TourMaG.com - Comment se porte l'activité Groupes de Salaün Holidays ?
Jean-Michel Caradec : Elle comprend toutes nos marques : Salaün, National Tours, BT Tours et Agripass.
Aujourd’hui, elle représente un chiffre d’affaires consolidé de 65 millions d’euros, avec environ 1 000 groupes par an.
Le CA est en hausse de 25 à 30% sur les trois dernières années, du fait de la croissance organique, mais également de la croissance externe.
Aujourd'hui, nous comptons une centaine de collaborateurs, dont un tiers sont des commerciaux, basés dans une quinzaine de bureaux répartis sur tout le territoire.
TourMaG.com - Vous recrutez actuellement des commerciaux et forfaitistes...
J-M. C. : Nous recherchons une dizaine de commerciaux itinérants et des techniciens back office en CDI pour toutes nos marques.
Jean-Michel Caradec : Elle comprend toutes nos marques : Salaün, National Tours, BT Tours et Agripass.
Aujourd’hui, elle représente un chiffre d’affaires consolidé de 65 millions d’euros, avec environ 1 000 groupes par an.
Le CA est en hausse de 25 à 30% sur les trois dernières années, du fait de la croissance organique, mais également de la croissance externe.
Aujourd'hui, nous comptons une centaine de collaborateurs, dont un tiers sont des commerciaux, basés dans une quinzaine de bureaux répartis sur tout le territoire.
TourMaG.com - Vous recrutez actuellement des commerciaux et forfaitistes...
J-M. C. : Nous recherchons une dizaine de commerciaux itinérants et des techniciens back office en CDI pour toutes nos marques.
Nous avons développé des secteurs géographiques, où nous sommes peu ou pas présents, mais trouver des collaborateurs est compliqué.
A Paris et Lyon, c’est difficile, à Toulouse, c’est quasi impossible. Nous recrutons également à Bordeaux et dans le Nord. Cette situation ralentit notre croissance.
TourMaG.com - Comment expliquer cette difficulté ?
J-M. C. : Globalement, je pense que les commerciaux sont bien installés en poste. Ensuite, le principe du groupe est de faire du chiffre d’affaires pour gagner sa vie et ça prend du temps… ce n’est pas forcément une motivation qui anime les plus jeunes.
Pour recruter, il reste deux solutions : débaucher des gens en poste ou racheter des services groupes avec du personnel formé.
De manière générale, je pense que le problème ne concerne pas uniquement l’activité groupes, recruter des agents de voyages est là aussi compliqué.
TourMaG.com - Comment vous positionnez-vous en termes de rémunération ?
J-M. C. : Elle est calculée sur une base fixe, comprise entre 25 et 35 K€, à laquelle s’ajoute une part variable liée à la performance. C’est plutôt intéressant, c’est pourquoi les commerciaux ne bougent pas.
A Paris et Lyon, c’est difficile, à Toulouse, c’est quasi impossible. Nous recrutons également à Bordeaux et dans le Nord. Cette situation ralentit notre croissance.
TourMaG.com - Comment expliquer cette difficulté ?
J-M. C. : Globalement, je pense que les commerciaux sont bien installés en poste. Ensuite, le principe du groupe est de faire du chiffre d’affaires pour gagner sa vie et ça prend du temps… ce n’est pas forcément une motivation qui anime les plus jeunes.
Pour recruter, il reste deux solutions : débaucher des gens en poste ou racheter des services groupes avec du personnel formé.
De manière générale, je pense que le problème ne concerne pas uniquement l’activité groupes, recruter des agents de voyages est là aussi compliqué.
TourMaG.com - Comment vous positionnez-vous en termes de rémunération ?
J-M. C. : Elle est calculée sur une base fixe, comprise entre 25 et 35 K€, à laquelle s’ajoute une part variable liée à la performance. C’est plutôt intéressant, c’est pourquoi les commerciaux ne bougent pas.
TourMaG.com - Explorez-vous de nouveaux axes pour attirer de futurs candidats ?
J-M. C. : Nous avons essayé quelque chose de nouveau, sur le web, avec la présentation d’un collaborateur commercial, en vidéo.
Une méthode qui n’a pas connu de résultat pour le moment, nous n’avons pas reçu plus de candidature qualifiée.
Un partenariat va être noué avec l’IUT de Quimper qui forme aux techniques de commercialisation.
Nous allons prendre en alternance des étudiants à partir de la rentrée prochaine. Ils travailleront les techniques de commercialisation à l’IUT et nous les formerons au tourisme. L’idée est de les embaucher par la suite.
Les entretiens débuteront en avril. J’espère trouver quatre à cinq profils avec une capacité à être un commercial itinérant et une motivation certaine à travailler dans le monde du tourisme.
J-M. C. : Nous avons essayé quelque chose de nouveau, sur le web, avec la présentation d’un collaborateur commercial, en vidéo.
Une méthode qui n’a pas connu de résultat pour le moment, nous n’avons pas reçu plus de candidature qualifiée.
Un partenariat va être noué avec l’IUT de Quimper qui forme aux techniques de commercialisation.
Nous allons prendre en alternance des étudiants à partir de la rentrée prochaine. Ils travailleront les techniques de commercialisation à l’IUT et nous les formerons au tourisme. L’idée est de les embaucher par la suite.
Les entretiens débuteront en avril. J’espère trouver quatre à cinq profils avec une capacité à être un commercial itinérant et une motivation certaine à travailler dans le monde du tourisme.