"Malgré tous nos efforts, nous faisons face à un risque élevé du rebond de l'épidémie.
La deuxième vague est tout aussi complexe à gérer, en raison de la circulation du virus dans toute l'Europe et du territoire métropolitain. Nous avons fait collectivement de gros efforts.
Il y a une baisse de l'incidence et des malades graves en réanimation.
Depuis quelques jours, les contaminations quotidiennes ne baissent plus. Nous sommes très attentifs aux conséquences sanitaires de la covid-19," explique Jérôme Salomon.
Alors que l'épidémie progresse ou rebondit partout dans le monde, l'OMS tire la sonnette d'alarme.
"Les chiffres mondiaux sont impressionnnants avec 67 millions de cas, 1,5 million de décès. Le pays le plus durement touché reste le Brésil qui connait un pic similaire à celui de l'été."
L'Afrique n'est pas épargnée et l'Asie aussi.
"En Europe la plupart des pays ont du mal à maintenir l'épidémie sous contrôle. Les pays européens sont sur la même tendance haussière que la nôtre."
Chaque jour plus de 10 000 personnes sont déclarées positives, "nous sommes encore loin des 5 000 cas par jour" exigés par Emmanuel Macron. Le taux d'incidence reste supérieur à 100 voire 150 dans de nombreuses régions.
La deuxième vague est tout aussi complexe à gérer, en raison de la circulation du virus dans toute l'Europe et du territoire métropolitain. Nous avons fait collectivement de gros efforts.
Il y a une baisse de l'incidence et des malades graves en réanimation.
Depuis quelques jours, les contaminations quotidiennes ne baissent plus. Nous sommes très attentifs aux conséquences sanitaires de la covid-19," explique Jérôme Salomon.
Alors que l'épidémie progresse ou rebondit partout dans le monde, l'OMS tire la sonnette d'alarme.
"Les chiffres mondiaux sont impressionnnants avec 67 millions de cas, 1,5 million de décès. Le pays le plus durement touché reste le Brésil qui connait un pic similaire à celui de l'été."
L'Afrique n'est pas épargnée et l'Asie aussi.
"En Europe la plupart des pays ont du mal à maintenir l'épidémie sous contrôle. Les pays européens sont sur la même tendance haussière que la nôtre."
Chaque jour plus de 10 000 personnes sont déclarées positives, "nous sommes encore loin des 5 000 cas par jour" exigés par Emmanuel Macron. Le taux d'incidence reste supérieur à 100 voire 150 dans de nombreuses régions.
Le déconfinement du 15 décembre sera-t-il remis en question ?
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"Aujourd'hui, 26 365 malades de la Covid sont hospitalisés, dont 3 198 en réanimation. Nous avons ainsi 3 411 cas de plus en 24 heures.
Les fêtes de fin d'année font craindre des contaminations en hausse, comme ce fut le cas à Thanksgiving. La vaccination représente un cas majeur et ne présentera des effets que dans de nombreux mois.
II faudra du temps pour contrôler l'épidémie.
Si les conditions actuelles se poursuivent, il sera très compliqué d'atteindre les objectifs (Emmanuel Macron avait fixé comme objectif moins de 5 000 cas par jour. Dimanche 6 décembre, plus de 11 00 cas ont été comptabilisés).
Nous sommes très attentifs à l'évolution des tendances. Nous adapterons nos préconisations aux bons sens des Français.
Nous sommes dans une phase de diagnostic. Il n'y a pas de relâchement, mais une vague puissante qui profite d'une situation favorable à sa propagation.
Est-ce un plateau qui s'installe ? Nous aviserons pour savoir si nos mesures sont adaptées ou pas, en fonction des activités à risque.
Les chiffres sont inquiétants, car il ne s'agit pas de chiffres mais de personnes qui se contaminent.
Et c'est d'autant plus préoccupant, alors que nous sommes à 11 000 cas par jour, alors que nous étions à 5 000 cas par semaine lors de l'été dernier, une période favorable, car nous étions dehors."
Les fêtes de fin d'année font craindre des contaminations en hausse, comme ce fut le cas à Thanksgiving. La vaccination représente un cas majeur et ne présentera des effets que dans de nombreux mois.
II faudra du temps pour contrôler l'épidémie.
Si les conditions actuelles se poursuivent, il sera très compliqué d'atteindre les objectifs (Emmanuel Macron avait fixé comme objectif moins de 5 000 cas par jour. Dimanche 6 décembre, plus de 11 00 cas ont été comptabilisés).
Nous sommes très attentifs à l'évolution des tendances. Nous adapterons nos préconisations aux bons sens des Français.
Nous sommes dans une phase de diagnostic. Il n'y a pas de relâchement, mais une vague puissante qui profite d'une situation favorable à sa propagation.
Est-ce un plateau qui s'installe ? Nous aviserons pour savoir si nos mesures sont adaptées ou pas, en fonction des activités à risque.
Les chiffres sont inquiétants, car il ne s'agit pas de chiffres mais de personnes qui se contaminent.
Et c'est d'autant plus préoccupant, alors que nous sommes à 11 000 cas par jour, alors que nous étions à 5 000 cas par semaine lors de l'été dernier, une période favorable, car nous étions dehors."