La SNCF accuse une perte de 4 milliards d'euros par rapport à l'année dernière - Crédit photo : JDL
Nul n'est épargné par le coronavirus et surtout pas le transport.
Qu'ils soient dans les airs ou sur terres, les transporteurs sont logés à la même enseigne. La SNCF accuse un trou dans la raquette de 4 milliards d'euros, par rapport à 2019?, sur un chiffre d'affaires de 35 milliards d'euros.
Un cordage fortement fragilisé qui va peiner à colmater les brèches, puisque les TGV ne font plus recette. Privés la clientèle business et avec des touristes qui privilégient la voiture individuelle, le train est en souffrance.
Pour éviter de reconstituer la dette du transporteur national, le gouvernement n'a d'autres choix que de venir à son chevet.
"L'Etat va aider le groupe à hauteur de plusieurs milliards d'euros ," a annoncé jeudi le ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, dans une interview accordée au Figaro.
Qu'ils soient dans les airs ou sur terres, les transporteurs sont logés à la même enseigne. La SNCF accuse un trou dans la raquette de 4 milliards d'euros, par rapport à 2019?, sur un chiffre d'affaires de 35 milliards d'euros.
Un cordage fortement fragilisé qui va peiner à colmater les brèches, puisque les TGV ne font plus recette. Privés la clientèle business et avec des touristes qui privilégient la voiture individuelle, le train est en souffrance.
Pour éviter de reconstituer la dette du transporteur national, le gouvernement n'a d'autres choix que de venir à son chevet.
"L'Etat va aider le groupe à hauteur de plusieurs milliards d'euros ," a annoncé jeudi le ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, dans une interview accordée au Figaro.
L'exécutif était déjà venu en aide à la SCNF au tout début de la crise en apportant sa garantie, pour permettre à la SNCF d’emprunter 1,2 milliard d’euros sur les marchés.
Une somme insuffisante. Pour le moment aucune solution n'est privilégiée, "plusieurs options sont sur la table," dont la recapitalisation ou une reprise d'une part de la dette.
Une somme insuffisante. Pour le moment aucune solution n'est privilégiée, "plusieurs options sont sur la table," dont la recapitalisation ou une reprise d'une part de la dette.