Les compagnies aériennes d'Asie-Pacifique ne sont pas à la fête, selon le dernier communiqué de Iata.
Ce sont celles qui font face au plus difficile environnement opérationnel, avec une baisse de 9,7% en novembre, qui fait suite à une contraction de 6,1% en octobre.
La région est aussi celle qui a connu les baisses de capacité les plus agressives, de 5,1%.
Tandis que le trafic a rebondi en Chine après les Jeux Olympiques, les voyages à destination et au départ des marchés internationaux continuent de décliner, reflétant la faiblesse du commerce mondial et de la confiance des consommateurs.
Les compagnies aériennes d’Amérique du Nord ont connu une baisse du trafic international de 4,8% - la seconde plus importante baisse parmi toutes les régions. Jusqu’en août, les compagnies aériennes de la région avaient déplacé la capacité vers les marchés internationaux.
Ce sont celles qui font face au plus difficile environnement opérationnel, avec une baisse de 9,7% en novembre, qui fait suite à une contraction de 6,1% en octobre.
La région est aussi celle qui a connu les baisses de capacité les plus agressives, de 5,1%.
Tandis que le trafic a rebondi en Chine après les Jeux Olympiques, les voyages à destination et au départ des marchés internationaux continuent de décliner, reflétant la faiblesse du commerce mondial et de la confiance des consommateurs.
Les compagnies aériennes d’Amérique du Nord ont connu une baisse du trafic international de 4,8% - la seconde plus importante baisse parmi toutes les régions. Jusqu’en août, les compagnies aériennes de la région avaient déplacé la capacité vers les marchés internationaux.
« Nous prévoyons de lourdes pertes pour le quatrième trimestre »
Après l’écroulement du secteur bancaire d’investissement et les réductions conséquentes des voyages d’affaires qui se sont ensuivis, le trafic nord-atlantique s’est effondré. Les compagnies aériennes ont commencé à baisser leur capacité à l’international de 0,8% en novembre (après une croissance de 0,4% en octobre).
En Europe, les transporteurs aériens ont connu une chute de trafic de 3,4%, car tous les principaux marchés de la région (intra-européens, nord-atlantiques et asiatiques) se sont effondrés.
Les marchés émergeants les plus petits s’en sont mieux sortis. Les compagnies aériennes africaines ont connu une baisse de 1,6% du trafic. Ceci constitue une nette amélioration par rapport à celle de 12,9% reportée en octobre, et résulte du renforcement du trafic à l’intérieur de l’Afrique.
Au Moyen Orient on a enregistré une croissance de 5,6%, en hausse par rapport à celle de 3,5% d’octobre. Mais on est loin de a croissance à deux chiffres qui caractérisait la région avant la crise financière actuelle.
La tendance est aussi baissière en Amérique Latine avec une légère baisse de la croissance, de 3,3% (en comparaison avec celle de 4,5% en octobre), poussée par la croissance économique positive de la région, qui ralentit toutefois.
« La baisse de capacité de 1,0% sur les marchés internationaux en novembre n’a pas pu contrecarrer la chute de la demande de 4,6%. Nous prévoyons de lourdes pertes pour le quatrième trimestre », regrette Giovanni Bisignani, président d'Iata.
En Europe, les transporteurs aériens ont connu une chute de trafic de 3,4%, car tous les principaux marchés de la région (intra-européens, nord-atlantiques et asiatiques) se sont effondrés.
Les marchés émergeants les plus petits s’en sont mieux sortis. Les compagnies aériennes africaines ont connu une baisse de 1,6% du trafic. Ceci constitue une nette amélioration par rapport à celle de 12,9% reportée en octobre, et résulte du renforcement du trafic à l’intérieur de l’Afrique.
Au Moyen Orient on a enregistré une croissance de 5,6%, en hausse par rapport à celle de 3,5% d’octobre. Mais on est loin de a croissance à deux chiffres qui caractérisait la région avant la crise financière actuelle.
La tendance est aussi baissière en Amérique Latine avec une légère baisse de la croissance, de 3,3% (en comparaison avec celle de 4,5% en octobre), poussée par la croissance économique positive de la région, qui ralentit toutefois.
« La baisse de capacité de 1,0% sur les marchés internationaux en novembre n’a pas pu contrecarrer la chute de la demande de 4,6%. Nous prévoyons de lourdes pertes pour le quatrième trimestre », regrette Giovanni Bisignani, président d'Iata.