Comme nous le faisait justement remarquer une lectrice, 347 licenciements, c'est plus que la fermeture de Whirpool à Amiens - DR
Alors, bien sûr, il y a les inondations, et puis la réforme des retraites et la grève générale qui se prépare le 5 décembre... Il y a aussi les 13 militaires morts au Mali dans le crash de deux hélicoptères.
Mais tout de même : 347 postes chez Thomas Cook France qui ne seront pas repris... 347 personnes sur le carreau et pas une ligne dans la presse grand public (ou très peu)... Voilà qui laisse songeur.
Comme nous le faisait justement remarquer une lectrice, 347 licenciements, c'est plus que la fermeture de Whirpool à Amiens.
A l'époque, 290 emplois étaient sur la sellette dans l'usine d'électroménager. Et l'affaire avait fait grand bruit ! Les salariés de Whirpool avaient fait les gros titres. Une mise en lumière accélérée par l'élection présidentielle de 2017.
A cette occasion d'ailleurs, les deux candidats engagés dans le second tour, Marine Le Pen (FN) et Emmanuel Macron (LRM) avaient fait le déplacement.
Là pour Thomas Cook : nada... walou !
Mais tout de même : 347 postes chez Thomas Cook France qui ne seront pas repris... 347 personnes sur le carreau et pas une ligne dans la presse grand public (ou très peu)... Voilà qui laisse songeur.
Comme nous le faisait justement remarquer une lectrice, 347 licenciements, c'est plus que la fermeture de Whirpool à Amiens.
A l'époque, 290 emplois étaient sur la sellette dans l'usine d'électroménager. Et l'affaire avait fait grand bruit ! Les salariés de Whirpool avaient fait les gros titres. Une mise en lumière accélérée par l'élection présidentielle de 2017.
A cette occasion d'ailleurs, les deux candidats engagés dans le second tour, Marine Le Pen (FN) et Emmanuel Macron (LRM) avaient fait le déplacement.
Là pour Thomas Cook : nada... walou !
Alors oui c'est vrai, nous ne sommes pas en période d'élections. Mais tout de même !
Force est de constater que les syndicats et les représentants du personnel de Thomas Cook France se sont faits pour le moins discrets.
On imagine qu'ils avaient d'autres chats à fouetter que de parler aux journalistes ? Et surtout qu'ils ont appliqué à la lettre la consigne de l'interdiction de parler à la presse...
Reste qu'il y a de quoi s'interroger. Surtout lorsqu'on sait que certaines agences Thomas Cook, qui ne faisaient pas partie de la reprise et dont les salariés ont brisé le silence en nous livrant leur témoignage, ont finalement intéressé des repreneurs potentiels.
Lire : Agences Thomas Cook non reprises : "je dois faire le deuil de tout ça"
Et oui, vous ne le savez peut-être pas mais nous avons eu plusieurs coups de fil à la Rédaction d'entreprises qui voulaient avoir le contact de plusieurs des agences "laissées-pour-compte".
Cela ne veut pas dire que la reprise sera possible, mais c'est déjà un pas en avant.
Et on peut sans doute regretter que les représentants du personnel et syndicats de Thomas Cook France ne se soient pas davantage mobilisés pour défendre leurs emplois de façon plus énergique. C'est ce qu'on appelle un raté, car 347 emplois c'est quand même pas une paille !
Étonnant non ?
Force est de constater que les syndicats et les représentants du personnel de Thomas Cook France se sont faits pour le moins discrets.
On imagine qu'ils avaient d'autres chats à fouetter que de parler aux journalistes ? Et surtout qu'ils ont appliqué à la lettre la consigne de l'interdiction de parler à la presse...
Reste qu'il y a de quoi s'interroger. Surtout lorsqu'on sait que certaines agences Thomas Cook, qui ne faisaient pas partie de la reprise et dont les salariés ont brisé le silence en nous livrant leur témoignage, ont finalement intéressé des repreneurs potentiels.
Lire : Agences Thomas Cook non reprises : "je dois faire le deuil de tout ça"
Et oui, vous ne le savez peut-être pas mais nous avons eu plusieurs coups de fil à la Rédaction d'entreprises qui voulaient avoir le contact de plusieurs des agences "laissées-pour-compte".
Cela ne veut pas dire que la reprise sera possible, mais c'est déjà un pas en avant.
Et on peut sans doute regretter que les représentants du personnel et syndicats de Thomas Cook France ne se soient pas davantage mobilisés pour défendre leurs emplois de façon plus énergique. C'est ce qu'on appelle un raté, car 347 emplois c'est quand même pas une paille !
Étonnant non ?