Pourquoi le transport aérien est-il synonyme de stress ?
Pourquoi le transport aérien est-il synonyme de stress et non de plaisir ? Pourquoi les acteurs de ce mode de transport se sont-ils acharnés à le rendre désagréable ?
Je mets dans le lot tout le monde : les Pouvoir Publics qui éditent des réglementations sans s’assurer de la manière dont elles seront appliquées, les aéroports particulièrement les européens d’ancienne génération, mal équipés, peu signalés, sans aucune considération pour leurs clients qui paient quand même 8 € le droit d’utiliser des installations vétustes plus les surcoûts des marchandises achetées puisque les commerçants doivent reverser jusqu’à 40% de leur recette et les compagnies aériennes qui ont fait supporter à leurs clients et non à leur personnel, leur recherche de baisse des coûts.
Au total le produit aérien s’est dégradé avec une grande constance alors que le produit ferroviaire s’est considérablement amélioré. Ne nous y trompons pas, le train attaque l’aérien dans le dur de sa clientèle. 60% des trajets mondiaux aériens durent moins de 1h30 minutes.
La voie terrestre peut donc attaquer cette clientèle avec de grandes chances de succès, car elle est aussi rapide et surtout beaucoup moins stressante.
Le transport aérien, dans son entier, doit réagir. Non pas en ordre dispersé, les compagnies aériennes d’un côté, les aéroports d’un autre, les Pouvoirs Publics d’un troisième, sans compter les assistants aéroportuaires les sociétés de catering etc…
La réaction doit être coordonnée. Il faut créer les états généraux du transport aérien et mettre tout le monde dans une réflexion de fond. Cela prendra le temps que cela prendra. C’est utile, c’est nécessaire.
Qui en prendra l’initiative ?
Je mets dans le lot tout le monde : les Pouvoir Publics qui éditent des réglementations sans s’assurer de la manière dont elles seront appliquées, les aéroports particulièrement les européens d’ancienne génération, mal équipés, peu signalés, sans aucune considération pour leurs clients qui paient quand même 8 € le droit d’utiliser des installations vétustes plus les surcoûts des marchandises achetées puisque les commerçants doivent reverser jusqu’à 40% de leur recette et les compagnies aériennes qui ont fait supporter à leurs clients et non à leur personnel, leur recherche de baisse des coûts.
Au total le produit aérien s’est dégradé avec une grande constance alors que le produit ferroviaire s’est considérablement amélioré. Ne nous y trompons pas, le train attaque l’aérien dans le dur de sa clientèle. 60% des trajets mondiaux aériens durent moins de 1h30 minutes.
La voie terrestre peut donc attaquer cette clientèle avec de grandes chances de succès, car elle est aussi rapide et surtout beaucoup moins stressante.
Le transport aérien, dans son entier, doit réagir. Non pas en ordre dispersé, les compagnies aériennes d’un côté, les aéroports d’un autre, les Pouvoirs Publics d’un troisième, sans compter les assistants aéroportuaires les sociétés de catering etc…
La réaction doit être coordonnée. Il faut créer les états généraux du transport aérien et mettre tout le monde dans une réflexion de fond. Cela prendra le temps que cela prendra. C’est utile, c’est nécessaire.
Qui en prendra l’initiative ?
Jean-Louis Baroux, est l'ancien président d'APG (Air Promotion Group) et le créateur du CAF (Cannes Airlines Forum) devenu le World Air Forum.
Grand spécialiste de l'aérien, vient de signer aux éditions L'Archipel ''Compagnies Aériennes : la faillite du modèle'', un ouvrage que tous les professionnels du tourisme devraient avoir lu.
Les droits d'auteur de l'ouvrage seront reversés à une association caritative. On peut l'acquérir à cette adresse : www.editionsarchipel.com
Grand spécialiste de l'aérien, vient de signer aux éditions L'Archipel ''Compagnies Aériennes : la faillite du modèle'', un ouvrage que tous les professionnels du tourisme devraient avoir lu.
Les droits d'auteur de l'ouvrage seront reversés à une association caritative. On peut l'acquérir à cette adresse : www.editionsarchipel.com