L'été n'aura pas été bon pour les voyagistes français.
Les tour-opérateurs que nous avons interrogés, nous ont livré un bilan plus que flatteur de leur activité, alors que les Entreprises du Voyage ont dévoilé un constat tout autre, avec des réservations dans le rouge, tout juste sauvé par un panier moyen en hausse.
Cette dynamique morose se retrouve aussi dans l'aérien.
En effet, après de nombreux mois de hausse, le secteur a vu ses prix dégringoler. La DGAC vient de publier un indice des prix du transport aérien de juillet 2024 allègrement dans le rouge.
Alors que tous les faisceaux sont orientés à la baisse, pour la 1ère fois depuis 2022, même les vols intérieurs passent au rouge (- 1,5 %).
Les tour-opérateurs que nous avons interrogés, nous ont livré un bilan plus que flatteur de leur activité, alors que les Entreprises du Voyage ont dévoilé un constat tout autre, avec des réservations dans le rouge, tout juste sauvé par un panier moyen en hausse.
Cette dynamique morose se retrouve aussi dans l'aérien.
En effet, après de nombreux mois de hausse, le secteur a vu ses prix dégringoler. La DGAC vient de publier un indice des prix du transport aérien de juillet 2024 allègrement dans le rouge.
Alors que tous les faisceaux sont orientés à la baisse, pour la 1ère fois depuis 2022, même les vols intérieurs passent au rouge (- 1,5 %).
Aérien : long-courrier, moyen et court... dans le rouge !
Le prix des billets d’avion au départ de France s’intensifie, à hauteur de -5,4% par rapport au mois de juillet 2023, la chute la plus importante concerne les outre-mer (-7,4%).
Les îles antillaises connaissent le plus fort repli (- 9,1%).
Depuis le début de l'année, l'évolution des billets, toutes destinations confondues, est de l'ordre de 0%.
Au niveau du réseau court-courrier depuis la France, la dégringolade des prix s’accentue vers l’Espace Économique Européen (-10,3 %), elle est contrôlée ailleurs.
Sur le long-courrier, la région Asie-Pacifique est celle qui connait la plus importante baisse (- 12,3 %), loin devant le Moyen-Orient (- 8,4 %), l’Afrique (- 7,0 %) et vers l’Amérique Latine (- 5,2 %).
Malgré des capacités très importantes et une offre low cost, la desserte de l'Amérique du Nord l'évolution tarifaire stagne (- 0,6 %).
Les îles antillaises connaissent le plus fort repli (- 9,1%).
Depuis le début de l'année, l'évolution des billets, toutes destinations confondues, est de l'ordre de 0%.
Au niveau du réseau court-courrier depuis la France, la dégringolade des prix s’accentue vers l’Espace Économique Européen (-10,3 %), elle est contrôlée ailleurs.
Sur le long-courrier, la région Asie-Pacifique est celle qui connait la plus importante baisse (- 12,3 %), loin devant le Moyen-Orient (- 8,4 %), l’Afrique (- 7,0 %) et vers l’Amérique Latine (- 5,2 %).
Malgré des capacités très importantes et une offre low cost, la desserte de l'Amérique du Nord l'évolution tarifaire stagne (- 0,6 %).
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