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Rencontre avec Bruno Maltor, blogueur star du voyage et digital nomad

"Le mot influenceur est un peu fourre-tout, je ne l'apprécie pas plus que ça..."


Tout a commencé à l'autre bout du monde, il y a 7 ans, par la création d'un blog pour partager ses expériences de voyages. Une nouvelle décennie vient de débuter et Bruno Maltor sillonne toujours le monde et aussi la France armé de sa caméra, son drone et son ordinateur. Nous avons rencontré le blogueur star du tourisme, chouchou des destinations, pour en savoir plus sur sa vie, sa vision du voyage et ses plans à venir. Oubliez les clichés que vous pouvez avoir sur les influenceurs et découvrez Bruno Maltor, blogueur voyage et digital nomad.


Rédigé par le Mardi 21 Janvier 2020

Bruno Maltor : "ce métier est tellement atypique que je fais 40 métiers en un seul" - Crédit photo : Bruno Maltor
Bruno Maltor : "ce métier est tellement atypique que je fais 40 métiers en un seul" - Crédit photo : Bruno Maltor
TourMaG.com - Vous êtes une personnalité publique, dont le visage est connu d'un certain nombre de Français, grâce à vos vidéos et votre présence sur les réseaux sociaux. Mais comment êtes-vous devenu influenceur ?

Bruno Maltor :
Tout a commencé par la création de mon blog, il y a 7 ans. Alors que la plupart de mes amis étaient en stage à Paris, ayant la passion du voyage, je voulais trouver une expérience à l'étranger.

J'en ai trouvé une à Shanghai, dans le web marketing. J'étais en année de césure en école de Commerce.

Cette opportunité répondait à un précédent stage de six mois à Montréal où j'organisais des concerts de rock, dans une ville que j'adore. Après cette expérience, je voulais aller à l'autre bout du monde et Shanghai correspondait à cette volonté.

Je travaillais alors le référencement. Il y avait une expression assez marquante qui disait, "si tu veux faire disparaître le corps d'une personne que tu as tué, mets-le en page deux sur Google".

Profitant de cette expérience, de mes compétences et de ma passion pour le voyage, je me suis lancé dans l'aventure du blog voyage.

A l'époque quand tu disais ça à tes potes, les gens se moquaient : "c'est bien de faire un Skyblog (des blogs sur Skyrock qui ont rencontré un grand succès au début des années 2000, ndlr) mais ça ne mène à rien". Les réseaux sociaux étaient à leurs débuts, il n'y avait pas d'influence.

Je faisais ça par passion et pour développer mes compétences.

TourMaG.com - Quel a été le point de bascule ?

Bruno Maltor :
En fait, mon blog s'est pas mal développé, je suis allé sur Facebook, Twitter, Instagram et Youtube.

Puis il y a 5 ans, je travaillais au sein de TF1 en tant que chargé d'études marketing digital. Quand la chaîne m'a proposé un CDI, j'ai pris le parti de le refuser pour me consacrer à 100% à la rédaction de mon blog, Votre tour du Monde.

Au fil du temps, ma communauté n'a cessé de grandir, pour atteindre tous réseaux confondus, plus de 600 000 abonnés.

J'ai fait en sorte d'être présent partout, afin de ne pas être dépendant d'Instagram ou de Facebook, qui n'est plus ce qu'il était par rapport à 2015. Cette diversification marche plutôt bien.

"Ce métier est tellement atypique que je fais 40 métiers en un seul"

TourMaG.com - Vous êtes donc devenu digital nomad ?

Bruno Maltor :
En effet, depuis maintenant quatre ans, je travaille un peu partout sur la planète. Mon bureau change au gré de mes envies, tout simplement car mon travail ne dépend que d'une connexion internet.

J'ai vécu à Saint-Pétersbourg, Prague, Budapest, quelques mois à New York et l'année dernière à Lisbonne.

TourMaG.com - Comment définiriez-vous le travail d'influenceur ou blogueur ?

Bruno Maltor :
Ce métier est tellement atypique que je fais 40 métiers en un seul. Par exemple, je fais de l'événementiel avec "le Verre du voyageur".

Nous en sommes déjà à 29 éditions depuis 3 ans, environ une soirée par mois, dans des lieux pouvant accueillir plus de 1 000 personnes. Ce sont des gens qui viennent parler de voyages, le temps d'une soirée.

