Jay Feitlinger et Jason Mcdonald veulent aider les entreprises françaises à se lancer sur le marché américain. Photo LAC
Démarcher efficacement les touristes américains : voici la promesse de l'agence de marketing et de communication Stringcan Interactive, qui ouvre aujourd'hui un bureau en France.
Ses prestations ne diffèrent guère de celles qu'on trouve aujourd'hui chez ses concurrents : elle s'occupe de stratégie digitale, de contenu et de médias sociaux.
Mais pour son directeur Jason Mcdonald, sa valeur ajoutée réside dans son expertise sur le marché nord-américain.
"Grâce à notre double culture, nous pouvons conseiller pertinemment les sociétés françaises qui veulent séduire des clients des USA et du Canada et les aider à adapter leur discours numérique", explique-t-il.
En effet, même si les attentes d'un touriste américain ne sont pas radicalement différentes de celles de leurs homologues européens, certains détails peuvent jouer en la défaveur d'un hôtel ou d'un voyagiste.
"Lorsqu'on veut par exemple faire une promotion, mieux vaut parler de "best value trip" plutôt que de "cheap trip", dont la connotation est plus négative", précise Jason Mcdonald.
Ses prestations ne diffèrent guère de celles qu'on trouve aujourd'hui chez ses concurrents : elle s'occupe de stratégie digitale, de contenu et de médias sociaux.
Mais pour son directeur Jason Mcdonald, sa valeur ajoutée réside dans son expertise sur le marché nord-américain.
"Grâce à notre double culture, nous pouvons conseiller pertinemment les sociétés françaises qui veulent séduire des clients des USA et du Canada et les aider à adapter leur discours numérique", explique-t-il.
En effet, même si les attentes d'un touriste américain ne sont pas radicalement différentes de celles de leurs homologues européens, certains détails peuvent jouer en la défaveur d'un hôtel ou d'un voyagiste.
"Lorsqu'on veut par exemple faire une promotion, mieux vaut parler de "best value trip" plutôt que de "cheap trip", dont la connotation est plus négative", précise Jason Mcdonald.
CroisiEurope : le premier client français
Son premier client sur le marché français a été CroisiEurope.
Suite à ses conseils, le croisiériste a totalement repensé son site internet. "Le portail avait beaucoup trop d'informations et les clients qui ne connaissaient pas les croisières étaient perdus", assure Jay Feitlinger, le président de l'agence.
La nouvelle interface plus interactive, fait la part belle aux images sans oublier les détails : de la composition des menus, aux tenues à porter pour aller diner.
"Les Américains qui viennent en France veulent être rassurés et savoir exactement à quoi s'attendre pendant leur séjour", poursuit Jason Mcdonald.
Il affirme d'ailleurs que suite à ces modification et à la campagne marketing menée aux Etats-Unis, CroisiEurope a connu une belle croissance sur ce marché.
Suite à ses conseils, le croisiériste a totalement repensé son site internet. "Le portail avait beaucoup trop d'informations et les clients qui ne connaissaient pas les croisières étaient perdus", assure Jay Feitlinger, le président de l'agence.
La nouvelle interface plus interactive, fait la part belle aux images sans oublier les détails : de la composition des menus, aux tenues à porter pour aller diner.
"Les Américains qui viennent en France veulent être rassurés et savoir exactement à quoi s'attendre pendant leur séjour", poursuit Jason Mcdonald.
Il affirme d'ailleurs que suite à ces modification et à la campagne marketing menée aux Etats-Unis, CroisiEurope a connu une belle croissance sur ce marché.