Quelles technologies équiperont les transports dans 5 ans ? Dans les locaux d'Alstom, à Villeurbanne, les équipes dédiées aux systèmes électroniques ferroviaires travaillent notamment sur le train du futur.
Un train qui serait entièrement connecté au réseau 4G par le sol et qui permettrait aux passagers d'accéder à de nombreux services en wifi grâce à leur smartphone : météo, données sur le trajet en temps réel, informations sur la destination, etc.
Ces services seraient notamment introduits par une table tactile, mais aussi par le biais de la vitre, qui ferait office d'écran.
Un train qui serait entièrement connecté au réseau 4G par le sol et qui permettrait aux passagers d'accéder à de nombreux services en wifi grâce à leur smartphone : météo, données sur le trajet en temps réel, informations sur la destination, etc.
Ces services seraient notamment introduits par une table tactile, mais aussi par le biais de la vitre, qui ferait office d'écran.
Des services accessibles via le smartphone
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Une fois le titre de transport validé, grâce à un contact entre son smartphone et un tag NFC, le passager pourra activer les équipements intégrés à son siège et accéder aux menus correspondant à son billet.
Informations, vidéos, mais aussi photos ou encore dessins : chaque compagnie pourra créer ses menus en fonction de ses besoins et les intégrer dans la table tactile.
Parmi les options notables, on trouve la réservation de services à bord, comme sa place aux toilettes ou son repas.
Si la table tactile est d'ores et déjà commercialisable, la vitre numérique est toujours en phase de test et devrait débarquer dans les trains d'ici quelques années.
Présentées sur différents salons depuis 2014, ces innovations pourraient se développer aussi bien dans les trains, que dans les métros, les tramways ou encore les autocars.
Pour l'heure, Alstom répond à différents appels d'offres et, en fonction des contrats décrochés, adaptera sa technologie aux demandes de ses clients.
Informations, vidéos, mais aussi photos ou encore dessins : chaque compagnie pourra créer ses menus en fonction de ses besoins et les intégrer dans la table tactile.
Parmi les options notables, on trouve la réservation de services à bord, comme sa place aux toilettes ou son repas.
Si la table tactile est d'ores et déjà commercialisable, la vitre numérique est toujours en phase de test et devrait débarquer dans les trains d'ici quelques années.
Présentées sur différents salons depuis 2014, ces innovations pourraient se développer aussi bien dans les trains, que dans les métros, les tramways ou encore les autocars.
Pour l'heure, Alstom répond à différents appels d'offres et, en fonction des contrats décrochés, adaptera sa technologie aux demandes de ses clients.
Des trains plus économiques
Toujours plus loin, Alstom a créé en décembre dernier, une joint venture avec l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), baptisée SpeedInnov et destinée à développer une nouvelle génération de trains à très grande vitesse, plus innovants et surtout plus économiques.
Les équipes s’attellent désormais à la recherche de nouveaux composants et de nouveaux systèmes, qui permettront par exemple, de construire des trains plus légers, ou de récupérer l'énergie du freinage pour la consommation électrique.
Autre thème de recherche pour ce train du futur : la capacité d'accueil et l'accessibilité, avec l'élaboration de couloirs plus larges ou d'espaces dédiés aux personnes à mobilité réduite.
Dans le cadre de SpeedInov, Alstom envisage de répondre à un appel d'offres de la SNCF pour développer, aux côtés de la compagnie ferroviaire, le TGV du futur, dans le cadre d'un "Partenariat d'Innovation". La réponse devrait intervenir dans le courant de l’année 2016.
Mais Alstom ne se cantonne pas au marché français. L’Espagne, la Chine ou encore l'Inde intéressent le groupe.
Récemment, le constructeur a signé un contrat avec la compagnie italienne NTV, pour 8 trains pendulaires ("Pendolino"), livrés à partir de 2017.
Les équipes s’attellent désormais à la recherche de nouveaux composants et de nouveaux systèmes, qui permettront par exemple, de construire des trains plus légers, ou de récupérer l'énergie du freinage pour la consommation électrique.
Autre thème de recherche pour ce train du futur : la capacité d'accueil et l'accessibilité, avec l'élaboration de couloirs plus larges ou d'espaces dédiés aux personnes à mobilité réduite.
Dans le cadre de SpeedInov, Alstom envisage de répondre à un appel d'offres de la SNCF pour développer, aux côtés de la compagnie ferroviaire, le TGV du futur, dans le cadre d'un "Partenariat d'Innovation". La réponse devrait intervenir dans le courant de l’année 2016.
Mais Alstom ne se cantonne pas au marché français. L’Espagne, la Chine ou encore l'Inde intéressent le groupe.
Récemment, le constructeur a signé un contrat avec la compagnie italienne NTV, pour 8 trains pendulaires ("Pendolino"), livrés à partir de 2017.