Taxes, Air France, Istanbul....We are the champions, my friends un Top 5 haut dans les aiguës - Crédit photo : Pixabay
La France trop chère. Vous souvenez-vous de la dernière invention française ayant conquis le monde ? La taxe sur la valeur ajoutée, bien sûr ! La TVA a pointé le bout de son nez en 1954, avant de trouver preneur aux quatre coins de la planète.
Pour suivre cette mouvance instiguée par le président de la République René Coty, un amendement proposé par Paul Christophe, député (UDI) du Nord a été adopté par l'Assemblée nationale. Cette proposition vise à assujettir les aides aux vacances versées aux salariés par l’intermédiaire des comités d'entreprise.
Ainsi, à partir de l'année 2019, les budgets vacances des CE, et futur CSE, pourraient être amputés de 50 %, pénalisant bien évidemment les salariés les plus en difficultés, et les agences de voyages.
Avant son passage devant le Sénat, les acteurs du tourisme sont vent debout contre cette mesure contestée, qui entre dans le cadre du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2019.
Pour en savoir plus, nous vous conseillons de lire : Taxes aides aux vacances CE : les pros du tourisme demandent la suppression du texte
Joon, mais pour quoi faire ? C'est en quelque sorte la question que se poserait Benjamin Smith, le nouveau patron d'Air France. Selon une indiscrétion de la rédaction de TourMaG.com, d'une source proche de la direction, le sort de la compagnie des millennials serait presque scellé.
« Même si la disparition est un tabou au sein d’Air France, Benjamin Smith sait ce qu’il veut et estime que la compagnie doit être totalement revue, voire même disparaître », nous assure-t-on.
En attendant la décision du nouveau P-DG, la direction de Joon tente de calmer le jeu et de mettre fin aux rumeurs, en envoyant des mails contredisant cette annonce.
Pour faire toute la lumière sur la stratégie de Benjamin Smith : Air France : quel avenir pour Joon dans la stratégie de Benjamin Smith ?
Pour suivre cette mouvance instiguée par le président de la République René Coty, un amendement proposé par Paul Christophe, député (UDI) du Nord a été adopté par l'Assemblée nationale. Cette proposition vise à assujettir les aides aux vacances versées aux salariés par l’intermédiaire des comités d'entreprise.
Ainsi, à partir de l'année 2019, les budgets vacances des CE, et futur CSE, pourraient être amputés de 50 %, pénalisant bien évidemment les salariés les plus en difficultés, et les agences de voyages.
Avant son passage devant le Sénat, les acteurs du tourisme sont vent debout contre cette mesure contestée, qui entre dans le cadre du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2019.
Pour en savoir plus, nous vous conseillons de lire : Taxes aides aux vacances CE : les pros du tourisme demandent la suppression du texte
Joon, mais pour quoi faire ? C'est en quelque sorte la question que se poserait Benjamin Smith, le nouveau patron d'Air France. Selon une indiscrétion de la rédaction de TourMaG.com, d'une source proche de la direction, le sort de la compagnie des millennials serait presque scellé.
« Même si la disparition est un tabou au sein d’Air France, Benjamin Smith sait ce qu’il veut et estime que la compagnie doit être totalement revue, voire même disparaître », nous assure-t-on.
En attendant la décision du nouveau P-DG, la direction de Joon tente de calmer le jeu et de mettre fin aux rumeurs, en envoyant des mails contredisant cette annonce.
Pour faire toute la lumière sur la stratégie de Benjamin Smith : Air France : quel avenir pour Joon dans la stratégie de Benjamin Smith ?
Istanbul se rêve en maître du monde
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Istanbul sur le toit du monde. La Turquie rêve dans la démesure ces dernières années. Après le palais présidentiel de 200 000 mètres carrés, pour 1 000 chambres, c'est à l'aéroport d'Istanbul d'entrer dans le livre des records.
Inauguré, lundi 29 octobre 2018, par Recep Erdogan, l'infrastructure pourrait faire pâlir de plaisir ou de désir les responsables des aéroports parisiens. Nommé en toute modestie « The meeting point of the world » (le point de rencontre du monde), l'aéroport promet d’accueillir, d’ici 10 ans, 200 millions de voyageurs, sur une plateforme grande comme deux fois Paris-Charles de Gaulle.
Et pour se rendre compte de la démesure, au-delà des mètres carrés, ou des kilomètres de couloirs, l'aéroport le plus fréquenté du monde en 2017 a accueilli "seulement" 104 millions de passagers par an, et ce fut celui d'Atlanta.
