« Ce qui se passe est trop grave. On pourrait nous accuser d’entente si on prenait une position commune », commente laconiquement René-Marc Chikli, le président du Ceto.
Pourtant, après la position de l’Alliance T (Selectour et Carlson Wagonlit) refusant de répercuter les surcharges carburant à leurs clients à partir du 1er mai le G4 (Afat Voyages, Thomas Cook, Manor) souhaitant se faire payer par les tour-opérateurs toute intervention autour des surcharges, ces derniers se doivent de réagir.
Pour l’instant, il y a des effets de manche, des menaces de procès, mais pas de solution en vue…
Plus en amont au sein du Ceto, une commission de travail a été constituée pour négocier avec les compagnies aériennes une modification de l’indice de référence du baril.
Pourtant, après la position de l’Alliance T (Selectour et Carlson Wagonlit) refusant de répercuter les surcharges carburant à leurs clients à partir du 1er mai le G4 (Afat Voyages, Thomas Cook, Manor) souhaitant se faire payer par les tour-opérateurs toute intervention autour des surcharges, ces derniers se doivent de réagir.
Pour l’instant, il y a des effets de manche, des menaces de procès, mais pas de solution en vue…
Plus en amont au sein du Ceto, une commission de travail a été constituée pour négocier avec les compagnies aériennes une modification de l’indice de référence du baril.
TourCom : pas de commissionnement sur les surcharges...
Les surcharges comme le carburant sont sous pression...
Un indice qui se situe trop loin de l’évolution actuelle du prix du carburant. Sa réactualisation pourrait résoudre une partie du problème…
En attendant, c’est le SNAV qui veut éteindre le feu qui prend entre ses deux familles de producteurs et distributeurs. Georges Colson, a envoyé en fin de semaine dernière un mot aux deux présidents de métiers concernés (Georges Azouze pour les producteurs et Robert Darfeuille pour les distributeurs).
Objectif : les convier à venir débattre de la situation en réunion paritaire, chacun accompagné d’une délégation, afin d’arriver à trouver une solution.
« Nous devons donner un éclairage juridique sur ce problème à chaque président de métier. Il existe une réglementation sur les variations de prix. Et à partir de là, trouver une pratique commune », estime Jean-Marc Rozé, le secrétaire général.
Pendant ce temps, Richard Vainopoulos pour le réseau Tourcom, fidèle à son "non-alignement" reste sur ses positions : pas de surcharges trop lourdes, pas de commissionnement sur les surcharges et le respect du délai de 30 jours pour les appliquer.
Le Syndicat parviendra-t-il à concilier l'inconciliable ? Voilà un beau challenge pour le président Colson et une occasion unique de démontrer le rôle et l'utilité du Snav. Nul doute qu'il sera attendu au tournant...
En attendant, c’est le SNAV qui veut éteindre le feu qui prend entre ses deux familles de producteurs et distributeurs. Georges Colson, a envoyé en fin de semaine dernière un mot aux deux présidents de métiers concernés (Georges Azouze pour les producteurs et Robert Darfeuille pour les distributeurs).
Objectif : les convier à venir débattre de la situation en réunion paritaire, chacun accompagné d’une délégation, afin d’arriver à trouver une solution.
« Nous devons donner un éclairage juridique sur ce problème à chaque président de métier. Il existe une réglementation sur les variations de prix. Et à partir de là, trouver une pratique commune », estime Jean-Marc Rozé, le secrétaire général.
Pendant ce temps, Richard Vainopoulos pour le réseau Tourcom, fidèle à son "non-alignement" reste sur ses positions : pas de surcharges trop lourdes, pas de commissionnement sur les surcharges et le respect du délai de 30 jours pour les appliquer.
Le Syndicat parviendra-t-il à concilier l'inconciliable ? Voilà un beau challenge pour le président Colson et une occasion unique de démontrer le rôle et l'utilité du Snav. Nul doute qu'il sera attendu au tournant...