dans mon fauteuil plutôt douillet, revêtement cuir et place pour mes (très) grandes jambes, j’écoute les annonces faites en deux langues, éthiopien et anglais, rien en français.
Et je contemple des hôtesses plutôt jolies et très souriantes, en costume sobre. Les consignes sont sur écrans, il y en a huit dans la cabine éco (d’autres 767 de la compagnie sont équipés d’écrans individuels).
Et nous décollons presqu’à l’heure, il est 22h15, soit 0h15 du matin à Addis Abeba. Nous avons 5580 kilomètres à franchir. Ce que nous faisons en douceur. Au programme, un dîner, cuisine européenne correcte, avec sodas, bières et vins à volonté.
Petit bémol, le service, souriant toujours, est assez lent, et comme il en est de même pour le petit déjeuner, le réveil se fait tôt et la nuit est courte.
Un film (Cyrus, comédie de la Fox américaine) avec écouteurs gratuits. L’atterrissage se fait à 6h50 heure locale, soit 6h30 de vol sans problèmes.
La compagnie en possède onze, aménagés en 237 sièges en moyenne, dont 213 en éco. Deux B 777 (321 passagers dont 287 éco) et cinq Fokker 50 complètent la flotte utilisée par les touristes, qui sera complétée d’un B 787-8 DreamLiner (250 passagers) l’année prochaine si la firme américaine tient ses délais de livraison.
L’année prochaine également devrait se concrétiser l’entrée d’Ethiopian dans la Star Alliance, sa candidature ayant été officiellement acceptée. Elle serait ainsi la troisième compagnie après Egyptair et South African Airways à faire partie de l’Alliance.
Dans mon fauteuil plutôt douillet, revêtement cuir et place pour mes (très) grandes jambes, j’écoute les annonces faites en deux langues, éthiopien et anglais, rien en français.
Et je contemple des hôtesses plutôt jolies et très souriantes, en costume sobre. Les consignes sont sur écrans, il y en a huit dans la cabine éco (d’autres 767 de la compagnie sont équipés d’écrans individuels).
Et nous décollons presqu’à l’heure, il est 22h15, soit 0h15 du matin à Addis Abeba. Nous avons 5580 kilomètres à franchir. Ce que nous faisons en douceur. Au programme, un dîner, cuisine européenne correcte, avec sodas, bières et vins à volonté.
Petit bémol, le service, souriant toujours, est assez lent, et comme il en est de même pour le petit déjeuner, le réveil se fait tôt et la nuit est courte.
Un film (Cyrus, comédie de la Fox américaine) avec écouteurs gratuits. L’atterrissage se fait à 6h50 heure locale, soit 6h30 de vol sans problèmes.
La pression, vous la voulez comment... Boeing ou Airbus ?
Un commentaire technique dont je laisse la responsabilité à mon voisin : il semblerait, d’après sa montre multi-cadrans, que la pressurisation de l’avion soit réglée pour une altitude de 2500 mètres au lieu des 1800 qui sont la moyenne confortable pour l’homme.
Est-ce un choix de la compagnie pour épargner l’usure de la carlingue, ou cela tient-il à l’appareil ? Mon voisin a en effet remarqué que les Airbus semblaient mieux respecter à la norme.
Ce décalage est-il suffisant pour créer des perturbations pour l’organisme ? J’avoue que j’ai ressenti quelques curieux malaises arythmiques durant la nuit, mais peut-être seulement dus à mon grand âge… !
Sans doute un lecteur averti pourra-t-il dissiper mon inquiétude ?
Est-ce un choix de la compagnie pour épargner l’usure de la carlingue, ou cela tient-il à l’appareil ? Mon voisin a en effet remarqué que les Airbus semblaient mieux respecter à la norme.
Ce décalage est-il suffisant pour créer des perturbations pour l’organisme ? J’avoue que j’ai ressenti quelques curieux malaises arythmiques durant la nuit, mais peut-être seulement dus à mon grand âge… !
Sans doute un lecteur averti pourra-t-il dissiper mon inquiétude ?
Souriez, nous sommes bien en Afrique !
Après l’escale à Addis Abeba (boutiques, duty, restaurants, bars, lounge VIP et salles de prière), nous changeons d’appareil pour le vol ET 801 en direction d’Arusha Kilimandjaro, porte des grands parcs du nord tanzanien.
En fait la compagnie aussi change d’appareil au dernier moment, ce qui rend les cartes d’embarquement remises à CDG obsolètes, le seating n’ayant pas été refait entretemps.
Les passagers cherchant des numéros fantômes dans l’avion provoquent bien sûr un joli bazar, mais nous sommes en Afrique, tout le monde rigole, et quand l’hôtesse finit par annoncer un « free seating » au micro, chacun s’installe au mieux, ou au moins pire.
Cette fois, nous sommes complets. Le changement de porteur est dû à l’affluence de dernier moment sur Nairobi, l’escale avant Arusha, où l’avion se vide. Nous ne sommes qu’une trentaine à poursuivre jusqu’en Tanzanie.
Deux heures de vol entre Addis Abeba et Nairobi, avec le même film que sur le long courrier mais on n’en voit pas la fin sur une plus courte durée.
Les toilettes sont également un peu courtes en termes de propreté et de confort. Après Nairobi, où nous patientons une heure dans l’avion, il nous reste une demi-heure de vol, ou plutôt de survol du majestueux Kilimandjaro dans ses écharpes de nuages, et ça y est, nous sommes à pied d’œuvre pour les grands espaces.
Tout s’est finalement bien passé. Les prestations d’Ethiopian sur le vol long courrier sont très satisfaisantes, même sans tenir compte de leurs tarifs attractifs. Il est 13h50, heure locale.
« Jambo Tanzania ! »
En fait la compagnie aussi change d’appareil au dernier moment, ce qui rend les cartes d’embarquement remises à CDG obsolètes, le seating n’ayant pas été refait entretemps.
Les passagers cherchant des numéros fantômes dans l’avion provoquent bien sûr un joli bazar, mais nous sommes en Afrique, tout le monde rigole, et quand l’hôtesse finit par annoncer un « free seating » au micro, chacun s’installe au mieux, ou au moins pire.
Cette fois, nous sommes complets. Le changement de porteur est dû à l’affluence de dernier moment sur Nairobi, l’escale avant Arusha, où l’avion se vide. Nous ne sommes qu’une trentaine à poursuivre jusqu’en Tanzanie.
Deux heures de vol entre Addis Abeba et Nairobi, avec le même film que sur le long courrier mais on n’en voit pas la fin sur une plus courte durée.
Les toilettes sont également un peu courtes en termes de propreté et de confort. Après Nairobi, où nous patientons une heure dans l’avion, il nous reste une demi-heure de vol, ou plutôt de survol du majestueux Kilimandjaro dans ses écharpes de nuages, et ça y est, nous sommes à pied d’œuvre pour les grands espaces.
Tout s’est finalement bien passé. Les prestations d’Ethiopian sur le vol long courrier sont très satisfaisantes, même sans tenir compte de leurs tarifs attractifs. Il est 13h50, heure locale.
« Jambo Tanzania ! »