Si vous souhaitez découvrir les lieux, et en savoir plus sur son histoire : Istanbul : le nouveau plus grand aéroport du monde ouvre ses portes ce mercredi
Ça ne plane pas pour tout le monde. Pendant que la Turquie pave d'or son nouvel aéroport, il est un acteur de l'aérien qui espère renouer avec son lustre d'antan : Alitalia.
Portée disparue, il y a un an, et à deux doigts de mettre la clé sous l'avion, la compagnie italienne a repris des couleurs, financièrement dans un premier temps.
Et l'actualité ne s'arrête pas seulement aux chiffres, puisque l'identité du repreneur devrait bientôt se faire connaître. Selon nos confrères de Reuters la société des chemins de fer transalpins aurait déposé un dossier de reprise.
Alors pour savoir à quelle sauce sera dégustée Alitalia, je vous conseille de jeter un œil : Quel avenir pour Alitalia ?
Inauguré, lundi 29 octobre 2018, par Recep Erdogan, l'infrastructure pourrait faire pâlir de plaisir ou de désir les responsables des aéroports parisiens. Nommé en toute modestie « The meeting point of the world » (le point de rencontre du monde), l'aéroport promet d’accueillir, d’ici 10 ans, 200 millions de voyageurs, sur une plateforme grande comme deux fois Paris-Charles de Gaulle.
Et pour se rendre compte de la démesure, au-delà des mètres carrés, ou des kilomètres de couloirs, l'aéroport le plus fréquenté du monde en 2017 a accueilli "seulement" 104 millions de passagers par an, et ce fut celui d'Atlanta.
Si vous souhaitez découvrir les lieux, et en savoir plus sur son histoire : Istanbul : le nouveau plus grand aéroport du monde ouvre ses portes ce mercredi
Ça ne plane pas pour tout le monde. Pendant que la Turquie pave d'or son nouvel aéroport, il est un acteur de l'aérien qui espère renouer avec son lustre d'antan : Alitalia.
Portée disparue, il y a un an, et à deux doigts de mettre la clé sous l'avion, la compagnie italienne a repris des couleurs, financièrement dans un premier temps.
Et l'actualité ne s'arrête pas seulement aux chiffres, puisque l'identité du repreneur devrait bientôt se faire connaître. Selon nos confrères de Reuters la société des chemins de fer transalpins aurait déposé un dossier de reprise.
Alors pour savoir à quelle sauce sera dégustée Alitalia, je vous conseille de jeter un œil : Quel avenir pour Alitalia ?
Croissance toujours. Si les aéroports sont toujours plus grands, gros et spectaculaires, c'est aussi parce que le tourisme affiche une belle vitalité. Ce n'est pas Globéo Travel qui dira le contraire.
L'agence spécialisée dans le voyage d'affaires affichera une croissance de 15% à la fin de l'année 2018, ce qui se conjuguera par un recrutement d'une quinzaine de personnes.
La spécificité de Globéo Travel est de miser sur l'innovation pour se démarquer et conquérir des parts de marché. Cette digitalisation et recherche de la nouveauté ne se font pas au détriment de l'humain bien au contraire. Ainsi, l'entreprise comptabilise plus de 110 CDI et part à la recherche de 15 perles rares.
Pour Francois Laurain, directeur commercial & account management de Globéo Travel "le recrutement est un frein à notre croissance. Nous pourrions avancer plus vite..."
Pour savoir comment fait l'agence pour draguer et attirer ses futurs salariés, lisez : Emploi : Globéo Travel recrute 15 personnes !
Un bon week-end à tous et n'oubliez pas que même dans le tourisme : We are the champions, my friends !
Crédit Gif : Gfycat, GIPHY
L'agence spécialisée dans le voyage d'affaires affichera une croissance de 15% à la fin de l'année 2018, ce qui se conjuguera par un recrutement d'une quinzaine de personnes.
La spécificité de Globéo Travel est de miser sur l'innovation pour se démarquer et conquérir des parts de marché. Cette digitalisation et recherche de la nouveauté ne se font pas au détriment de l'humain bien au contraire. Ainsi, l'entreprise comptabilise plus de 110 CDI et part à la recherche de 15 perles rares.
Pour Francois Laurain, directeur commercial & account management de Globéo Travel "le recrutement est un frein à notre croissance. Nous pourrions avancer plus vite..."
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