Missions
La principale mission du technicien back-office input est la saisie des éléments de stocks et prix de vente dans le système informatique de l’entreprise - © Warakorn - Fotolia.com
Rattaché à la direction exploitation, la principale mission du technicien back-office input est la saisie des éléments de stocks et prix de vente dans le système informatique de l’entreprise.
Cette saisie doit permettre la vente des produits à travers les différents canaux de distribution.
La répartition des tâches est différente selon les entreprises. Certaines y incluent la gestion des devis / cotations, ou encore la conception des carnets de voyages.
Mais l’essentiel reste la saisie des données en informatique pour que les vendeurs puissent finaliser leurs dossiers dans les meilleures conditions pour le bon déroulement du voyage.
Les principales missions sont donc :
- Intégrer les produits fournis par la production dans le système informatique
- Rédiger les descriptifs des prestations si besoin
- Effectuer la saisie de toutes les informations nécessaires dans le système
- Intégrer les photos si nécessaire, les tarifs, les particularités en fonction des contrats
- Procéder à la réalisation de tests pour assurer la fiabilité des produits mis en vente
- Vérifier la cohérence des codifications (produit et prix) pour assurer la régularité des analyses statistiques
- Répondre aux demandes particulières des agents de réservation
Cette saisie doit permettre la vente des produits à travers les différents canaux de distribution.
La répartition des tâches est différente selon les entreprises. Certaines y incluent la gestion des devis / cotations, ou encore la conception des carnets de voyages.
Mais l’essentiel reste la saisie des données en informatique pour que les vendeurs puissent finaliser leurs dossiers dans les meilleures conditions pour le bon déroulement du voyage.
Les principales missions sont donc :
- Intégrer les produits fournis par la production dans le système informatique
- Rédiger les descriptifs des prestations si besoin
- Effectuer la saisie de toutes les informations nécessaires dans le système
- Intégrer les photos si nécessaire, les tarifs, les particularités en fonction des contrats
- Procéder à la réalisation de tests pour assurer la fiabilité des produits mis en vente
- Vérifier la cohérence des codifications (produit et prix) pour assurer la régularité des analyses statistiques
- Répondre aux demandes particulières des agents de réservation
Points forts
Autres articles
-
Fiche métier : directeur(trice) de production, le dénicheur de destinations
-
Référencement naturel : chef de projet SEO, le dompteur de Google
-
Gestionnaire des opérations terrestres : le chef d'orchestre des stocks hôteliers
-
Sourcing Manager : le responsable du panel fournisseurs !
-
Rédacteur web / Responsable SEO : un bon pari sur l'avenir !
- La porte d’entrée pour découvrir les différents secteurs d’opérations d’un TO
- L’importante responsabilité dans la bonne marche de la vente
- La découverte des produits et destinations touristiques à travers leur mise en ligne et parfois en déplacements sur le terrain (éductours)
- L’importante responsabilité dans la bonne marche de la vente
- La découverte des produits et destinations touristiques à travers leur mise en ligne et parfois en déplacements sur le terrain (éductours)
Formation
BTS Tourisme (Bac + 2) minimum.
Rémunération
1000 à 2000 euros mensuels.
Compétences
- Maîtrise technique de l’informatique, chaque TO disposant d’un intranet personnel
- Une bonne connaissance d’Excel et des logiciels de base de données
- Une pratique du langage touristique
- Une aisance dans la rédaction de textes
- La capacité d'analyser les prix et les produits
- L’anglais est un plus en cas de contact avec les prestataires
- Une bonne connaissance d’Excel et des logiciels de base de données
- Une pratique du langage touristique
- Une aisance dans la rédaction de textes
- La capacité d'analyser les prix et les produits
- L’anglais est un plus en cas de contact avec les prestataires
Qualités bienvenues
Vous êtes rigoureux et doté d’un excellent sens de l’analyse et du détail. Les techniques informatiques vous plaisent et les chiffres ne vous font pas peur.
Mais vous êtes également à l’aise avec l’écriture.
Vous possédez en outre :
- Patience et persévérance
- Grande rigueur dans votre organisation
- Sens de l’écoute
- Curiosité envers les produits issus du monde du tourisme
- Une petite connaissance des destinations traitées par le TO sera un plus
Mais vous êtes également à l’aise avec l’écriture.
Vous possédez en outre :
- Patience et persévérance
- Grande rigueur dans votre organisation
- Sens de l’écoute
- Curiosité envers les produits issus du monde du tourisme
- Une petite connaissance des destinations traitées par le TO sera un plus
Débouchés et évolution professionnelle
Un bon technicien back-office input peut rapidement passer au service réservation du TO et grimper ensuite les échelons du service commercial ou production en fonction de ses goûts et capacités.
Témoignage de pro
Morgane Blaie, assistante de production Amérique du Nord chez Voyageurs du Monde
Morgane Blaie - DR
C’est une porte d’entrée parfaite : on y apprend à lire un contrat, à comprendre la logique des chiffres et on approfondit sa connaissance des destinations.
