Le point de départ de l'aventure, comme nombre de start-up, débute par une passion pour le voyage et le retour d'une expérience plus ou moins réussie.
Pour les deux fondateurs, et amis d'enfance dans la vie civile, la genèse de l'idée leur apparaît en 2016.
"Après un séjour, nous nous sommes rendu compte qu'il était très compliqué de trouver des avis de qualité, notamment sur les sites comme Tripadvisor ou du contenu comme Instagram," explique Benoit Maurin l'un des créateurs.
Une fois, l'idée lancée en l'air, les deux amis la reprennent de volée, et fondent leur jeune pousse. Et pour comprendre l'intérêt de la solution, le cofondateur de rappeler que "lors de notre speech aux rencontres du etourisme de Pau, nous prenions l'exemple du hastag de la Dune du Pila.
Si vous regardez, il est possible de trouver des photos du Canada, ou du postérieur d'une personne. Mais ces résultats ne valorisent pas la destination."
Alors que la plateforme américaine est devenue une référence mondiale, la plupart du temps les pages des restaurants et hôtels tournent à la foire d'empoigne ou à l'achat d'avis bienveillants.
Pour se démarquer les Bordelais ont décidé de fonder ShareYourTrip avec la volonté de "faire émerger des recommandations de qualité au travers d'un microblogging ou d'une photo. Nous voulons casser le principe de la notation, et valoriser les coups de cœur."
Si le postulat de départ étant un site uniquement orienté BtoC, l'appel du pied de professionnels, notamment les offices de tourisme, a totalement réorienté le business-modèle. Après une phase de bêta test, la version BtoB est propulsé sur la toile depuis l'été 2018, sous le nom de ShareYourTrip Pro.
Pour les deux fondateurs, et amis d'enfance dans la vie civile, la genèse de l'idée leur apparaît en 2016.
"Après un séjour, nous nous sommes rendu compte qu'il était très compliqué de trouver des avis de qualité, notamment sur les sites comme Tripadvisor ou du contenu comme Instagram," explique Benoit Maurin l'un des créateurs.
Une fois, l'idée lancée en l'air, les deux amis la reprennent de volée, et fondent leur jeune pousse. Et pour comprendre l'intérêt de la solution, le cofondateur de rappeler que "lors de notre speech aux rencontres du etourisme de Pau, nous prenions l'exemple du hastag de la Dune du Pila.
Si vous regardez, il est possible de trouver des photos du Canada, ou du postérieur d'une personne. Mais ces résultats ne valorisent pas la destination."
Alors que la plateforme américaine est devenue une référence mondiale, la plupart du temps les pages des restaurants et hôtels tournent à la foire d'empoigne ou à l'achat d'avis bienveillants.
Pour se démarquer les Bordelais ont décidé de fonder ShareYourTrip avec la volonté de "faire émerger des recommandations de qualité au travers d'un microblogging ou d'une photo. Nous voulons casser le principe de la notation, et valoriser les coups de cœur."
Si le postulat de départ étant un site uniquement orienté BtoC, l'appel du pied de professionnels, notamment les offices de tourisme, a totalement réorienté le business-modèle. Après une phase de bêta test, la version BtoB est propulsé sur la toile depuis l'été 2018, sous le nom de ShareYourTrip Pro.
Le référencement naturel en cheval de bataille
Ainsi pour la page web d'un hébergement ou d'un tour-opérateur, le visiteur voit apparaître une petite fenêtre d'un ancien client mettant en avant une activité à faire autour de l'établissement, afin d'influencer l'internaute lors du processus décisionnel.
"Après une phase expérimentale menée avec la MONA (mission des OT en Nouvelle Aquitaine) et plusieurs Offices du tourisme (comme par exemple Bisca grands lacs), nous avons lancé la commercialisation de nos solutions en juillet 2018" raconte Benoit Maurin.
Concrètement, le professionnel du tourisme installe le widget de ShareYourTrip Pro, permettant de mettre en ligne la recommandation et non un avis "cela ne nous intéresse pas. Nous voulons du contenu de qualité et non la quantité. Chaque post est modéré humainement par notre équipe," explique le cofondateur.
Il existe aussi un autre intérêt à la solution qui est l'amélioration du référencement naturel. Les données sont stockées directement par le client contrairement aux avis de TripAdvisor, ce qui permet de booster le SEO.
