C'est en tout cas le procédé que semble avoir adopté Expedia, le géant de la distribution touristique sur Internet.
Cette fois, il s'agit pour le site de capter le client désireux de se renseigner sur un hôtel, via un annuaire téléphonique, tel le 118 218 ou le 118 712…
Pour le procédé, comme l'explique fort clairement notre article = LIRE, c'est tout simple.
Quand l'opérateur de l'annuaire demande au client s'il veut se renseigner via Expedia, le procédé demeure extrêmement limite, pour ne pas dire scandaleux, mais bon. Après tout, le client est roi…
Là où le bât blesse, c'est lorsque le client n'est pas prévenu et, alors qu'il demande un simple numéro de téléphone d'un hôtel qui lui parait sympa (ou pas, d'ailleurs), il se retrouve sur une plateforme d'Expedia, où on lui demande s'il veut procéder à une réservation.
Un peu comme si un lecteur demandait mon numéro de téléphone et que le 712 machin dix-huit le branche directement à la rédaction d'un de mes excellents confrères… Bon, je caricature, mais le cœur y est !
D'autant d'ailleurs, que, si j'ai bien tout compris, un certain nombre d'hôteliers ne connaissent même pas les accords liés entre les annuaires téléphoniques et Expedia. Certains en sont même tombés de leur chaise, ce qui, vous l'avouerez, doit être assez déplaisant.
A tel point d'ailleurs que, pour l'instant, une Fédération d'hôteliers (Les Logis) a décidé d'intenter une action en justice contre Expedia.
C'est vrai que, comme l'indique ma consœur, vendre votre hôtel à l'insu de votre plein gré, c'est quand même pas une pratique tout à fait loyale.
Cette fois, il s'agit pour le site de capter le client désireux de se renseigner sur un hôtel, via un annuaire téléphonique, tel le 118 218 ou le 118 712…
Pour le procédé, comme l'explique fort clairement notre article = LIRE, c'est tout simple.
Quand l'opérateur de l'annuaire demande au client s'il veut se renseigner via Expedia, le procédé demeure extrêmement limite, pour ne pas dire scandaleux, mais bon. Après tout, le client est roi…
Là où le bât blesse, c'est lorsque le client n'est pas prévenu et, alors qu'il demande un simple numéro de téléphone d'un hôtel qui lui parait sympa (ou pas, d'ailleurs), il se retrouve sur une plateforme d'Expedia, où on lui demande s'il veut procéder à une réservation.
Un peu comme si un lecteur demandait mon numéro de téléphone et que le 712 machin dix-huit le branche directement à la rédaction d'un de mes excellents confrères… Bon, je caricature, mais le cœur y est !
D'autant d'ailleurs, que, si j'ai bien tout compris, un certain nombre d'hôteliers ne connaissent même pas les accords liés entre les annuaires téléphoniques et Expedia. Certains en sont même tombés de leur chaise, ce qui, vous l'avouerez, doit être assez déplaisant.
A tel point d'ailleurs que, pour l'instant, une Fédération d'hôteliers (Les Logis) a décidé d'intenter une action en justice contre Expedia.
C'est vrai que, comme l'indique ma consœur, vendre votre hôtel à l'insu de votre plein gré, c'est quand même pas une pratique tout à fait loyale.
A moins qu'Expedia soit en difficultés graves et cherche par tous les moyens à récupérer un peu de monnaie, il me semble bien que cela se nomme du détournement de clientèle.
Quant aux annuaires téléphoniques, leur position est loin d'être aussi claire.
D'accord, il existe un contrat" entre le site de réservation et leur annuaire. Encore faudrait-il que les opérateurs de l'annuaire soient particulièrement formés et posent systématiquement au client la question qui tue…
Apparemment, ce n'est pas toujours le cas et je me demande ce que vont déclarer les experts de la DGCCRF.
Si toutefois, cette organisation veut bien daigner se pencher sur le problème.
Pour l'instant, le moins que l'on puisse dire est qu'elle ne se mouille pas trop…
Mais, à un moment, il faudra quand même réagir et décider une bonne fois pour toutes quelles pratiques sont tolérables et lesquelles ne le sont pas.
Il est vrai qu'Internet a profondément révolutionné le monde du tourisme, particulièrement en ce qui concerne sa distribution.
Est-ce cependant une raison de presser le client comme un citron avec des méthodes border line ?
Je pose la question !
Quant aux annuaires téléphoniques, leur position est loin d'être aussi claire.
D'accord, il existe un contrat" entre le site de réservation et leur annuaire. Encore faudrait-il que les opérateurs de l'annuaire soient particulièrement formés et posent systématiquement au client la question qui tue…
Apparemment, ce n'est pas toujours le cas et je me demande ce que vont déclarer les experts de la DGCCRF.
Si toutefois, cette organisation veut bien daigner se pencher sur le problème.
Pour l'instant, le moins que l'on puisse dire est qu'elle ne se mouille pas trop…
Mais, à un moment, il faudra quand même réagir et décider une bonne fois pour toutes quelles pratiques sont tolérables et lesquelles ne le sont pas.
Il est vrai qu'Internet a profondément révolutionné le monde du tourisme, particulièrement en ce qui concerne sa distribution.
Est-ce cependant une raison de presser le client comme un citron avec des méthodes border line ?
Je pose la question !
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