Nombre d’AGV ont compris qu’elles devaient s’assouplir
Toutes ressentent le même bonheur.
Celui d’être « indépendantes », de travailler quand bon leur semble, de ne pas être sclérosées dans une boutique, de ne pas avoir de chef sur le dos et d’être payées « à hauteur de ce qu’elles rapportent ».
Léa se dit qu’elle a beaucoup de chance : parce qu’elle a un bon salaire (pour une agent de voyages…), qu’elle aime être au comptoir avec des filles avec qui elle s’entend parfaitement, que Big-Boss n’est jamais là (et qu’Isa’ qui n’est bientôt plus sa chef, est enfermée dans son cagibi) et qu’elle a le droit d’arriver tard à l’agence de temps en temps.
Alors pourquoi changer ?
Mais elle admire toutes ces consœurs qui se sont lancées entant qu’auto-entrepreneuses ou payées uniquement « à la com’ ».
Du coup, nombre d’agences ont compris qu’elles devaient s’assouplir pour garder leurs « bonnes » et rémunérer l’expertise autant que le management…
Celui d’être « indépendantes », de travailler quand bon leur semble, de ne pas être sclérosées dans une boutique, de ne pas avoir de chef sur le dos et d’être payées « à hauteur de ce qu’elles rapportent ».
Léa se dit qu’elle a beaucoup de chance : parce qu’elle a un bon salaire (pour une agent de voyages…), qu’elle aime être au comptoir avec des filles avec qui elle s’entend parfaitement, que Big-Boss n’est jamais là (et qu’Isa’ qui n’est bientôt plus sa chef, est enfermée dans son cagibi) et qu’elle a le droit d’arriver tard à l’agence de temps en temps.
Alors pourquoi changer ?
Mais elle admire toutes ces consœurs qui se sont lancées entant qu’auto-entrepreneuses ou payées uniquement « à la com’ ».
Du coup, nombre d’agences ont compris qu’elles devaient s’assouplir pour garder leurs « bonnes » et rémunérer l’expertise autant que le management…