Très vite les institutionnels du tourisme souscrivent pour atteindre le cap de la douzaine de clients. "Nous revenons de l'IFTM Top Resa, puis des rencontres etourisme de Pau, où nous avons enregistré énormément de prises de contact" s'enthousiasme Benoit Maurin. En effet, avec 160 prospects qualifiés de sérieux, l'avenir semble prendre le bon chemin.
"Après une phase expérimentale menée avec la MONA (mission des OT en Nouvelle Aquitaine) et plusieurs Offices du tourisme (comme par exemple Bisca grands lacs), nous avons lancé la commercialisation de nos solutions en juillet 2018" raconte Benoit Maurin.
Concrètement, le professionnel du tourisme installe le widget de ShareYourTrip Pro, permettant de mettre en ligne la recommandation et non un avis "cela ne nous intéresse pas. Nous voulons du contenu de qualité et non la quantité. Chaque post est modéré humainement par notre équipe," explique le cofondateur.
Il existe aussi un autre intérêt à la solution qui est l'amélioration du référencement naturel. Les données sont stockées directement par le client contrairement aux avis de TripAdvisor, ce qui permet de booster le SEO.
Très vite les institutionnels du tourisme souscrivent pour atteindre le cap de la douzaine de clients. "Nous revenons de l'IFTM Top Resa, puis des rencontres etourisme de Pau, où nous avons enregistré énormément de prises de contact" s'enthousiasme Benoit Maurin. En effet, avec 160 prospects qualifiés de sérieux, l'avenir semble prendre le bon chemin.
Les ambitions de ShareYourtrip ?
"Aujourd'hui nous sommes, les seuls à proposer cette solution sur le marché, ce qui explique l'engouement des professionnels. Nous venons d'entrer en phase de test avec des tour-opérateurs," et bientôt des agences de voyages.
Pour arriver à l'équilibre financier, ShareYourTrip n'a besoin que de 50 contrats. "Nous gérons la start-up en bon père de famille, uniquement sur nos fonds propres sans faire de folie. Ainsi chaque client, qui signe chez nous, représente inévitablement de l'argent apporté à l'entreprise."
Actuellement composée de 6 employés, la start-up vient de mettre en ligne une annonce de recrutement pour un poste de développeur. Elle bénéficie de l'accompagnement de l'incubateur bordelais Unitec.
D'ambition, les deux amis n'en manquent pas "nous envisageons la signature de 50 clients dans les 3 mois à venir. Nous sommes en phase d'accélération, on doit multiplier notre chiffre d'affaires de 300% tous les mois" fixe Julien Pierrat, le cofondateur.
La problématique du référencement naturel inhérent à tous les sites qu'ils soient en France ou ailleurs permet à ShareYourTrip de regarder l'avenir avec envie. "Dans le milieu du tourisme au niveau du numérique, il y a tout à faire. Il suffit de voir, où se trouvaient les start-up à l'FTM Top Resa, à l'étage, isolées..."
La guerre sur le digital ne fait que commencer, il convient de ne pas perdre les premières batailles.
Pour arriver à l'équilibre financier, ShareYourTrip n'a besoin que de 50 contrats. "Nous gérons la start-up en bon père de famille, uniquement sur nos fonds propres sans faire de folie. Ainsi chaque client, qui signe chez nous, représente inévitablement de l'argent apporté à l'entreprise."
Actuellement composée de 6 employés, la start-up vient de mettre en ligne une annonce de recrutement pour un poste de développeur. Elle bénéficie de l'accompagnement de l'incubateur bordelais Unitec.
D'ambition, les deux amis n'en manquent pas "nous envisageons la signature de 50 clients dans les 3 mois à venir. Nous sommes en phase d'accélération, on doit multiplier notre chiffre d'affaires de 300% tous les mois" fixe Julien Pierrat, le cofondateur.
La problématique du référencement naturel inhérent à tous les sites qu'ils soient en France ou ailleurs permet à ShareYourTrip de regarder l'avenir avec envie. "Dans le milieu du tourisme au niveau du numérique, il y a tout à faire. Il suffit de voir, où se trouvaient les start-up à l'FTM Top Resa, à l'étage, isolées..."
La guerre sur le digital ne fait que commencer, il convient de ne pas perdre les premières batailles.