“L'Amérique, l'Amérique
Je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique
Si c'est un rêve, je le saurai..”
Ces paroles de l’une des chansons les plus populaires de notre inoubliable Jo Dassin, autre ambassadeur de l'amitié franco-américaine, datent de 1970. Oui, le temps passe...
Et pourtant, jamais elles n’ont semblé autant d’actualité ni prémonitoires pour les professionnels.
Oui ! L’Amérique ils veulent l’avoir et à juste titre, parce que ce pays est tout simplement l’une des destinations long courrier les plus appréciées et vendues en France.
Elle est même tellement importante que presque tous les voyagistes, sans exception, conditionnent son accessibilité au redémarrage des ventes. Bigre !
Oui, il faut le dire : les Français adorent les Etats-Unis qui le leur rendent bien.
Et des deux côtés on n’attend qu’un signal pour boucler ses valises et s’envoler outre-Atlantique.
Bien entendu, la pandémie est venue mettre du plomb dans l’aile au rêve américain. La politique désastreuse de Donald Trump dans la gestion du coronavirus et de ses variants, a gâché les retrouvailles promises.
Je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique
Si c'est un rêve, je le saurai..”
Ces paroles de l’une des chansons les plus populaires de notre inoubliable Jo Dassin, autre ambassadeur de l'amitié franco-américaine, datent de 1970. Oui, le temps passe...
Et pourtant, jamais elles n’ont semblé autant d’actualité ni prémonitoires pour les professionnels.
Oui ! L’Amérique ils veulent l’avoir et à juste titre, parce que ce pays est tout simplement l’une des destinations long courrier les plus appréciées et vendues en France.
Elle est même tellement importante que presque tous les voyagistes, sans exception, conditionnent son accessibilité au redémarrage des ventes. Bigre !
Oui, il faut le dire : les Français adorent les Etats-Unis qui le leur rendent bien.
Et des deux côtés on n’attend qu’un signal pour boucler ses valises et s’envoler outre-Atlantique.
Bien entendu, la pandémie est venue mettre du plomb dans l’aile au rêve américain. La politique désastreuse de Donald Trump dans la gestion du coronavirus et de ses variants, a gâché les retrouvailles promises.
USA : l’Oncle Tom a bouclé hermétiquement ses frontières
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Etats-Unis : malgré l'inflation, « la destination n'est pas devenue hors de prix »
Plus de 670 000 américains ont déjà payé de leur vie les décisions fantaisistes, abracadabrantesques voire complotistes de l’ex-hôte de la Maison Blanche.
Bilan : depuis près de 18 mois déjà, l’Oncle Tom a bouclé hermétiquement ses frontières et campe sur ses positions. Force est de reconnaître que le pays n’en a pas fini avec l’épidémie.
Au moment où j’écris ces lignes, les cas continuent de flamber. L’accalmie du mois de juin dernier est terminée. Depuis, la progression du variant Delta a propulsé de nouveau les contaminations vers les sommets. Le 16 septembre dernier on a encore enregistré 3 415 morts aux USA !
Depuis le mois d’août dernier les pros consultent la pythie USA pour détecter les signes d’une éventuelle reprise. On avait parlé de septembre, puis d’octobre et là, au train où vont les choses, les plus pessimistes parient désormais sur la fin de l’année...
Manifestement, Joe Biden qui vient de se prendre un râteau monumental avec le désengagement calamiteux de l’Afghanistan, veut éviter de prêter une nouvelle fois le flanc à la critique. Une ouverture diplomatique hasardeuse pourrait s’avérer catastrophique pour sa cote de popularité.
Bilan : depuis près de 18 mois déjà, l’Oncle Tom a bouclé hermétiquement ses frontières et campe sur ses positions. Force est de reconnaître que le pays n’en a pas fini avec l’épidémie.
Au moment où j’écris ces lignes, les cas continuent de flamber. L’accalmie du mois de juin dernier est terminée. Depuis, la progression du variant Delta a propulsé de nouveau les contaminations vers les sommets. Le 16 septembre dernier on a encore enregistré 3 415 morts aux USA !
Depuis le mois d’août dernier les pros consultent la pythie USA pour détecter les signes d’une éventuelle reprise. On avait parlé de septembre, puis d’octobre et là, au train où vont les choses, les plus pessimistes parient désormais sur la fin de l’année...
Manifestement, Joe Biden qui vient de se prendre un râteau monumental avec le désengagement calamiteux de l’Afghanistan, veut éviter de prêter une nouvelle fois le flanc à la critique. Une ouverture diplomatique hasardeuse pourrait s’avérer catastrophique pour sa cote de popularité.
Les USA affichent un manque à gagner colossal !
Et ce n’est pas forcément de gaieté de coeur. Les pressions de l’Union européenne sur les USA n’ont pas faibli et la destination qui est, après l’Espagne, celle qui encaisse le plus de revenus (avant la France) provenant du tourisme, affiche un manque à gagner colossal.
Selon le rapport annuel sur l'impact économique (EIR) du World Travel & Tourism Council (WTTC), l’industrie du tourisme y affiche des pertes qui dépasseraient les 750 millions de dollars. Pas vraiment étonnant quand on sait que ce secteur représente entre 3% et 7% du PIB national.
Et l’ouverture tant attendue prend de plus en plus l’eau, avec l’affaire des sous-marins et du contrat rompu par l’Australie au détriment de l’industrie navale française. Certes, vous me direz que cela n’a rien à voir.
Mais compte tenu de la tension va crescendo entre les deux pays et il ne serait pas étonnant que les représailles diplomatique entre les deux alliés puissent, là encore, déteindre sur le délai de la réouverture.
A moins que le président américain, désireux de faire amende honorable, ne lâche du lest en ce sens ? Wait and see...
Alors, “C’est encore loin l’Amérique ? Tais-toi et rame !”
Selon le rapport annuel sur l'impact économique (EIR) du World Travel & Tourism Council (WTTC), l’industrie du tourisme y affiche des pertes qui dépasseraient les 750 millions de dollars. Pas vraiment étonnant quand on sait que ce secteur représente entre 3% et 7% du PIB national.
Et l’ouverture tant attendue prend de plus en plus l’eau, avec l’affaire des sous-marins et du contrat rompu par l’Australie au détriment de l’industrie navale française. Certes, vous me direz que cela n’a rien à voir.
Mais compte tenu de la tension va crescendo entre les deux pays et il ne serait pas étonnant que les représailles diplomatique entre les deux alliés puissent, là encore, déteindre sur le délai de la réouverture.
A moins que le président américain, désireux de faire amende honorable, ne lâche du lest en ce sens ? Wait and see...
Alors, “C’est encore loin l’Amérique ? Tais-toi et rame !”
Croyez-vous en la réouverture des USA avant la fin de l'année ?
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L'éditorial de Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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