Ce n'est pas tout, je suis aussi community manager avec 600 000 abonnés que je gère au quotidien, je dois aussi faire du montage vidéo, faire des retouches photo, écrire des articles pour mon blog et j'anime parfois des conférences.

Il n'y a pas de jour type. Ma vie est très éloignée de ce que les gens imaginent. Mon activité ne consiste pas seulement à poster une photo sur Instagram, attendre les likes et des partenariats avec les marques.

Je suis un véritable couteau suisse, il faut être ultra-polyvalent.

"Il y a des mois où tout roule, puis d'autres où il n'y a pas de rentrée d'argent"

"Personnellement, j'estime bien vivre de mon activité, mais je ne peux pas le certifier pour l'ensemble de mes confrères" - Crédit photo : Bruno Maltor
"Personnellement, j'estime bien vivre de mon activité, mais je ne peux pas le certifier pour l'ensemble de mes confrères" - Crédit photo : Bruno Maltor
TourMaG.com - Sans oublier les vidéos que vous réalisez pour les destinations...

Bruno Maltor :
Exactement, la plupart de mes clients sont des Offices de tourisme et des agences de voyages.

Par exemple, en septembre dernier, l'Île de La Réunion Tourisme (IRT) m'a contacté après avoir vu et apprécié mon travail. Nous avons échangé sur la ligne éditoriale de mon travail, j'aime plutôt la nature, l'authenticité et non pas le luxe. Nous organisons alors un programme qui me correspond à 100%.

Une fois que tout est fixé, je viens avec un cadreur sur la destination. J'évite les voyages de presse car j'ai besoin d'autonomie et de flexibilité. Pour tout vous dire, je me lève souvent à 4h du matin pour capter le lever du soleil.

Lorsque le tournage est terminé, je crée le contenu puis je m'occupe des publications sur mon blog et les réseaux sociaux.

TourMaG.com - Nous n'avons pas de notion, mais influenceur est-il un métier intéressant économiquement ?

Bruno Maltor :
Comme tous les métiers créatifs, certains gagnent bien leur vie, d'autres non. Nous sommes en freelance, il y a des mois où tout roule, puis d'autres où il n'y a pas de rentrée d'argent.

Ce n'est pas une vie qui convient à tout le monde, c'est la vie d'entrepreneur et d'une personne passionnée. Il suffit d'une rencontre pour ouvrir de belles opportunités, puis a contrario, il est possible de ne rien avoir pendant trois mois.

Personnellement, j'estime bien vivre de mon activité, mais je ne peux pas le certifier pour l'ensemble de mes confrères.

Aujourd'hui "Linkedin a presque plus d'impact que Facebook..."

TourMaG.com - Depuis 7 ans, vous avez dû voir évoluer la notion et le métier de blogueur. Quel regard portez-vous sur la transformation de votre travail ?

Bruno Maltor :
En l'espace de 5 ans, depuis que je vis de mon métier, l'évolution la plus impressionnante rejoint notre façon de consommer les médias dans leur ensemble.

Je m'explique. Sur YouTube, il y a trois ou quatre ans, le format était de 2 ou trois minutes maximum avec des images de drones, une personne qui marche dans un champ de lavande.

Aujourd'hui, c'est l'inverse qu'il se passe. Nous sommes passés aux vidéos oscillant entre 10 ou 15 minutes minimum afin de pouvoir vraiment rentrer dans le sujet.

L'évolution des consommations est très intéressante. Les internautes veulent des anecdotes, découvrir les habitants, etc. Depuis 5 ans, Instagram a littéralement resserré sa position de domination sur le monde de l'influence, le web a largement évolué. Nous attendons maintenant la prochaine grosse évolution.

TourMaG.com - Tout le monde parle de TikTok, qu'en pensez-vous ?

Bruno Maltor :
Je reste dubitatif. 2020 serait l'année de TikTok. Je n'arrive pas à croire les chiffres annoncés par cette plateforme (800 millions d'actifs par mois, ndlr), mais pourquoi pas.

Il y a un réseau dont on parle très peu dans l'influence, mais Linkedin est super intéressant. Aujourd'hui, j'ai 50 000 abonnés dessus et ceux-ci me génèrent plus d'engagements que les 200 000 followers de Facebook.

Alors qu'il est délaissé par mal de monde, Linkedin a presque plus d'impact que le réseau de Mark Zuckerberg.