« Je suis assistante de production mais avant tout gestionnaire de base de données. Cela veut dire que je reçois les contrats que la production a passé avec les fournisseurs et prestataires extérieurs, et que c’est à moi de les mettre en forme et en ligne dans l’intranet de l’entreprise.
Je rédige les descriptifs des hébergements et des services, j’y ajoute des informations complémentaires et les tarifs négociés. Si c’est une création, je dispose de masques avec différents champs à remplir, qui seront ensuite utilisés par la machine pour gérer soit les vouchers, soit les carnets de voyage.
Depuis peu chez VDM, on nous demande d’avoir un regard plus observateur sur les produits que nous entrons en machine. Nous sommes tous spécialisés sur une destination, pour moi c’est l’Amérique du Nord, et nous devons approfondir en permanence notre connaissance des pays concernés afin d’enrichir notre travail.
Je suis arrivée chez VDM il y a un an et demi, avec une licence de langues et un master de tourisme. En stage, j’avais travaillé pour un réceptif écossais et surtout pour Comptoir, ce qui m’a permis de connaître l’entreprise.
Quand j’ai débuté, je faisais de la saisie de tarifs d’après contrats. Aujourd’hui, je peux attirer l’attention de la production sur les besoins de création de certains produits ou non. C’est plus enrichissant. J’ai beaucoup appris au fil des contacts avec les fournisseurs et j’ai eu la chance de participer à un éductour sur le terrain.
Chez VDM, l’idéal serait d’en faire un par an, mais les conseillers ont bien sûr la priorité.
C’est d’ailleurs l’évolution classique de ce métier. Selon les goûts de chacun, on s’oriente vers la vente et on devient conseiller de vente, ou on aime le contact fournisseurs et on s’oriente vers le technique.
C’est pourquoi c’est un poste parfait comme porte d’entrée dans les métiers du tourisme. On y apprend à lire un contrat, à comprendre la logique des chiffres et des tarifs, et on approfondit sa connaissance des destinations.
Techniquement, il est indispensable d’avoir de la rigueur, de savoir écrire et de manier Excel. Bien que, de plus en plus, les informations techniques soient extraites directement des bases de données de nos fournisseurs. C’est une pratique qui se développe beaucoup sur les USA et l’Australie.
C’est beaucoup plus rapide mais aussi plus difficile à remonter en cas de problème, et on perd un peu la maîtrise des données. Des systèmes de contrôle sont donc mis en place pour parer aux éventuels problèmes. »
« Je suis assistante de production mais avant tout gestionnaire de base de données. Cela veut dire que je reçois les contrats que la production a passé avec les fournisseurs et prestataires extérieurs, et que c’est à moi de les mettre en forme et en ligne dans l’intranet de l’entreprise.
Je rédige les descriptifs des hébergements et des services, j’y ajoute des informations complémentaires et les tarifs négociés. Si c’est une création, je dispose de masques avec différents champs à remplir, qui seront ensuite utilisés par la machine pour gérer soit les vouchers, soit les carnets de voyage.
Depuis peu chez VDM, on nous demande d’avoir un regard plus observateur sur les produits que nous entrons en machine. Nous sommes tous spécialisés sur une destination, pour moi c’est l’Amérique du Nord, et nous devons approfondir en permanence notre connaissance des pays concernés afin d’enrichir notre travail.
Je suis arrivée chez VDM il y a un an et demi, avec une licence de langues et un master de tourisme. En stage, j’avais travaillé pour un réceptif écossais et surtout pour Comptoir, ce qui m’a permis de connaître l’entreprise.
Quand j’ai débuté, je faisais de la saisie de tarifs d’après contrats. Aujourd’hui, je peux attirer l’attention de la production sur les besoins de création de certains produits ou non. C’est plus enrichissant. J’ai beaucoup appris au fil des contacts avec les fournisseurs et j’ai eu la chance de participer à un éductour sur le terrain.
Chez VDM, l’idéal serait d’en faire un par an, mais les conseillers ont bien sûr la priorité.
C’est d’ailleurs l’évolution classique de ce métier. Selon les goûts de chacun, on s’oriente vers la vente et on devient conseiller de vente, ou on aime le contact fournisseurs et on s’oriente vers le technique.
C’est pourquoi c’est un poste parfait comme porte d’entrée dans les métiers du tourisme. On y apprend à lire un contrat, à comprendre la logique des chiffres et des tarifs, et on approfondit sa connaissance des destinations.
Techniquement, il est indispensable d’avoir de la rigueur, de savoir écrire et de manier Excel. Bien que, de plus en plus, les informations techniques soient extraites directement des bases de données de nos fournisseurs. C’est une pratique qui se développe beaucoup sur les USA et l’Australie.
C’est beaucoup plus rapide mais aussi plus difficile à remonter en cas de problème, et on perd un peu la maîtrise des données. Des systèmes de contrôle sont donc mis en place pour parer aux éventuels problèmes. »