"Il est possible que cette personne ait été exposée au virus d'une façon ou d'une autre", a déclaré le responsable lors d'une conférence de presse à Manille.
M. Omi a indiqué qu'il avait été informé par les autorités sanitaires de Singapour que ce chercheur de l'Université nationale de Singapour, qui ne travaillait pas sur le SRAS mais sur le virus du Nil occidental, avait cependant visité le laboratoire de son université où était stocké le virus de la pneumonie atypique.
"Sur le plan technique, cela a du sens", a ajouté M. Omi. Les autorités médicales de Singapour ont confirmé mardi que le scientifique singapourien de 27 ans était positif. Cinquante personnes ont été placées en quarantaine à la suite de la découverte de ce cas, qui est "isolé", selon le ministère de la Santé.
D'un côté cela "rassure", car le scénario d'un cas ex-nihilo était terrifiant. D'un autre cela veut dire qu'il faut rester vigilant car, en imaginant que le chercheur en question se soit beaucoup "baladé" (ce qui ne semble pas être le cas), le cauchemar pourrait repartir.
Rappelons que le SRAS a affecté plus de 8.400 personnes dans 32 pays et fait 916 morts.
La Rédaction avec AFP - 10 septembre 2003
redaction@tourmag.com
M. Omi a indiqué qu'il avait été informé par les autorités sanitaires de Singapour que ce chercheur de l'Université nationale de Singapour, qui ne travaillait pas sur le SRAS mais sur le virus du Nil occidental, avait cependant visité le laboratoire de son université où était stocké le virus de la pneumonie atypique.
"Sur le plan technique, cela a du sens", a ajouté M. Omi. Les autorités médicales de Singapour ont confirmé mardi que le scientifique singapourien de 27 ans était positif. Cinquante personnes ont été placées en quarantaine à la suite de la découverte de ce cas, qui est "isolé", selon le ministère de la Santé.
D'un côté cela "rassure", car le scénario d'un cas ex-nihilo était terrifiant. D'un autre cela veut dire qu'il faut rester vigilant car, en imaginant que le chercheur en question se soit beaucoup "baladé" (ce qui ne semble pas être le cas), le cauchemar pourrait repartir.
Rappelons que le SRAS a affecté plus de 8.400 personnes dans 32 pays et fait 916 morts.
La Rédaction avec AFP - 10 septembre 2003
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