TourMaG.com - Justement comment exploitez-vous Linkedin ? Ce réseau est très peu utilisé par les entreprises pour le moment.

Bruno Maltor :
Chaque réseau est unique, il ne faut pas adresser le même message sur Instagram, Facebook ou Linkedin.

Sur ce dernier j'ai une approche plus pro. Par exemple, j'ai publié un post dernièrement sur une vidéo dans laquelle j'ai créé mon propre filtre Instagram. Personne n'a compris l'intérêt de créer un filtre aujourd'hui et pourtant 7 millions de personnes ont vu mon filtre et 1 million l'ont utilisé.

Et bien sur Linkedin, j'ai mis ces statistiques qui pourraient intéresser mes lecteurs, tout comme mon analyse sur la fin des likes, ce sont des informations qui peuvent intéresser des professionnels.

Bien souvent les discussions sont très intéressantes, bienveillantes et les interventions pertinentes sur Linkedin.

"Il est indispensable de raconter une histoire, le storytelling va être le mot roi en 2020"

TourMaG.com - Les formats courts sont-ils terminés ?

Bruno Maltor :
Cela dépend des réseaux. Par exemple les stories existent toujours. Les formats courts existeront toujours pour le côté éphémère, le snacking vidéo, pour consommer rapidement.

Je n'aurais jamais pensé, il y a trois ou quatre ans, que mes vidéos dépasseraient les 10 min et pourtant ça marche. Les formats plus longs se développent, c'est une certitude.

En octobre, j'ai publié une vidéo de 13 minutes sur Toulouse qui a atteint plus de 250 000 vues, le tout en audience organique cela montre qu'il y a un public.

Après un format long doit être humanisé obligatoirement, c'est là où les blogueurs et les influenceurs apportent leur plus-value. Il est indispensable de raconter une histoire, le storytelling va être le mot roi en 2020.

Selon moi, tous les gens qui assument passer devant la caméra ont de beaux jours devant eux car l'humanisation du contenu sera clé sur les réseaux sociaux dans les années à venir.

TourMaG.com - Vous fêtez vos 5 ans en tant que blogueur voyage, il est venu le temps de faire un premier bilan et de regarder dans le rétroviseur. Quelle est votre plus belle réussite professionnelle ?

Bruno Maltor :
Le fait de pouvoir rassembler plus de 1 000 personnes chaque mois dans des lieux privatisés pour parler voyage, je trouve ça merveilleux.

Nous passons du virtuel au réel, et cela cloue le bec aux personnes qui dénigrent les influenceurs ou le virtuel. Quand je vois 1 000 personnes se réunir à Paris face à moi, je suis très fier.

D'ailleurs cet événement, je l'ai exporté à Lyon où nous étions 800, 700 à Lille, et plusieurs centaines à Montréal, dont un homme qui a fait plus de 7h pour me rencontrer. Le verre du voyageur est une belle fierté.

Ce qui est intéressant avec ce métier est que j'apprends tout le temps et je peux tester des formats. Il y a trois ans, j'ai lancé l'opération le meilleur stage du monde.

L'idée était de recruter quelqu'un qui allait m'accompagner partout dans le monde, être rémunéré 1 000 euros par mois et logé à Prague. J'avais vendu le concept à Accor, les retombées ont été énormes, nous avons touché plus de 80 millions de personnes dans le monde.

Créer de nouveaux formats est super intéressant, mais passer du virtuel au réel est la plus belle des choses. Cet exercice prouve que dernière nous, il y a de véritables communautés et pas seulement des chiffres.

Guatemala : "ce fut un véritable coup de coeur"

TourMaG.com - Depuis tout ce temps, vous avez dû collectionner les destinations, mais quel serait votre top 3 ?

Bruno Maltor :
Oh, c'est un exercice très compliqué que vous me demandez là (rires, ndlr). Evidemment, la France sera toujours présente, même si nous avons tendance à l'oublier.

Nous avons la chance d'avoir une grande diversité culturelle et un beau pays. Je dois dire que le Guatemala a été une très belle découverte. Pour tout vous dire, ce n'est pas un pays que j'ai choisi, mais mes abonnés sur Instagram.

J'ai créé un jeu, à l'image d'une coupe du monde de Foot, avec chaque jour une confrontation, par exemple : Sénégal contre Oman, les instagrameurs devaient voter, pour les 8e de finale, puis les quarts, etc.

