Les littoraux des Hauts-de-France étaient plébiscité cet été 2018 - crédit photo : creative commons / Théophile Péron
La hausse est légère, certes, mais elle est bien là. D'après une étude publiée hier 28 novembre 2018 par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), l'hébergement collectif a connu une augmentation de 1,3% pour l'été 2018, soit 311 millions de nuitées.
Certes, le chiffre peut sembler relativement faible. Mais il vient s'ajouter aux 6,1% de hausse en été 2017.
Ce chiffre est très positif quand on sait que les peurs des attentats avaient fortement réduit la fréquentation en 2015 / 2016.
Certes, le chiffre peut sembler relativement faible. Mais il vient s'ajouter aux 6,1% de hausse en été 2017.
Ce chiffre est très positif quand on sait que les peurs des attentats avaient fortement réduit la fréquentation en 2015 / 2016.
Les territoires citadins plébiscités
Le mouvement positif est essentiellement porté par la clientèle étrangère (+4,3% de non-résidents) et l'Ile de France (+7,7% de fréquentation).
Globalement les zones urbaines augmentent avec 3,7% de plus qu'en 2017, qui avait déjà connu une hausse de 7,6%.
Parmi les régions qui tirent leur épingle du jeu : la Bretagne et les Hauts-de-France avec + de 10 points d'augmentation.
Et de manière général, les littoraux du nord de la France, d'est en ouest, s'en sortent très bien aussi, portés par le camping.
A l'inverse, le sud est à la peine, si on exclue la Corse.
Les grands perdants sont les massifs de haute montagne avec une baisse de 6,8%... Et la côte d'Azur, qui ne retrouve pas encore son niveau de 2015.
lire aussi : Didier Arino : "2018 sera une bonne année pour les TO et les agences"
Globalement les zones urbaines augmentent avec 3,7% de plus qu'en 2017, qui avait déjà connu une hausse de 7,6%.
Parmi les régions qui tirent leur épingle du jeu : la Bretagne et les Hauts-de-France avec + de 10 points d'augmentation.
Et de manière général, les littoraux du nord de la France, d'est en ouest, s'en sortent très bien aussi, portés par le camping.
A l'inverse, le sud est à la peine, si on exclue la Corse.
Les grands perdants sont les massifs de haute montagne avec une baisse de 6,8%... Et la côte d'Azur, qui ne retrouve pas encore son niveau de 2015.
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