Le salariat a du plomb dans l’aile...
Le planning de la journée de Léa était réglé avec une précision d’horloger.
Pas question de zoner dans les allées à la recherche d’un commercial aux dents blanches… Léa avait rendez-vous avec ses réceptifs préférés : Kenya, Maroc, Australie, Ile Maurice, Thaïlande, Indonésie, Inde, Argentine, ils étaient tous là…
Aux détours des stands, Léa a encore claqué des bises à quelques copines d’éductour… Force est de constater que le salariat a du plomb dans l’aile. Elles sont nombreuses les agents de voyages confirmées à devenir free-lance…
Bien des modèles économiques sont proposées à ces vraies apporteuses de marge… Certaines sont devenues « apporteurs d’affaires » et facturent des rétrocessions de com’ à des agences qui sont bien contentes de récupérer une clientèle haute-contribution.
D'autres travaillent chez elles, et décrochent les lignes téléphoniques que les agences leur « basculent ». Certaines ont rejoint le réseau Twim Travel et développent « leur » clientèle en se servant de Twim Travel pour la licence et le back-office. Elles sont payées « à la commission ».
Pas question de zoner dans les allées à la recherche d’un commercial aux dents blanches… Léa avait rendez-vous avec ses réceptifs préférés : Kenya, Maroc, Australie, Ile Maurice, Thaïlande, Indonésie, Inde, Argentine, ils étaient tous là…
Aux détours des stands, Léa a encore claqué des bises à quelques copines d’éductour… Force est de constater que le salariat a du plomb dans l’aile. Elles sont nombreuses les agents de voyages confirmées à devenir free-lance…
Bien des modèles économiques sont proposées à ces vraies apporteuses de marge… Certaines sont devenues « apporteurs d’affaires » et facturent des rétrocessions de com’ à des agences qui sont bien contentes de récupérer une clientèle haute-contribution.
D'autres travaillent chez elles, et décrochent les lignes téléphoniques que les agences leur « basculent ». Certaines ont rejoint le réseau Twim Travel et développent « leur » clientèle en se servant de Twim Travel pour la licence et le back-office. Elles sont payées « à la commission ».