Le Guatemala l'a emporté et je me suis rendu 3 semaines dans ce pays. Ce fut un véritable coup de cœur. Et pour finir, la Norvège car l'Europe est un beau continent.

Selon moi les îles Lofoten font partie des lieux immanquables à visiter dans sa vie, surtout si vous aimez la randonnée et la nature.

TourMaG.com - D'ailleurs, votre top 3 est très orienté nature...

Bruno Maltor :
J'ai fait un sondage dernièrement sur mon compte Instagram, avec 40 000 vues pour chaque story, cela commence à être significatif, et le résultat a été étonnant, mais 70% des participants préfèrent la nature à la ville.

"Je vais partir avec Shanti Travel dans le centre du pays (Inde)"

TourMaG.com - Les paysages sont plus Instagrammables aussi...

Bruno Maltor :
Je ne pense que ce soit l'explication. Quand vous vivez dans une grande ville comme Paris ou Lille, vous avez besoin de paysage et d'air pur.

Ce n'est pas nécessairement une question de beaux clichés pour alimenter ses réseaux sociaux, mais un besoin de déconnexion.

TourMaG.com - Justement, vous vivez des voyages, mais quand vous partez en vacances, vous vous enfermez dans votre appartement à Paris et vous éteignez votre téléphone ?

Bruno Maltor :
Pas vraiment. J"essaie de déconnecter un petit peu, mais je n'y arrive pas forcément. Mon métier est une telle passion qu'il reprend vite le dessus.

Assez rapidement j'éprouve le besoin de créer du contenu, poster des stories, prendre des photos, etc.

Le moment où je me repose le plus étant quand j'arrive dans une ville pour poser mon baluchon et mon ordinateur. Bizarrement je trouve une routine, que je n'ai jamais lorsque je voyage pour le boulot, et cela me fait du bien.

TourMaG.com - En ce moment, vous êtes à Paris ?

Bruno Maltor :
Oui, mais je pars dans dix jours en Inde pour mon travail. Je vais partir avec Shanti Travel dans le centre du pays, une région assez méconnue et pourtant, il y a énormément de choses à voir.

Le but est de montrer les endroits à explorer à travers mon voyage, sur une page dédiée et que les internautes réservent le même séjour s'ils ont apprécié l'expérience.

TourMaG.com - Vous avez déjà mené de tels projets ?

Bruno Maltor :
Pour tout vous dire, ce sera ma première collaboration dans le sens où il y aura un parcours Bruno Maltor, donc je ne peux pas vous dire les retombées, mais j'espère que cela plaira.

"Le mot influenceur est un peu fourre-tout, je ne l'apprécie pas plus que ça"

TourMaG.com - Tout comme le web, le métier d'influenceur se professionnalise, faire le buzz devient de plus en plus difficile. Est-il encore possible de percer en 2020 ?

Bruno Maltor :
Ce n'est clairement pas aussi facile qu'il y a 5 ou 6 ans, car beaucoup de personnes s'essaient au marketing d'influence.

Je pense qu'en étant créatif, il est possible d'y arriver. Plein de personnes ont des idées extraordinaires, sans pour le moment avoir de visibilité, a terme ils arriveront à tirer leur épingle du jeu.

Il faut trouver une ligne éditoriale différente pour pousser les gens à s'abonner. Une belle image de drone avec un coucher de soleil sans histoire ça n'intéresse plus personne. Pour revenir au format long, au début je ne faisais que des vidéos de 3 minutes, sauf que le public s'est lassé, maintenant je fais des vidéos de plus de 10 minutes.

Sur mon compte YouTube, je suis bientôt à 150 000 abonnés, mais il y a un an je n'en avais pas plus de 50 000. Donc si on se pose les bonnes questions, tout en essayant d'être créatif et pro, il est possible de réussir.

TourMaG.com - Que diriez-vous aux personnes qui dénigrent votre métier ?

Bruno Maltor :
Je les invite au Verre du Voyageur (rire, ndlr) pour se rendre compte que ce n'est pas que des chiffres, mais bel et bien du concret et du réel.

Je pense que c'est le plus bel exemple que l'influence existe vraiment, elle peut faire déplacer des gens.

Selon moi, en 2020 nous n'avons plus trop à faire nos preuves quant à notre existence et notre efficacité. La plupart des gens qui sont hostiles sont ceux qui nous confondent avec des mecs de la télé réalité qui vendent des produits amincissant sans respecter leurs abonnés, alors que depuis 7 ans je me tiens à une véritable ligne éditoriale.

