Vous le connaissez ?
La problématique inhérente au mode de fonctionnement des géants de l'Internet du type Facebook, est qu’ils permettent à chacun(e) d’inviter toute personne de son choix, même de parfaits inconnus, pour venir enrichir son « réseau ».
Le résultat, ce sont des listes de contacts avec qui on ne partage peut être rien, même pas des valeurs ni des centres d’intérêt.
Depuis 2015, on assiste à la croissance d’un désir de micro-réseaux sociaux et à la multiplication de communautés à la fois en ligne et hors ligne (phénomène que l’on peut rapprocher de la tendance de social selling).
Le réseau devient l’outil principal auquel on s’adresse pour trouver ses vacances, un emploi, un resto, un conseil, ou proposer ses services.
Le résultat, ce sont des listes de contacts avec qui on ne partage peut être rien, même pas des valeurs ni des centres d’intérêt.
Depuis 2015, on assiste à la croissance d’un désir de micro-réseaux sociaux et à la multiplication de communautés à la fois en ligne et hors ligne (phénomène que l’on peut rapprocher de la tendance de social selling).
Le réseau devient l’outil principal auquel on s’adresse pour trouver ses vacances, un emploi, un resto, un conseil, ou proposer ses services.
D'où vient-il ?
Le marché du travail par exemple, est constitué à 60% de postes pourvus avant même d’être diffusés. Dans le même temps, le taux de prise de rendez-vous atteint 80% si l’on fait appel à son cercle de confiance. D’ailleurs rien ne sert de multiplier les membres de son réseau : b[l’important est de cultiver les «bons » contacts et son capital relationnel.]b
Pour preuve, l’anthropologue britannique Robin Dunbar a formulé qu’une personne peut entretenir simultanément une relation humaine stable avec 148 individus maximum. Ce « nombre de Dunbar » est une limite liée à la taille de la partie du cerveau qui s’occupe de ces fonctions cognitives «supérieures » : le néocortex.
Dans l’événementiel professionnel, on retrouve cette tendance au « micro-networking ». Certes les participants viennent pour le contenu, mais plus de 50% affirment venir aussi (voire surtout) pour réseauter. Rencontrer des professionnels, et plus précisément des personnes intéressantes pour soi est même principal pour 84% dans la génération Y.
Ceci explique l’engouement pour les solutions de réseautage sur les événements, qui recréent un micro-réseau.
Seulement, il y a énormément de monde dans ces événements. À qui s’adresser ? Comment aborder directement la « bonne » personne ? Face à ce constat et à la frustration des participants, Who is Georges ? est né.
Pour preuve, l’anthropologue britannique Robin Dunbar a formulé qu’une personne peut entretenir simultanément une relation humaine stable avec 148 individus maximum. Ce « nombre de Dunbar » est une limite liée à la taille de la partie du cerveau qui s’occupe de ces fonctions cognitives «supérieures » : le néocortex.
Dans l’événementiel professionnel, on retrouve cette tendance au « micro-networking ». Certes les participants viennent pour le contenu, mais plus de 50% affirment venir aussi (voire surtout) pour réseauter. Rencontrer des professionnels, et plus précisément des personnes intéressantes pour soi est même principal pour 84% dans la génération Y.
Ceci explique l’engouement pour les solutions de réseautage sur les événements, qui recréent un micro-réseau.
Seulement, il y a énormément de monde dans ces événements. À qui s’adresser ? Comment aborder directement la « bonne » personne ? Face à ce constat et à la frustration des participants, Who is Georges ? est né.
Mais... qui est ce Georges ?
Un réseautage efficace nécessite impérativement de savoir « qui est qui autour de soi ». Rien de plus simple avec le digital : Who is Georges ? utilise un badge connecté et une appli dédiée. Ces devices permettent d’accéder au profil des « Georges » (comprenez, toutes les personnes) autour de soi, dans un rayon de 20 mètres.
Chaque participant peut partager des infos professionnelles et personnelles, qui sont ainsi accessibles aux « Georges » alentour. Un moyen efficace de briser la glace (« moi c’est Julie mais je vous en prie, appelez-moi Georges… »).
L’idée est de minimiser l’utilisation du smartphone, pour ne pas passer la soirée le nez sur son écran à rechercher les personnes présentes, et pour remettre le digital au service de l’humain. Who is Georges ? Un ami bien connu.
Chaque participant peut partager des infos professionnelles et personnelles, qui sont ainsi accessibles aux « Georges » alentour. Un moyen efficace de briser la glace (« moi c’est Julie mais je vous en prie, appelez-moi Georges… »).
L’idée est de minimiser l’utilisation du smartphone, pour ne pas passer la soirée le nez sur son écran à rechercher les personnes présentes, et pour remettre le digital au service de l’humain. Who is Georges ? Un ami bien connu.
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Retrouvez tous les chapitres du Cahier des Tendances sur ce lien.
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