Depuis quelques années, la vidéo est devenue le support média par excellence. Mais dans un monde où l’information est partout, les vidéos sont noyées par un trop-plein de contenus.
Nous sommes arrivés à un point où même les vidéos de chatons ne font plus de vues, rendez-vous compte ! Pour faire partie de la face immergée de l'iceberg du net, il faut faire preuve d’une grande ingéniosité.
C’est pour répondre à cette problématique de visibilité que Loïc Lechelle a créé SkewerLab, il y a tout juste un an.
« J’ai réellement eu l’idée, il y a 3 ans, et avant de fonder la structure, j’ai expérimenté et testé de nombreuses vidéos », explique le fondateur.
Tout a commencé à son retour en métropole, après une expérience de guide en milieu Arctique. Le jeune entrepreneur crée sa société de production de films.
« J’étais frustré de n’avoir qu’une seule version de la vidéo, alors que chacune des histoires pouvait être adaptée à son spectateur. »
Les prémices du concept venaient d'apparaître.
Nous sommes arrivés à un point où même les vidéos de chatons ne font plus de vues, rendez-vous compte ! Pour faire partie de la face immergée de l'iceberg du net, il faut faire preuve d’une grande ingéniosité.
C’est pour répondre à cette problématique de visibilité que Loïc Lechelle a créé SkewerLab, il y a tout juste un an.
« J’ai réellement eu l’idée, il y a 3 ans, et avant de fonder la structure, j’ai expérimenté et testé de nombreuses vidéos », explique le fondateur.
Tout a commencé à son retour en métropole, après une expérience de guide en milieu Arctique. Le jeune entrepreneur crée sa société de production de films.
« J’étais frustré de n’avoir qu’une seule version de la vidéo, alors que chacune des histoires pouvait être adaptée à son spectateur. »
Les prémices du concept venaient d'apparaître.
Quel est l'intérêt de Skewerlab pour un voyagiste ?
Pour casser cette dynamique, l’entrepreneur met des boutons, pour réaliser des vidéos interactives et permettre à la personne de choisir son propre scénario, mais très vite Loïc se retrouve confronté au blocage du montage.
Et le fondateur de SkewerLab d’étayer : « à un moment donné, il n’était plus possible d’établir un arbre décisionnel avec autant de branches, donc l’algorithme prend le relais. La surcharge de travail est colossale, un monteur ne peut pas faire 4 000 montages différents, il en aurait alors pour deux ans. »
Une fois la création de l’algorithme terminé, la start-up peut éclore. Très vite le premier client, la station Méribel, signe mais pour une version sans prédiction.
Ainsi l’internaute flânant sur le site de l’office de tourisme peut établir son scénario selon ses envies et ses passions, chaque vidéo est différente, et ce, pour un même profil.
Pour le moment, les preuves de l'intérêt de la solution sont là, quand une moyenne 20% des internautes terminent le visionnage d'une vidéo, cela atteint 80% pour celles de SkewerLab.
Pour passer à l’étape au-dessus, et générer des vidéos prédictives, la plateforme SAAS sortira dans six mois. « Nous serons en mesure d’éditer un scénario variable et un plugging sera inséré dans le logiciel de montage », s'enthousiasme Loïc Lechelle. La phase d’industrialisation de la solution pourra débuter.
C'est peu dire que l’équipe composée de 14 employés, dont un chercheur en neurosciences, attend ce moment avec impatience.
Six clients signeront par la même occasion leur contrat et la plateforme sera par la suite distribuée par une cinquantaine d’agences de communication. La vidéo est porteuse, les ambitions sont grandes.
Et le fondateur de SkewerLab d’étayer : « à un moment donné, il n’était plus possible d’établir un arbre décisionnel avec autant de branches, donc l’algorithme prend le relais. La surcharge de travail est colossale, un monteur ne peut pas faire 4 000 montages différents, il en aurait alors pour deux ans. »
Une fois la création de l’algorithme terminé, la start-up peut éclore. Très vite le premier client, la station Méribel, signe mais pour une version sans prédiction.
Ainsi l’internaute flânant sur le site de l’office de tourisme peut établir son scénario selon ses envies et ses passions, chaque vidéo est différente, et ce, pour un même profil.
Pour le moment, les preuves de l'intérêt de la solution sont là, quand une moyenne 20% des internautes terminent le visionnage d'une vidéo, cela atteint 80% pour celles de SkewerLab.
Pour passer à l’étape au-dessus, et générer des vidéos prédictives, la plateforme SAAS sortira dans six mois. « Nous serons en mesure d’éditer un scénario variable et un plugging sera inséré dans le logiciel de montage », s'enthousiasme Loïc Lechelle. La phase d’industrialisation de la solution pourra débuter.
C'est peu dire que l’équipe composée de 14 employés, dont un chercheur en neurosciences, attend ce moment avec impatience.
Six clients signeront par la même occasion leur contrat et la plateforme sera par la suite distribuée par une cinquantaine d’agences de communication. La vidéo est porteuse, les ambitions sont grandes.
Quel est le business model de SkewerLab ?
Une deuxième levée de fonds sera prochainement bouclée, autour de 500 000 euros. Si la start-up met à disposition sa solution gratuitement, elle se rémunère sur les vues des vidéos, une tactique gagnant-gagnant qui pourrait faire la joie de tour-opérateurs et autres acteurs du voyage.
« Quand je vois que certaines entreprises se permettent de mettre 1 euro pour ramener un seul client sur AdWords, je trouve la dépense incroyable.
Nous leur proposons les vidéos les plus adaptées aux internautes, et qui généreront derrière inévitablement des visites, pour un coût variable entre un et dix centimes » raconte Loïc Lechelle.
Si pour le moment les contacts avec les voyagistes n’ont pas été activés, le dirigeant de la jeune pousse peut se consoler avec les deux récompenses obtenues lors des 14e rencontres nationales de Pau, à savoir le coup de cœur du public et du jury, du start-up contest.
Les étagères de trophées ne seront pas les seules à se trouver vite à l’étroit, car l’équipe va s'étoffer dans les prochains mois.
Netflix n’y avait pas encore pensé, SkewerLab l’a créé. Pour en savoir plus, regardez la vidéo au début de l'article, et visitez le site de la start-up où une vidéo personnalisée selon votre lieu et l'heure de visionnage s'activera.
« Quand je vois que certaines entreprises se permettent de mettre 1 euro pour ramener un seul client sur AdWords, je trouve la dépense incroyable.
Nous leur proposons les vidéos les plus adaptées aux internautes, et qui généreront derrière inévitablement des visites, pour un coût variable entre un et dix centimes » raconte Loïc Lechelle.
Si pour le moment les contacts avec les voyagistes n’ont pas été activés, le dirigeant de la jeune pousse peut se consoler avec les deux récompenses obtenues lors des 14e rencontres nationales de Pau, à savoir le coup de cœur du public et du jury, du start-up contest.
Les étagères de trophées ne seront pas les seules à se trouver vite à l’étroit, car l’équipe va s'étoffer dans les prochains mois.
Netflix n’y avait pas encore pensé, SkewerLab l’a créé. Pour en savoir plus, regardez la vidéo au début de l'article, et visitez le site de la start-up où une vidéo personnalisée selon votre lieu et l'heure de visionnage s'activera.