Lorsqu’il s’étonne de la situation auprès du contrôleur, celui-ci lui dit que cela arrive parfois que les voitures de 1ère ne soient pas accrochées… Ah bon ?
Les passagers qui jonchent les couloirs n’ont pas l’air d’accrocher trop non plus.
Un contrôleur, passablement harassé par la distribution de bouteilles d’eau à des passages déshydratés, trouve alors quelques instants pour lui griffonner à la va vite, sur un bout de papier, que la 1ère classe est ce jour-là aux abonnés absents.
« C’est un billet électronique que vous avez, argumente-t-il, je peux difficilement écrire dessus… Avec ce mot, vous pourrez vous faire rembourser à la gare… »
Les passagers qui jonchent les couloirs n’ont pas l’air d’accrocher trop non plus.
Un contrôleur, passablement harassé par la distribution de bouteilles d’eau à des passages déshydratés, trouve alors quelques instants pour lui griffonner à la va vite, sur un bout de papier, que la 1ère classe est ce jour-là aux abonnés absents.
« C’est un billet électronique que vous avez, argumente-t-il, je peux difficilement écrire dessus… Avec ce mot, vous pourrez vous faire rembourser à la gare… »
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Il compatit tout en se disant qu’on touche là les limites du digital qui, en l’occurrence, lui fait un joli doigt.
Lorsque, sûr de son bon droit, il se présente quelques jours plus tard, gare Saint Charles à Marseille pour se faire rembourser, il se fait éconduire par la responsable de la boutique, un brin condescendant.
« Monsieur, lui dit-elle, vous savez qu’on ne vend plus de places en 1ère sur les TER. Et puis, j’ai besoin de la référence de votre dossier, car qui me prouve que ce mot est authentique ? »
Le malheureux lui rétorque alors qu’il n’a plus la référence car le billet en ligne, une fois utilisé, ne figure plus dans la jolie appli OUISncf qu’il a téléchargée.
Mais la « boutiquière » n’en a cure : « Cherchez dans vos e-mails », intime-t-elle au client, médusé, lui remettant un vague formulaire papier à remplir et à renvoyer par le bon vieux courrier postal cette fois, pour se faire rembourser un billet vendu en ligne pour une classe qui n’existe plus (?)
Battu à plates coutures le train fantôme !
Lorsque, sûr de son bon droit, il se présente quelques jours plus tard, gare Saint Charles à Marseille pour se faire rembourser, il se fait éconduire par la responsable de la boutique, un brin condescendant.
« Monsieur, lui dit-elle, vous savez qu’on ne vend plus de places en 1ère sur les TER. Et puis, j’ai besoin de la référence de votre dossier, car qui me prouve que ce mot est authentique ? »
Le malheureux lui rétorque alors qu’il n’a plus la référence car le billet en ligne, une fois utilisé, ne figure plus dans la jolie appli OUISncf qu’il a téléchargée.
Mais la « boutiquière » n’en a cure : « Cherchez dans vos e-mails », intime-t-elle au client, médusé, lui remettant un vague formulaire papier à remplir et à renvoyer par le bon vieux courrier postal cette fois, pour se faire rembourser un billet vendu en ligne pour une classe qui n’existe plus (?)
Battu à plates coutures le train fantôme !
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