"La lecture de votre article « TAAJ : la direction de l'agence liquidée assigne son ex-comptable en justice » paru le vendredi 24 août 2016 (l'article a en fait été publié le 14 octobre 2016, Ndlr) dans TourMaG.com, m'a littéralement stupéfait.
Au-delà du fait qu'il est très curieux que vous reveniez 27 mois après la plainte déposée par TAAJ contre son ancienne directrice administrative et financière (et non sa « comptable », comme vous me le faites dire à tort) sur les faits à l’origine de ladite plainte, je ne peux vous laisser publier sans réagir les propos que vous me prêtez et qui, pour l’essentiel, sont totalement faux et ne reflètent en rien la teneur de nos échanges.
Je n'ai jamais déclaré que les malversations de mon ancienne DAF auraient précipité la chute de l'entreprise.
C'est pourtant ce qu’a essayé de me faire dire avec acharnement votre journaliste, lors de son appel téléphonique du début du mois d'octobre 2016.
Confronté à l’insistance de ce dernier, la seule chose que j'ai déclarée, c'est que, personnellement, je ne lâcherai rien contre l’ancienne DAF, bien que la décision finale revienne également en partie désormais au liquidateur judiciaire de TAAJ, Maître Valérie Leloup-Thomas.
Je vous remercie de bien vouloir insérer la présente réponse sur la page Internet de votre site ainsi que dans tout écrit périodique qui ferait mention de l’article précité, conformément au droit de réponse prévu par l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.
Cordialement,
Antoine ADAM"
Au-delà du fait qu'il est très curieux que vous reveniez 27 mois après la plainte déposée par TAAJ contre son ancienne directrice administrative et financière (et non sa « comptable », comme vous me le faites dire à tort) sur les faits à l’origine de ladite plainte, je ne peux vous laisser publier sans réagir les propos que vous me prêtez et qui, pour l’essentiel, sont totalement faux et ne reflètent en rien la teneur de nos échanges.
Je n'ai jamais déclaré que les malversations de mon ancienne DAF auraient précipité la chute de l'entreprise.
C'est pourtant ce qu’a essayé de me faire dire avec acharnement votre journaliste, lors de son appel téléphonique du début du mois d'octobre 2016.
Confronté à l’insistance de ce dernier, la seule chose que j'ai déclarée, c'est que, personnellement, je ne lâcherai rien contre l’ancienne DAF, bien que la décision finale revienne également en partie désormais au liquidateur judiciaire de TAAJ, Maître Valérie Leloup-Thomas.
Je vous remercie de bien vouloir insérer la présente réponse sur la page Internet de votre site ainsi que dans tout écrit périodique qui ferait mention de l’article précité, conformément au droit de réponse prévu par l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.
Cordialement,
Antoine ADAM"
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