Le mot influenceur est un peu fourre-tout, je ne l'apprécie pas plus que ça. Il faut arrêter les préjugés et ne pas tous nous mettre dans le même panier, en analysant les créations de contenu.

Je pense que nous sortons doucement de l'époque où les gens ne comprennent pas l'importance et l'intérêt de l'influence. Il ne faut pas regarder uniquement les abonnés, mais l'engagement derrière et sortir du cliché que les influenceurs sont des arnaques.

"J'ai du mal à croire que je me retrouverais dans une vie classique avec un CDI"

TourMaG.com - Quels sont vos prochains projets ?

Bruno Maltor :
Après l'Inde, il y aura le Maroc avec 4L Trophy, puis la Géorgie, Berlin, puis des régions en France.

Ça fonctionne très bien et nous avons de la chance de vivre dans un beau pays que nous ne mettons pas suffisamment en avant.

TourMaG.com - Dans 5 ans, comment vous imaginez-vous ?

Bruno Maltor :
Je suis réellement passionné par ce que je fais, donc j'ai du mal à croire que je me retrouverais dans une vie classique avec un CDI.

J'ai appris à être indépendant, j'apprécie la liberté de l'entrepreneuriat, je continuerais à avoir une activité liée au voyage.

Quant à l'influence en général, je pense que seuls les influenceurs authentiques arriveront à survivre. De nombreuses personnes me demandent comment je gagne ma vie, j'avais peur de répondre et d'aborder le thème de l'argent.

Il y a quelques mois, j'ai publié une vidéo pour expliquer et être transparent, celle-ci a dépassé les 80 000 vues. Mieux, les réactions ont toutes été bienveillantes et positives.

Dans 5 ans, il ne restera que les créateurs de contenus honnêtes, créatifs et transparents.

Romain Pommier Publié par Romain Pommier Journaliste - TourMaG.com
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Commentaires

1.Posté par Bruno Maltor le 22/01/2020 10:51 | Alerter
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Encore merci pour cette interview très complète et à bientôt autour du monde :)
Bruno

2.Posté par Pierro7272 le 22/01/2020 16:15 | Alerter
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Bravo Bruno, je te suis depuis 2-3 ans maintenant et je dois avouer que ta ligne éditoriale est cohérente et que l'originalité des projets que tu proposes à ceux qui te suivent est sûrement l'une des raisons de ton succès.
Bravo encore, j'essaie d'en prendre de la graine avec mon nouveau projet d'agence de voyages 2.0 ;)

3.Posté par Joseph le 22/01/2020 23:50 | Alerter
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Une fois n’est pas coutume, Tourmag ne defonce pas les influenceurs ! Pourtant c’était une belle habitude du media ...

4.Posté par Gil Giuglio le 23/01/2020 07:37 | Alerter
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Intéressant d'avoir ce témoignage qui semble honnête. Je suis journaliste dans le tourisme depuis pas mal de temps et je reconnais qu'en m'intéressant aux influenceurs (pas tous), j'arrive à me régénérer dans mes créations et à enfin envisager un renouvellement, une partie très créative dans nos façons de travailler. Je parle ici des créations de contenus qui n'empêchent en rien l'objectivité de l'info qu'on peu trouver chez des influenceurs. Quant aux rencontres voyageurs, c'est autre chose. Mention très bien pour mener plusieurs activités de front

5.Posté par Julien le 30/05/2020 16:07 | Alerter
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Merci pour ce témoignage très intéressant qui prouve, si c'était encore nécessaire, que la réussite ne peut se faire sans travail et créativité. Cette passion qu'on ressent en permanence est forcément une des clefs du succès.

6.Posté par Voyage costa rica le 17/08/2020 22:49 | Alerter
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Très bonne interview. Le site de Bruno est d'ailleurs un régal pour les passionés de voyage.

7.Posté par Dominique le 27/01/2021 23:21 | Alerter
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Très bon article avec la découverte de Bruno Maltor, un voyageur comme on les aime et qui donne envie de le suivre

8.Posté par khouloud Masmoudi le 16/05/2021 17:20 | Alerter
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Excellent article, Bruno a choisi de prendre le risque et ne pas rester dans une zone de confort sécurisé et accepter le CDI chez TF1. C'est en prenant des risques, qu'on crée des miracles, très bel exemple. Bravo Bruno !

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