Suite à l'annonce du placement en redressement judiciaire de XL Airways, l'APST, Les Entreprises du Voyage, et le SETO demandent dans un communiqué de presse la mise en place d'une garantie financière pour couvrir le risque de défaillance des compagnies aériennes.
Pour les clients ayant acheté un voyage à forfait, les professionnels du voyage œuvrent pour trouver une solution de départ et assurer le retour de ceux qui sont déjà sur place, indique le communiqué.
Ainsi les clients verront leur voyage maintenu en volant sur d’autres compagnies.
Pour les agences dont les clients ont acheté des vols secs, les professionnels du voyage ont demandé aux compagnies desservant les mêmes axes (Air France, Corsair, French Bee, Air Caraïbes, Air Austral) de consentir un tarif spécial pour les titulaires d’un billet XL Airways non volé.
Pour les clients ayant acheté un voyage à forfait, les professionnels du voyage œuvrent pour trouver une solution de départ et assurer le retour de ceux qui sont déjà sur place, indique le communiqué.
Ainsi les clients verront leur voyage maintenu en volant sur d’autres compagnies.
Pour les agences dont les clients ont acheté des vols secs, les professionnels du voyage ont demandé aux compagnies desservant les mêmes axes (Air France, Corsair, French Bee, Air Caraïbes, Air Austral) de consentir un tarif spécial pour les titulaires d’un billet XL Airways non volé.
IATA a adopté comme pour la faillite d'Aigle Azur la règle "unilatérale" de suspension des remboursements. Les 3 organisation exploitent les actions possibles afin de sanctionner l'attitude "monopolistique voire dominante de IATA."