Santiago ravira les amoureux de villes coloniales. Ici, pas de gigantisme immobilier mais un quartier historique qui tient dans un mouchoir de poche et une allure de grosse bourgade provinciale où, comme souvent à Cuba, le temps semble s’être arrêté…
La population est le produit du métissage le plus complet qui soit : Espagnols, Caribéennes, Indiens, Noirs africains, Français, Asiatiques...
Dans le coeur de ville piétonnier, jeunes et retraités se retrouvent pour disputer des tournois de dominos, très populaires ici.
Les parcs publics sont aussi bondés et pour cause : ce sont pour l’instant les seuls endroits de la ville où les Cubains ont accès à Internet.
Un accès encore payant certes…mais tout de même un moyen de s’ouvrir au monde. Berceau de la Révolution, Santiago a accueilli fin 2016 les cendres de Fidel Castro. Même s’ils sont fiers de leur histoire politique, la majorité des Cubains en paient encore le prix.
La population est le produit du métissage le plus complet qui soit : Espagnols, Caribéennes, Indiens, Noirs africains, Français, Asiatiques...
Dans le coeur de ville piétonnier, jeunes et retraités se retrouvent pour disputer des tournois de dominos, très populaires ici.
Les parcs publics sont aussi bondés et pour cause : ce sont pour l’instant les seuls endroits de la ville où les Cubains ont accès à Internet.
Un accès encore payant certes…mais tout de même un moyen de s’ouvrir au monde. Berceau de la Révolution, Santiago a accueilli fin 2016 les cendres de Fidel Castro. Même s’ils sont fiers de leur histoire politique, la majorité des Cubains en paient encore le prix.