Des effets pervers clientèle, mais aussi compagnies...
Comment voulez-vous que ces derniers ne recherchent pas férocement les tarifs les plus bas, sachant que ceux-ci existent forcément et qu’ils peuvent être très sensiblement inférieurs à la proposition qu’ils ont en main ?
A qui fera-t-on croire que le bon prix pour un Paris New York est, en classe économique, d’au moins 1000 € sachant qu’il existe sur le marché des tarifs à 355 € pour le même produit et le même service ?
Ce faisant les compagnies aériennes se plaignent toutes de ne pas trouver de clientèle prête à payer un prix raisonnable et elles se lamentent d’un état de fait qu’elles ont créé.
Cette politique a eu des effets pervers non seulement sur la clientèle, mais également sur les structures commerciales internes des compagnies.
En effet les responsables commerciaux, les directeurs généraux des compagnies dans les pays étrangers ne maîtrisent plus du tout les tarifs et ils ne disposent en conséquence plus d’un levier essentiel pour conquérir telle ou telle affaire.
A qui fera-t-on croire que le bon prix pour un Paris New York est, en classe économique, d’au moins 1000 € sachant qu’il existe sur le marché des tarifs à 355 € pour le même produit et le même service ?
Ce faisant les compagnies aériennes se plaignent toutes de ne pas trouver de clientèle prête à payer un prix raisonnable et elles se lamentent d’un état de fait qu’elles ont créé.
Cette politique a eu des effets pervers non seulement sur la clientèle, mais également sur les structures commerciales internes des compagnies.
En effet les responsables commerciaux, les directeurs généraux des compagnies dans les pays étrangers ne maîtrisent plus du tout les tarifs et ils ne disposent en conséquence plus d’un levier essentiel pour conquérir telle ou telle affaire.